Fables livre 7 Jean de la fontaine résumés + Morales
Publié le 04/03/2014
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FABLES DE LA FONTAINE LIVRE 7 RESUMES + MORALES Les animaux malades de la peste : Morale : Selon que vous serez puissant ou misérable, Les jugements de cours vous rendront blanc ou noir. Petit résumé : Les animaux ont la peste et le roi, le lion dit que c'est à cause d'un animal qui a fait une faute. Plusieurs vont donc être interrogés et un Âne dira qu'il a mangé de l'herbe qui ne lui appartenait pas alors un loup dira qu'il faut le tuer. Si vous êtes puissant ou misérable, les jugements de cour vous rendent blanc ou noir. Le mal marié : Petit résumé : L'histoire d'un homme marié à une femme qui reproche à son mari de ne pas être assez souvent à ses côtés. Elle critique aussi les valets. Son mari la renvoie à la campagne chez ses parents et les paysans ne la supporte pas non plus. L'homme dit alors que si il va aux enfers ils veut deux femmes comme ça à ses côtés. Morale : Si votre esprit est si hargneux, que le monde qui ne demeure qu'un moment avec vous et ne revient qu'au soir est déjà lassé de vous voir, que feront des valets qui toute la journée vous verront contre eux déchaînée ? Et que pourra faire un époux que vous voulez qu'ils soient jour et nuit avec vous ? Le rat qui s'est retiré du monde : Petit résumé : Un rat s'est retiré du monde avec de la nourriture. Un jour, après avoir été menacé par le peuple chat, des députes vinrent lui demander l'aumône, il leur dit qu'il ne pouvait que prier pour eux et ferma la porte. Morale : Qui désignai-je, à votre avis, par ce rat si peu secourable ? Un moine ? Non mais un dervis (religieux turc) : Je suppose qu'un moine est toujours charitable. Le héron : Petit résumé : Un héron vit un poisson mais il n'avait pas trop faim encore, il attendit que l'appétit lui vienne. Quand il eut faim, il trouve des tanches qui ne lui plurent pas, il s'attendait à mieux et les prit de haut. Ensuite, il vit du goujon il prend encore un air dédaigneux. Il ne trouva plus rien, mais avait très faim, il fut donc content de trouver un limaçon. Morale : Les plus accommodants, ce sont les plus habiles ; on hasarde de perdre tout en voulant tout gagner. Gardez-vous de rien dédaigner, surtout quand vous avez à peu près votre compte. La fille : Petit résumé : Même histoire que celle du héron mais avec une femme qui porte un oeil dédaigneux sur des Hommes et qui rencontre à la fin un malotru. Morale : Le désir peut loger dans une précieuse. Celle-ci fit un choix qu'on n'aurait jamais cru, se trouvant à la fin toute aise et toute heureuse de rencontrer un malotru. Les souhaits : Petit résumé : L'histoire d'un follet (lutin) qui rend service à des gens mais il doit les quitter. Alors il leurs demande de faire 3 souhaits. Ils font le souhait de l'abondance. Ils deviennent alors riche mais attirent les voleurs et ne sont pas tranquilles. Quand le follet fut sur le point de partir, ils demandèrent la sagesse qui est un trésor qui n'embarrasse pas. La cour du lion : Morale : Ne soyez à la cour, si vous voulez y plaire, ni fade adulateur, ni parleur trop sincère, et tâchez quelquefois de répondre en Normand. Résumé : C'est l'histoire d'un lion roi qui organise des fêtes pour connaître sa popularité. Son palais (Louvre) puait comme un charnier et quand l'ours arriva il se boucha le nez. Le lion l'envoya aux enfers. Une flatterie d'un singe ne lui plut pas et il punit le singe. Ensuite il demande à un renard ce qu'il pense de son parfum et le renard ne dit trop rien, prétextant un rhume. La fontaine dit alors qu'il ne faut pas être à la cour si on veut y plaire, qu'il faut parfois répondre en Normand et être hypocrite. Les vautours et les pigeons : Résumé : C'est l'histoire de vautours qui se font sans cesse la guerre. Alors un jour les pigeons leurs proposèrent une trêve. Les vautours arrêtèrent de se battre entre eux. Mais, ils tuèrent tous les pigeons. Il faut donc se mêler de ses affaires et pas de celle des autres pour ne pas avoir d' ennuis. Le coche et la mouche : Résumé : C'est l'histoire d'une mouche qui amuse la