Ecrit d'invention sur La petite fille de Monsieur Linh de Claudel

Après un interminable périple sur des eaux dangereuse et hostiles dans une embarcation immense si nous les comparerions a nos simples pirogues taillées dans le bois, je suis enfin arrivé à Paris, une ville peuplé d’habitant plutôt aisés, munis d’immenses forets sombres, elle ne ressemble pas a nos forets, les nôtres sont plus humides, plus étouffées..

J’ai été accueillies par le chef de cet endroit, ici on l’appelle le roi, son nom est Henri IV, ne me demande pas pourquoi il y a un chiffre après son nom, je ne le sais pas. Il règne sur toute la France, et vit dans un château, dans Paris même. Ce roi, est très accueillant, il m’a proposé même de participé a une chasse au cerfs pour que je vois comment c’est chez eux, je doit d’avouer que ce la m’a surpris, même donné le sourire quand j’ai vu la ridiculité de cette chasse, j’ai aussi remarqué qu’ici le respect de l’animal n’est pas respecté ici, et tu comprendra pourquoi plus tard en lisant la suite de cette lettre . En effet un dimanche matin on m’a réveillé pour allé a la chasse, étant je suis sorti du château et on ma fait monté sur un cheval avec une chose étrange sur lui, eux ils appellent cela une selle je ne vois pas l’intérêt de cet objet, ensuite nous sommes partis de la cour pour aller dans l’immense foret qui appartenait au châtelain.

Tout d’abord j’ai pu observé qu’il y avait plusieurs styles de chasseur, il y avait ceux qui étaient a pieds, c’étaient des valets, on dit qu’ils ouvrent la chasses, mais j’ai eu un sourire moqueur  lorsque j’ai entendu le bruit qu’il faisait avec leur instrument, je leur ai donc demandé qu’est-ce qu’étais cet instrument, ils m’on affirmé que c’était des cors de chasse et c’était pour ouvrir la chasse et affolé les bêtes pour qu’elles sortent de leurs cachettes. Ensuite il y avait les rabatteurs qui possédaient des chiens bien différents des notre, ils possédaient cette faculté a entourés et a pourchassé l’animal de façon a ce qu’il ne puisse plus bouger. Puis il y avait les chasseurs, qui étais eux sur les chevaux et avait des armes étranges, ils leurs suffisaient d’appuyés sur une sorte de gâchette et une balles partait d’un trou, cela relève je pense, de la magie, une fois l’animal touché par une des ces balles ils laissaient faire les chiens, pour arrivé jusqu'à l’épuisement de l’animal et donc a sa mort, c’est ainsi l’hallali des chasseurs et la curée. Ce qui était ridicule, c’était tous les costumes que les chasseurs utilisé pour chasser, des tenus flamboyant composé d’or, alors que nous, nous passons notre temps a essayé de cherché de l’or dans nos rivières, mais comment ils ont fait pour en avoir autant ? Les indiens n’on pas besoins de tout ces costumes mais juste des pagnes et des lances, et quelques pièges fabriqués dans notre forets. Je t’avais dit qu’il ne respecté pas l’animal, comprends-tu maintenant ? En fait ils laissaient souffrir l’animal, et le poussaient  dans ses derniers retranchement, ses dernières forces jusqu'à ce qu’il meurt, alors que chez nous, on tue l’animal des que l’on peut, et nous ne sommes pas dans l’euphorie, plein de musiques stridentes, juste quelques crient nous suffisent, pour signifier notre bonheur.

Malheureusement je dois poser ma plumes car une nouvelles aventure m’attends et je dois y allé. Au revoir. Je vous envoie une autre lettre des que possible.