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Fiche Auteurs

Publié le 04/05/2016

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Fiche Biographique des auteurs étudiés Béroul : Béroul est un auteur Normand (France) du XII° siècle, il est l'auteur supposé de Tristan et Iseut. C'est un nom qu'on donne par convention puisqu'aucun auteur de l'époque n'est connu pour avoir écrit cette œuvre. Sur le plan historique, on ne connaît presque rien de ce Béroul. Il se nomme lui-même dans l’œuvre mais c'est cette seule indication qui nous informe sur son identité qui est peut-être celle d'une autre personne. Ensuite grâce au style et aux indices linguistiques on suppose que l'auteur était normand. Il est aussi possible que Béroul ai vécu en Angleterre car il connaissait beaucoup de choses sur le sujet. Cependant les historiens s'accorde sur un sujet qui est que Béroul a écrit sa version mais de nombreuse versions existaient car ce texte descend des chansons de gestes. Se sont des contes transmis à l'oral et non à l'écrit, d'où la seule version connue qui d'ailleurs n'est pas entière. Mme De La Fayette (De Lafayette) : Marie-Madelaine Pioche De La Vergne de son nom de jeune fille est une femme de lettres française née le 18mars 1634. En 1650, après la mort de son père, elle commence à acquérir une éducation littéraire auprès du Grammairien Ménage. 5 ans après, elle se marie à l'âge de 21ans avec un auvergnat François Motier, comte de la Fayette. Elle lui donnera 2 fils. Mme De Lafayette va suivre son mari en Auvergne même si elle retournera fréquemment à Paris. François Motier un homme effacé reste dans son château si bien que l'on se demandera s'il est mort ou non. La Bruyère résuma cette étrange situation « Nous trouvons à présent une femme qui a tellement éclipsé son mari, que nous ne savons pas s'il est mort ou en vie... » . Elle s’établit de façon définitive à Paris en 1659, elle y fait paraître anonymement son premier livre trois ans après : La princesse de Montpensier. 1669 voit la parution du premier tome de Zaïde, signé par Segrais qui n'est autre que Mme De Lafayette. Le second tome sort en 1671. L'œuvre la plus célèbre de Marie-Madeleine de La Fayette est La princesse De Clèves édité par un de ses amis en 1678. Cette œuvre passe pour le précurseur des romans d'analyse psychologique tant le succès fut immense. La mort de La Rochefoucauld en 1680 puis celle de M. De La Fayette en 1683 poussa la comtesse à se retirer de la vie à la Cour, elle mourut 10 ans plus tard en 1693 à l'âge de 59ans. Maupassant : Guy de Maupassant est un écrivain du XIX ème siècle. Lié à Flaubert et Zola, il a marqué la littérature française avec ses 6 romans dont Une Vie en 1883, Bel-Ami en 1885. Mais il est remarqué surtout par ses nouvelles comme le conte de la Bécasse en 1883 de même. Auteur réaliste, il arrive à faire cohabiter fantastique et pessimisme dans une seule œuvre mais aussi grâce à sa maîtrise stylistique. Sa carrière ne dura que 10ans puisqu'il sombra dans la folie. Il mourra peu avant ses 43ans. Choderlos : Pierre Ambroise François Choderlos de Laclos, né à Amiens le 18octobre 1741 et mort à Tarente le 5 septembre 1803, est un écrivain français longtemps considéré comme scandaleux. Il est poussé par son père à s'engager dans l'armée. En 1779, il est envoyé en mission dans L'Ile d'Aix pour assister le marquis de Montalembert dans la direction de la construction de fortifications contre les Britanniques. Néanmoins, il passe beaucoup de temps à l'écriture des Liaisons Dangereuses qu'il rédige au cours de ses passages dans l'île. En 1781 il est promu capitaine-commandant de canonniers, il obtient une nouvelle permission de six mois, au cours de laquelle il achève son chef-d’œuvre. Flaubert : Gustave Flaubert est un écrivain français du XIXe Siècle. Il a marqué la littérature française par ces textes analytiques du comportement des ses contemporains et par la force de son style. Ses œuvres les plus connues sont Mme Bovary ou L'éducation sentimentale .Dispensé de service militaire grâce au tirage au sort qui lui est favorable (cela se pratiquait ainsi à l'époque), Flaubert entreprend sans conviction, en 1841, des études de Droit à Paris car ses parents souhaitant qu'il devienne avocat. En 1851, poussé par des amis, il commence la rédaction de Mme Bovary. Flaubert poursuit en 1857 par Salammbô et L'éducation sentimentale en 61. À la fois contesté (pour des raisons morales) et admiré de son temps (pour sa force littéraire), il apparaît aujourd'hui comme l'un des plus grands romanciers de son siècle avec en particulier Madame Bovary, roman qui fonde le Bovarysme puis L'éducation sentimentale ; il se place entre le roman psychologique (Stendhal), et le mouvement naturaliste. D'ailleurs Balzac considère Flaubert comme le père de ce mouvement littéraire. Albert Camus : Camus est né en 1913 est Algérie. Il n’a jamais connu son père, qui travaillait comme ouvrier dans un domaine viticole et qui est mort pendant la Grande Guerre, dans la Marne. La mère de Camus, d’origine espagnole, est à demi-sourde et quasi analphabète. Pour élever ses deux enfants (Albert a un frère), elle s’installe dans un quartier pauvre d’Alger et fait des ménages. Remarqué par son instituteur, puis par ses professeurs, le jeune Camus décroche un diplôme d’études supérieures en Lettres, section philosophie. C’est à cette époque que se manifestent les premières atteintes de la tuberculose. Cette maladie terrible, qui le contraindra à suivre de nombreuses cures, lui ferme définitivement les portes de l’agrégation et il ne sera donc jamais professeur. De cette expérience malheureuse, il garde la conviction que la vie est injuste. Cependant, au lieu de sombrer dans un pessimisme improductif et destructeur, il réagit en développant un grand appétit de vivre. La société n’étant pas parfaite, il va vite faire figure d’homme engagé. Il faut dire qu’il déborde d’activités : il exerce plusieurs métiers, se marie, divorce, adhère au Parti communiste,fonde la Maison de la culture d’Alger, puis une troupe de théâtre et enfin se met à écrire. Ce sera Révolte dans les Asturies, qui lui vaudra à jamais la réputation d’écrivain engagé. Devenu journaliste à Alger républicain (proche du Front populaire), il donne des articles dans tous les genres. De plus en plus engagé, il écrit un article intitulé « Misère de la Kabylie », qui fera grand bruit. Le journal est interdit par les autorités et Camus se voit contraint de quitter l’Algérie. Le voilà donc en France en pleine débâcle de 1940. Journaliste à France-Soir, il se replie avec le journal à Clermont-Ferrand. C’est l’époque où il écrit L'étranger. C’est l’époque aussi où il entre dans la Résistance (renseignement et presse clandestine). En 1942, sur les conseils de Malraux qui le connaît bien, Gallimard publie L’Étranger. Ces livres, suivis bientôt par les pièces Le Malentendu et Caligula, appartiennent à ce que l’on a appelé le cycle de l’absurde. Notons que le 8 août 1945, Camus sera un des seuls intellectuels à dénoncer l’usage de la bombe atomique et cela deux jours seulement après la destruction de Hiroshima. Après la guerre, devenu codirecteur du journal Combat (issu de la Résistance), il démissionne. Désabusé, il commence alors des ouvrages comme La Peste, L’état de siège et Les Justes, qui constitueront ce qu’on appellera le cycle de la révolte. Il est vrai qu’il a souvent été incompris, Sartre prend toujours résolument et clairement parti pour une cause (quitte à changer d’avis par la suite), Camus fait davantage dans la nuance. C’est que son discours est moins idéologique et davantage humain. Ainsi, à Alger, en 1956, il lancera un appel pour la trêve civile. Prix Nobel, qui lui sera attribuer en 1957. Camus décédera peu après, le 4 janvier 1960, dans un accident de circulation (la voiture était conduite par le neveu de Gaston Gallimard). Il est enterré à Lourmarin, dans le Vaucluse. Louis Ferdinand Destouches dit Céline : Né en mai 1894 en France, il devient médecin, il écrivait aussi souvent sous le nom de « Céline ». Il se distinguait de ses contemporains de part sa pensée pessimiste très prononcée (bcp plus de Maupassant), et de part une sorte de nihilisme ( du latin Nihil signifiant rien) qui traduit un point de vue philosophique d'après lequel le monde est dénué de tout sens, de tout but, de toute vérité compréhensible ou encore de toutes valeurs. Il était cependant controversé par certaines idées antisémites proches du nazisme, il ne prendra pourtant jamais de position officielle. Il est considéré, en tant qu'écrivain, comme l'un des plus grands novateurs de la littérature française du XXe siècle, introduisant un style très travaillé qui emprunte à l'argot. À propos de son style, Julien Gracq (autre auteur français) dira « Ce qui m'intéresse chez lui, c'est surtout l'usage très judicieux, efficace qu'il fait de cette langue entièrement artificielle — entièrement littéraire — qu'il a tirée de la langue parlée. » Céline décède le 1er Juillet 1961 à Meudon en France à l'âge de 67 ans. Jean de la Fontaine : Né le 8 juillet 1621 et mort le 13 avril 1695 à Paris, Il est un poète français de grande renommée, principalement pour ses Fables et dans une moindre mesure ses contes. On lui doit également des poèmes divers, des pièces de théâtre et des livrets d'opéra qui confirment son ambition de Moraliste. Jean de La Fontaine reste à l'écart de la cour royale mais fréquente les salons, et malgré certaines oppositions, il est reçu à l'Académie Française en 1684. C'est en effet en s'inspirant des fabulistes (auteurs de fables) de l'antiquité et en particulier d’Ésope, qu'il écrit des fables qui font sa célébrité. Le premier recueil qui correspond aux livres I à VI des éditions actuelles est publié en 1668, le deuxième (livres VII à XI) en 1678, et le dernier (livre XII actuel) est daté de 1694. Le brillant maniement des vers et la visée morale des textes, parfois plus complexes qu'il n'y paraît à la première lecture, ont déterminé le succès de cette œuvre à part. D'ailleurs les Fables de la Fontaine sont toujours considérées comme un des plus grands chefs-d’œuvre de la littérature française. Jean D.F a donc éclipsé le conteur d'autant que le souci moralisant a mis dans l’ombre les contes publiés entre 1665 et 1674. Honoré de Balzac, Honoré Balzac : Né en mai 1799 et mort à Paris le 18 août 1850 (à 51 ans), est un écrivain français. Romancier,, dramaturge, critique littéraire et d'art, essayiste, journaliste, et enfin imprimeur, il a laissé l'une des plus imposantes œuvres romanesques de la littérature française, avec plus de quatre-vingt-dix romans et nouvelles parus de 1829 à 1855 , réunis sous le titre La Comédie Humaine. À cela s'ajoutent Les cent contes drolatiques, ainsi que des romans de jeunesse publiés sous des pseudonymes et quelque vingt-cinq œuvres ébauchées. Il est un maître du roman français, dont il a abordé plusieurs genres, du roman philosophique avec Le Chef-d’œuvre inconnu au roman fantastique avec La Peau De Chagrin en passant par le roman poétique avec Le Lys dans la vallée. Il a surtout excellé dans le réalisme avec notamment Le père Goriot et Eugénie Grandet. Comme il l'explique dans son Avant-Propos de la Comédie Humaine, il a pour projet d'identifier les « Espèces sociales » de son époque,il veut explorer les différentes classes sociales et les individus qui les composent, afin « d'écrire l’histoire oubliée par tant d’historiens, celle des mœurs » et « faire concurrence à l'état civil». L'auteur décrit la montée du capitalisme et l'absorption par la bourgeoisie d'une noblesse incapable de s'adapter aux réalités nouvelles. Intéressé par les êtres qui ont un destin, il crée des personnages plus grands que nature, au point qu'on a pu dire que, dans ses romans, « chacun, même les portières, a du génie ». Ses opinions politiques sont ambiguës : s’il affiche des convictions légitimistes, il s’est auparavant déclaré libéral, et défendra les ouvriers en 1840 et en 1848, même s'il ne leur accorde aucune place dans ses romans. Tout en professant des idées conservatrices qui invite par certains aspects à l'anarchisme et à la révolte. Travailleur forcené, fragilisant par ses excès une santé précaire, endetté à la suite d'investissements hasardeux et de dépenses somptuaires, fuyant ses créanciers sous de faux noms dans différentes demeures, Balzac a aussi eu de nombreuses liaisons féminines avant d'épouser, en 1850, la comtesse Hanska qu'il avait courtisée pendant dix-sept ans. Comme l’argent qu’il gagnait avec sa plume ne suffisait pas à payer ses dettes, il avait sans cesse en tête des projets mirobolants : une imprimerie, un journal, une mine d'argent. C’est dans un palais qu’il meurt profondément endetté au milieu d’un luxe inouï. Lu et admiré dans toute l'Europe, Balzac a fortement influencé les écrivains de son temps et du siècle suivant comme Gustave Flaubert, Émile Zola et Marcel Proust. Émile Zola : Écrivain et journaliste français, né à Paris en avril 1840 et mort dans la même ville en septembre 1902. Considéré comme le chef de file du naturalisme, c'est l'un des romanciers français les plus populaires, les plus publiés, traduits et commentés au monde. Ses romans ont connu de très nombreuses adaptations au cinéma. Il est principalement connu pour Les Rougon-Macquart, fresque romanesque en vingt volumes dépeignant la société française sous le Second Empire et qui met en scène la trajectoire de la famille des Rougon-Macquart, à travers ses différentes générations et dont chacun des représentants d'une époque et d'une génération particulière fait l'objet d'un roman. Les dernières années de sa vie sont marquées par son engagement dans l'affaire Dreyfus avec la publication en janvier 1898, dans le quotidien L'aurore de l'article intitulé « J'accuse » qui lui a valu un procès pour diffamation et un exil à Londres dans la même année. Samuel Beckett : Né en Irlande le 13 avril 1906 et décédé à Paris, en décembre 1989 est un écrivain, poète et dramaturge irlandais d'expression française et anglaise. S'il est l'auteur de romans, tels que Molloy, Malone meurt et l'Innommable et de textes brefs en prose, son nom reste surtout associé au théâtre de l'absurde, dont deux pièces En attendant Godot (1952) et Fin de partie (1957) sont les des plus célèbres. En attendant Godot est une œuvre austère et minimaliste, ce qui est généralement interprété comme l'expression d'un profond pessimisme face à la condition humaine. Opposer ce pessimisme à l'humour omniprésent chez lui n'aurait guère de sens : il faut plutôt les voir comme étant au service l'un de l'autre, pris dans le cadre plus large d'une immense entreprise de dérision. Avec le temps, il traite ces thèmes dans un style de plus en plus lapidaire, tendant à rendre sa langue de plus en plus concise et sèche. En 1969, il reçoit le Prix Nobel de Littérature pour « son œuvre, qui à travers un renouvellement des formes du roman et du théâtre, prend toute son élévation dans la destitution de l'homme moderne ». Georges Orwell : De son vrai nom Éric Arthur Blair, est un écrivain et journaliste anglais né en Inde en 1903. Il est mort en 1950 à Londres. Son œuvre porte la marque de ses engagements, qui trouvent eux-mêmes pour une large part leur source dans l'expérience personnelle de l'auteur. En effet, il s'oppose à l’impérialisme britannique dû à son expérience en temps que jeune indien élevé à l'anglaise, puis au socialisme après avoir vécu dans les conditions laborieuses des basses classes de Paris ou Londres, enfin il s'oppose au nazisme et au totalitarisme soviétique après avoir participé à la Guerre d'Espagne. Témoin de son époque, Orwell est dans les années1930 et 1940 chroniqueur, critique littéraire et romancier. De cette production variée, les deux œuvres au succès le plus durable sont deux textes publiés après la Seconde Guerre mondiale : La ferme des animaux et surtout 1984 roman dans lequel il crée le concept de Big Brother depuis passé dans le langage courant de la critique des techniques modernes de surveillance. L'adjectif « orwellien » est également fréquemment utilisé en référence à l'univers totalitaire imaginé par l'écrivain anglais. Molière : Acteur, chef de troupe, auteur et metteur en scène, Molière est l'homme de théâtre complet par excellence. Il joue, en tant qu'auteur, sur toute la gamme des effets comiques, de la farce la plus bouffonne jusqu'à la psychologie la plus élaborée. Ses pièces où, s'attaquant à un vice de l'esprit ou de la société, il campe des personnages qui forment des types, sont de véritables chefs-d'œuvre. En élevant la comédie, considérée avant lui comme un genre mineur, il a donné un élan vital au théâtre. Marivaux : Écrivain d’occasion puis écrivain professionnel, Marivaux laisse une quarantaine de pièces de théâtre et plusieurs romans. L’auteur, qui passe de l’étude des mœurs à l’analyse des sentiments, est un témoin essentiel de la société française de la première moitié du xviiie siècle. Le langage qu’il invente, à la fois libre et sophistiqué, est à l’image de sa conception des relations amoureuses, où les masques se jouent de la sincérité, et où la sincérité découvre les masques. Parfois jugé frivole ou superficiel – on parle de « marivaudage » pour dénoncer les excès de sa finesse –, Marivaux renouvelle l’approche de la psychologie humaine. (Paris 1688-Paris 1763) Eugène Ionesco : né le 26 novembre 1909 en Roumanie et mort en 1994 à Paris est un dramaturge et écrivain roumain et français. Il passe la majeure partie de sa vie à voyager entre la France et la Roumanie. Représentant du Théâtre de l'absurde, il écrit de nombreuses œuvres dont les plus connues sont La Cantatrice Chauve, Les Chaises et Rhinocéros. Jean de La Fontaine : La Fontaine est aujourd’hui le plus connu des poètes français du XVII siècle, et il fut en son temps, sinon le plus admiré, du moins le plus lu, notamment grâce à ses Contes et à ses Fables. Styliste éblouissant, il a porté la fable, un genre avant lui mineur, à un degré d’accomplissement qui reste indépassable. Moraliste, et non pas moralisateur, il pose un regard lucide sur les rapports de pouvoir et la nature humaine, sans oublier de plaire pour instruire. Il rédige ses dernières fables (il en aura écrit 240 au total). Il accepte de renier ses contes et décide de faire pénitence. Il meurt le 13 avril 1695. En 1817, son corps sera transporté au cimetière du Père-Lachaise. Voltaire : Voltaire, l’un des philosophes des Lumières les plus importants, a connu une vie mouvementée marquée par l’engagement au service de la liberté. Travailleur infatigable et prolixe, il laisse une œuvre considérable et très variée qui touche à tous les domaines, renouvelle le genre historique et donne au conte ses lettres de noblesse. Denis Diderot : Connu de son vivant comme le maître d'œuvre de l'Encyclopédie Denis Diderot exerça, après sa mort, une influence esthétique majeure sur les précurseurs du romantisme. Entre philosophie et littérature, roman et théâtre, il édifia une œuvre riche, complexe, originale, représentative du siècle des Lumières. Sa modernité ressort de son goût pour les idées neuves, de sa curiosité pour les sciences, de la hardiesse de sa pensée – ce qui n'a pas manqué de lui valoir quelques déboires avec les autorités. Il est la figure emblématique de l'écrivain-philosophe.

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