galerie et croit qu'en piquant les chevaux arrive à faire avancer le coche et donc à déplacer les gens. Ensuite elle se plaint qu'elle est toute seule et croit faire du bon travail alors qu'elle ne sert à rien. C'est un sergent de bataille qui fait avancer le coche. Morale : Ainsi certaines gens, faisant les empressés, s'introduisent dans les affaires : ils font partout les nécessaires, et, partout importuns, devraient être chassés. La laitière et le Pot au lait : Résumé : Perrette rêve déjà à tout ce qu'elle va avoir en échange de son lait (qui est celui de son mari); finalement, insouciante elle trébuche. Morale (pas de JdeLF) : non seulement ses rêves s'écroulent mais elle doit aller s'excuser auprès de son mari : ne pas mettre la charrue avant les boeufs car on peut perdre plus que ce qu'on avait au départ ! Le curé et le mort : Résumé : Un curé est pressé d'en finir avec un enterrement dont il n'attend que de l'argent. Il faisait des projets mais le cercueil tomba et tua le curé. Morale (pas de JdeLF) : Il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué. L'homme qui court après la fortune et l'homme qui l'attend dans son lit : Résumé : Un homme recherchait la fortune à tout prix, il dit à un autre « si nous quittions notre séjour, «. Cependant l'autre ne voulait chercher destin meilleur et lui dit qu'il reviendra bientôt. D'ailleurs, il fait voeux de dormir en l'attendant. Le premier parcouru le monde en passant par le mogol et le japon. Il se rendit compte qu'il n'aurait pas du quitter son village et y retourna. Il retrouva son ami qui était endormi. Bien souvent, le bonheur est à sa porte. Les deux coqs : Résumé : Deux coqs se battent pour une poule. L'un perd l'autre gagne. Le perdant est jaloux. Le gagnant monte sur tous les toits pour clamer sa victoire mais un aigle passe et le tue. Le perdant se retrouve alors aux côtés de la poule. Morale (pas de JdeLF) : Après avoir gagné une bataille, il faut toujours rester vigilant. L'ingratitude et l'injustice des hommes envers la fortune : Résumé : Un trafiquant s'enrichit en vendant son sucre, son tabac, sa cannelle... cela grâce à une mer qui avait été calme durant sa traversée. Il décida de retenter cette affaire. Cependant, la mer cette fois ci n'était pas clémente et il ne vendit rien. Il accusa la fortune (le sort). Le bien nous le faisons, le mal c'est la fortune. On a toujours raison, le destin à toujours tort. Les devineresses Résumé : C'est l'histoire d'une voyante qui déménage de son grenier. C'est dans ce grenier qu'elle reçoit ses clients. Arrive dans son grenier une nouvelle femme qui attire le monde car l'ancienne voyante y était. Morale : L'enseigne fait la clientèle. Le chat, la belette et le petit lapin Résumé : C'est l'histoire d'un lapin qui se fait prendre son château (terrier) par une belette. Ils se disputent, le lapin menace la belette d'appeler les rats. La belette propose de demander conseil à un chat. Le chat les tuent tout les deux. Ceci ressemble fort aux petits débats qu'on parfois les petits souverains se rapportant aux rois La tête et la queue du serpent Résumé : C'est l'histoire d'une queue qui se plaint d'être toujours derrière la tête. Elle ne peut donc pas allez où elle veut et doit suivre la tête. Alors, le ciel la place devant la tête mais elles se tuèrent, elle et la tête car elle était aveugle. Malheureux les états tombés dans son erreur. Un animal dans la lune Résumé : Différents philosophes débattent au sujet de l'astrologie. Un jour des hommes croyaient voir un animal sur la lune. C'était en fait une souris placée entre les 2 verres de la lunette. Il vaut mieux s'intéresser aux beaux arts qu'à la guerre.
Liens utiles
- Texte 1: «Les Membres et l'Estomac» , Fables (Livre III) , Jean de La Fontaine , 1668.
- Jean de La Fontaine, Fables, Livre X, Fable I, « Les Deux Rats, le Renard et l’Oeuf ».
- Jean de La Fontaine, Fables, Livre VI, Fable 18, « Le Chartier embourbé ». Extrait commenté
- Jean de La Fontaine (1621-1695), Fables, extrait du livre Il, 16: Le Corbeau voulant imiter l’Aigle
- Jean de La Fontaine, « Le Singe et le Léopard », Fables, livre IX (commentaire)