Expliquez et appréciez cette pensée de Montesquieu : L'étude a été pour moi le souverain remède contre les dégoûts de la vie, n'ayant jamais eu de chagrin qu'une heure de lecture ne m'ait ôté.
Publié le 08/05/2011
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Montesquieu n'est pas un sentimental, mais ce n'est pas non plus un coeur sec, comme la seconde partie de la pensée pourrait le faire croire. Il a dit : Je n'ai jamais vu couler de larmes sans en être attendri... Je suis amoureux de l'amitié. C'est surtout un grand travailleur, qui sacrifia sa vie à son oeuvre et trouva dans l'étude un attrait supérieur à celui des plus brillants salons parisiens. Remarquons que Voltaire, qu'il n'aimait pas, aboutit, dans Candide, à la même conclusion : Cultivons notre jardin. Le travail est, en effet, le meilleur remède contre les maux qui désolent l'humanité.
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- l'étude a été pour moi le souverain remède contre les dégoûts de la vie, n'ayant jamais eu de chagrin qu'une heure de lecture ne m'ait ôté. Mes Pensées, 4 Montesquieu, Charles de Secondat, baron de. Commentez cette citation.
- Montesquieu a écrit: L'étude a été pour moi le souverain remède contre les dégoûts de la vie, n'ayant jamais eu de chagrin qu'une heure de lecture n'ait dissipé. Que pensez-vous de cet aveu ? Vous semble-t-il caractéristique de l'esprit de Montesquieu ? Ce genre de diversion vous paraît-il s'appliquer à toute sorte de chagrins et résulter de n'importe quelle lecture ?
- L'étude a toujours été pour moi le souverain remède contre les dégoûts de la vie, n'ayant jamais eu de chagrin qu'une heure de lecture n'ait dissipé. (MONTESQUIEU)
- Expliquez et discutez cette pensée de Montesquieu : « Il n'est pas de chagrin qu'une heure de lecture ne m'ait ôté. »
- Expliquez et discutez cette pensée de Montesquieu : « Il n'est pas de chagrin qu'une heure de lecture ne m'aît ôté. » ?