Devoir de Philosophie

Fiche de lecture : Le visiteur

Publié le 09/01/2011

Extrait du document

lecture

Titre : Le visiteur Auteur : Eric-Emmanuel Schmitt  

Biographie :       - Né à Sainte-Foy-lès-Lyon, dans la banlieue lyonnaise, le 28 mars 1960 dans une famille athée          - Diplômé de l'Ecole Normale Supérieure       - Devenu un des auteurs francophones les plus lus et les plus représentés dans le monde       - Après le succès rencontré avec Le visiteur , d’autres ont suivi : Variations énigmatiques,    Le Libertin, Hôtel des deux mondes, Petits crimes conjugaux, Mes Evangiles, La Tectonique des sentiments Plébiscitées tant par le public que par la critique, ses pièces ont été récompensées par plusieurs Molière et le Grand Prix du théâtre de l’Académie française       - Amoureux de musique, il a également signé la traduction française des Noces de Figaro et de Don Giovanni  

Résumé : L'action se passe en Autriche, Vienne, 22 avril 1938 , après l'Anschluss, dans la maison du docteur Freud. Les troupes hitlériennes viennent d’envahir l’Autriche.  Le docteur Sigmund Freud (malade et vieux) et sa fille Anna s’apprête à quitter l'Autriche. C'est en tout cas ce que désire Anna. Mais son père ne semble pas décidé à abandonner son pays. Pourtant, comme tous les soirs ou presque, un nazi vient chez Freud pour lui soutirer de l'argent. Mais, cette fois, le nazi emmène Anna, à la Gestapo pour son impertinence car celle-ci l’avait provoque. Commence alors pour Freud une longue nuit d'attente et d'angoisse. Mais au lieu de passer ses heures seul comme il s'y attendait, un inconnu surgissant de nulle part entre dans son appartement. Il s’agit d’un visiteur qui aime laisser planer le doute. Qui est-il ? Que veux-t-il ? Est-ce un voleur, un malade? Freud n'en sait rien. Mais se sont les questions qu’il se pose tout au long du dialogue étrange qu’entretiennent les deux hommes. Opposition : Opposition de la religion entre les deux personnages. Le visiteur prétend être Dieu et donc par définition un croyant. Il défend ses idées : Dieu a créé l’homme par amour, il est « le Père qui aime «, il  connait l’homme et sait tout  de lui, il croit en l’homme libre et en l’amour de la religion. Il est tout-puissant, omniscient, éternel. Mais il est aussi solitaire et n’a pas de souvenir. Dieu croit à la vie après la mort et pense que l’athée est un être désespéré qui ne peut éviter la mort. Dieu représente l’assurance car la religion procure de l’espoir. Il pense aussi que la vie est mystérieuse et que tout peut arriver même à lui-même puisqu’il ne peut plus tout contrôler depuis la création de l’homme libre. Au contraire Sigmund Freud est athée et a d’autres idées : Dieu est comme un véritable trou noir, Dieu est le mal il a forme le Monde d’illusions, il est « le Père terrible «. Il dit aussi que Dieu est pour les faibles et refuse de croire en la religion car le croyant espère et peut être confronte à une déception alors que l’athée n’a aucune attente. Freud pense que la vie est absurde, rien ne peux être su à l’avance. Il écrit la science étant spécialisé dans la psychanalyse et pense pouvoir analyser l’homme scientifiquement grâce à toutes ses découvertes. En conclusion, les deux hommes se rejettent la faute car ils ont des opinions différentes : « C’est la faute de l’homme … «, « C’est la faute de Dieu … « et Freud est incapable d'imaginer qu'un dieu puisse exister et laisser le monde dans un état aussi inhumain. De son côté, Dieu plaidera en faveur de l'homme libre, seul responsable de l’état du monde.  

Thème : Thème de la croyance : L’homme est-il libre ? L’homme est libre de lui-même car au moment où Dieu a créé l’homme libre, il a perdu la toute-puissance et l’omniscience alors qu’il aurait pu tout contrôler et tout connaitre d’avance. C’est l’homme qui fait le bien comme le mal. Par contre l’homme n’est pas libre de la société puisqu’il y a toujours une personne plus au placée, par exemple dans le domaine du travail le supérieur hiérarchique donne des directives et dirige sont personnel. L’homme n’est donc pas libre de tout faire comme cela lui plairait. Mais Une question ce pose sur la liberté de l’homme : L’homme est-il prédestiné ? La réponse à cette question dépend de chacun et de ses opinions.  

Mon avis : Cette pièce de théâtre m’a beaucoup plut , elle se lit très rapidement et laisse place au doute. Tout au long de son œuvre, E-E Schmitt joue très bien avec les diverses identités que pourrait avoir le visiteur. Une fois un fou, tantôt un malade, puis Dieu. Qui est-il donc? L'échange entre les deux individus est passionnant, et le contexte de l’histoire bien choisi : le nazisme autrichien, étant donné que nous l’avons déjà étudié dans les cours d’histoire des années précédentes. Mais dans l’histoire, il y a de quoi en vouloir à Dieu pour cette horreur, qu'il impose à l'homme ou que l'homme s'impose. Même si l'identité de l'inconnu n'est pas révélée la fin m'a un peu déçue, j'aurais aimé qu'Eric-Emmanuel Schmitt laisse planer plus d'ambiguïtés. Pour peut-être laisser place à un deuxième livre qui constituerait la suite et le dénouement de l’histoire. 

lecture

« Opposition : Opposition de la religion entre les deux personnages.Le visiteur prétend être Dieu et donc par définition un croyant.

Il défend ses idées : Dieu a créé l'homme par amour, ilest « le Père qui aime », il connait l'homme et sait tout de lui, il croit en l'homme libre et en l'amour de la religion.

Ilest tout-puissant, omniscient, éternel.

Mais il est aussi solitaire et n'a pas de souvenir.

Dieu croit à la vie après la mortet pense que l'athée est un être désespéré qui ne peut éviter la mort.

Dieu représente l'assurance car la religionprocure de l'espoir.

Il pense aussi que la vie est mystérieuse et que tout peut arriver même à lui-même puisqu'il nepeut plus tout contrôler depuis la création de l'homme libre.Au contraire Sigmund Freud est athée et a d'autres idées : Dieu est comme un véritable trou noir, Dieu est le mal il aforme le Monde d'illusions, il est « le Père terrible ».

Il dit aussi que Dieu est pour les faibles et refuse de croire en lareligion car le croyant espère et peut être confronte à une déception alors que l'athée n'a aucune attente.

Freud penseque la vie est absurde, rien ne peux être su à l'avance.

Il écrit la science étant spécialisé dans la psychanalyse etpense pouvoir analyser l'homme scientifiquement grâce à toutes ses découvertes. En conclusion, les deux hommes se rejettent la faute car ils ont des opinions différentes : « C'est la faute de l'homme… », « C'est la faute de Dieu … » et Freud est incapable d'imaginer qu'un dieu puisse exister et laisser le monde dansun état aussi inhumain.

De son côté, Dieu plaidera en faveur de l'homme libre, seul responsable de l'état du monde. Thème : Thème de la croyance : L'homme est-il libre ?L'homme est libre de lui-même car au moment où Dieu a créé l'homme libre, il a perdu la toute-puissance etl'omniscience alors qu'il aurait pu tout contrôler et tout connaitre d'avance.

C'est l'homme qui fait le bien comme lemal.Par contre l'homme n'est pas libre de la société puisqu'il y a toujours une personne plus au placée, par exemple dansle domaine du travail le supérieur hiérarchique donne des directives et dirige sont personnel.

L'homme n'est donc paslibre de tout faire comme cela lui plairait.

Mais Une question ce pose sur la liberté de l'homme : L'homme est-ilprédestiné ? La réponse à cette question dépend de chacun et de ses opinions. Mon avis : Cette pièce de théâtre m'a beaucoup plut , elle se lit très rapidement et laisse place au doute.

Tout au long de sonœuvre, E-E Schmitt joue très bien avec les diverses identités que pourrait avoir le visiteur.

Une fois un fou, tantôt unmalade, puis Dieu.

Qui est-il donc? L'échange entre les deux individus est passionnant, et le contexte de l'histoire bien choisi : le nazisme autrichien, étant donné que nous l'avons déjà étudié dans les cours d'histoire des annéesprécédentes.

Mais dans l'histoire, il y a de quoi en vouloir à Dieu pour cette horreur, qu'il impose à l'homme ou quel'homme s'impose.

Même si l'identité de l'inconnu n'est pas révélée la fin m'a un peu déçue, j'aurais aimé qu'Eric-Emmanuel Schmitt laisse planer plus d'ambiguïtés.

Pour peut-être laisser place à un deuxième livre qui constituerait lasuite et le dénouement de l'histoire.. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles