Devoir de Philosophie

Don Giovanni de Mozart et da Ponte

Publié le 07/04/2011

Extrait du document

don

Intro :

 

Tout d’abord le mythe de Don Juan. Avant que le personnage reçoive le nom sous lequel il est repris dans l’opèra de Mozart et de da Ponte. Il voit le jour vers 1630 sous la plume de Fray Luis Gabriel Tellez, plus connu sous le nom de TIRSO de MOLINA (1583-1648), un religieux auteur de nombreuses pièces, lui donne son nom et fixe la trame de la légende dans « El Burlador de Sevilla « (ou Le Trompeur de Séville) : Don Juan, un séducteur libertin, tue un Commandeur, père d’une fille qu’il a séduite; il est ensuite entraîné en Enfer par la statue de ce Commandeur. Tirso invente également le couple maître-serviteur (Don Juan et Catalinón). Dans l’esprit de Tirso de Molina il s’agit d’un sermon sur la repentance tardive : il faut expier ses péchés quand il en est temps.

Les plus grands auteurs vont ensuite broder sur cette intrigue. La plus célèbre étant celle du dramaturge et auteur français, Molière écrite au en 1665 sous le titre de « Dom Juan ou le convive de Pierre «.

D’autres auteurs, peintres, musiciens reprendront à leurs façons le personnage de Don Juan. Nous nous baserons sur celle qu’écrit le librettiste italien Lorenzo da Ponte pour un opéra dont Mozart en sera le compositeur: « Il dissoluto punito ossia il Don Giovanni « datant du 18ème siècle. Comment Mozart et da Ponte ont-ils créé une œuvre à part entière sur le mythe de Don Juan ?

               

              1 : Présentation de l’opéra + Etude d’un extrait

 

               2 : Le Don Giovanni de Mozart les différences et constances par rapport à Molière et Tirso de Molina

 

            3 : Dans quel mesure Don Giovanni a-t-il fait avancer le mythe ?

 

1 : Présentation de l’opéra + Etude d’un extrait

            IL DISSOLUTO PUNITO, ossia Il Don Giovanni ou LE LIBERTIN PUNI, aussi Le Don Juan  en français est un opéra en deux actes en italien du genre dramma giocoso. Le dramma Giocoso ou drame joyeux, telle est l'appellation accolée au titre de l'œuvre ; mais comme le montre un extrait du catalogue thématique que Mozart a dressé lui-même de ses œuvres, Don Giovanni y figure en termes d'opera Buffa. Peut-être ne faut-il donc pas trop s'attarder sur ce "terme générique de « dramma giocoso « est parler d’Opéra Buffa : dans ce genre, les sujets traités sont comiques et les personnages, issus de la vie quotidienne.

C’est la deuxième collaboration entre Mozart et da Ponte après Les Noces de Figaro, le livret est proposé par le librettiste au compositeur à la fin du printemps 1787, pour répondre à une commande du Théâtre national de Prague passée en janvier de la même année, après le succès de leur ouvrage précédent « les noces de figaro «. Mozart y travailla du mois de juillet à la veille de la création, sa célèbre « ouverture « ayant été écrite durant la nuit précédant la répétition générale.

 

La première eut lieu au théâtre Nostitz de Prague le 29 octobre 1787, avec la même troupe qui y avait fait Les Noces de Figaro.

Je vais vous écrire les dates importantes :

 

Commande en janvier 1787

Fin de l’écriture par da Ponte au printemps 1787

Composition par Mozart du printemps jusqu’en octobre 1787

Première le 29 octobre 1787

 

Je vais vous faire une courte biographie de Mozart et de da Ponte sans trop m’y attarder :

- Joannes Chrysostomus Wolfgangus Theophilus Mozart, ou plus simplement Wolfgang Mozart est né le 27 janvier 1756 à Salzbourg. Lui et sa sœur Maria-Anna, beaucoup moins connu, sont des enfants prodiges de la musique, encore jeunes quand leur père exhibe leurs talents musicaux devant toute l’Europe (Paris, Londres, Berlin...) les voyages se succèdent permettant à Mozart de découvrir de nombreux musiciens (dont le fils de Jean Sebastian Bach) et d’effectuer d’importants progrès. Ainsi, Mozart écrit son premier opéra à l’âge de 12 ans et devient de plus en plus connu : il est payé pour écrire de la musique, et travaille par exemple pour l’archevêque Colloredo. Mais cela ne lui plaît pas car il n’est pas assez libre dans la composition: il quitte donc l’archevêque en 1781. Peu après, il se marie avec Constance Weber et travaille comme professeur de musique particulier auprès de familles riches. Mais, s’il gagne beaucoup d’argent, il ne sait pas le gérer et devient très vite endetté. Suite à la mort de son père en 1787 Mozart écrira « Don Giovanni «. Il passe des années très difficiles : fatigue, maladie et dettes n’arrangent pas sa situation. En 1791, il compose tout de même deux chef-d’œuvre : la flûte enchantée et le Requiem qu’il ne peut malheureusement pas achever car Mozart meurt le 4 décembre 1791 à seulement 35 ans, en laissant plus de 600 œuvres à la postérité.

-Lorenzo da Ponte   à Ceneda (commune de Vittorio Veneto, province de Trévise), le 10 mars 1749. En 1773, il est ordonné prêtre, enseigne à Trévise et Venise, avant d'être banni de cette dernière pour adultère. Il séjourne alors brièvement à Dresde (en Allemagne) et s'installe à Vienne en 1781, où il est nommé librettiste du nouveau théâtre italien par Joseph II. Il écrit pour Salieri grand musicien et rival de Mozart, et da Ponte écrira pour ce dernier également avec 'Le Nozze di Figaro' (Les noces de Figaro) en 1786. S'ensuivront alors en 1787 'Don Giovanni', et 'Cosi fan tutte' en 1789-90. Pour ne parler que de ses œuvres avec Mozart. Il quitte Vienne en 1790, à la mort de Joseph II, à Londres  où il est nommé librettiste du King's Theatre en 1793, il doit émigrer à New York en 1805 suite à des difficultés financières. Epicier, puis libraire et professeur d'italien, il y écrit ses mémoires (' Memorie di Lorenzo da Ponte di Ceneda scritte da esso', 1823) Très précieuse car on y trouve dedans beaucoup d’information sur Don Giovanni et sur Mozart. Sorte d'apothéose de sa vie en 1825, il aide et  assiste à la première new-yorkaise de 'Don Giovanni'. Il meurt à New York, le 17 août 1838.

            Je vous fais passer un extrait du livret et je vais vous faire écouter un passage pour vous montrer qu’est-ce que la musique de Mozart.

 

+ 5 min

 

L’extrait que je vous ai passé se situe au début de l’opéra, Acte I scène 4. Donna Elvira vient d’être séduite puis délaissée par Don Juan et ne comprends pas ce qui lui arrive. Elle rencontre par hasard Leporello (le serviteur de Don Giovanni) et lui demande des explications. Celui-ci explique à Donna Elvira que malgré les apparences et tout ce qu’il a pu lui dire, son maître se moque complètement d’elle et qu’il ne s’intéresse pas plus à elle qu’à une autre. Il s’empare alors d’un livre, et déroule devant la pauvre femme tout le “catalogue” des conquêtes féminines de son maître.

Je voulais vous faire écouter mais lire aussi un extrait car il est intéressant de voir qu’il y a plusieurs possibilités de « lire « un opéra : il y a le texte du livret dans la langue d’origine ici en Italien, puis la traduction en français et enfin il y a la partition du compositeur. Il y a egalement plusieurs façons de considérer un opéra : voir une représentation (filmé ou en direct) ou écouter l’opéra sans jeu d’acteur.

 

Après avoir présenté Don Giovanni et l’opéra parlons des différences et constances présente dans le livret de da Ponte.

 

               2 : Le Don Giovanni de Mozart les différences et constances par rapport à Molière et Tirso de Molina

 

            Comme tous les mythes, celui de Don Giovanni repose sur un certain nombre d’invariants et de variations qui n’échappe pas à la production de Da Ponte et de Mozart.

• Un homme nommé Don Juan ( dans l’opéra il prend le nom italianisé), il est membre de la classe dominante de la société (un noble), doté d’une grande vitalité, d’un certain narcissisme et plutôt sadique, il séduit une multitude de femmes de toutes les classes sociales : des femmes du peuple sont toujours concernées (Charlotte et Mathurine chez Molière, Zerlina chez Mozart), des fiancées (Zerlina et Dona Anna chez Mozart et la fiancée de l’acte I scène II chez Molière). La séduction est toujours faite par différents procédés :

Ø  par son charme et la fascination qu’il exerce,

Ø  par la promesse du mariage

Ø  par le viol, par exemple en se faisant passer, dans l’obscurité, pour un fiancé (Dona Anna chez Mozart, Isabelle chez Tirso de Molina.)

•     Il offre soit une fête ou un repas (chez Mozart) ou un bal.

·         Il est en Sicile chez Molière, à Seville chez Mozart

• Il est accompagné d’un personnage, au nom presque toujours différent (Sganarelle chez Molière, Leporello dans le livret de da Ponte) il est plus son double que son serviteur et tient un catalogue des conquêtes de son maître (pas chez Tirso de Molina, mais cette liste est évoquée chez Molière ; et c’est la fameuse « mille e tre « chez Mozart que nous avons écouté à l’instant).

• Il tue un Commandeur, père d’une de ses conquêtes. Il défie une statue placée sur la tombe de ce dernier, l’invite à dîner, elle accepte d’un signe de tête; elle se rend au dîner et la statue invite à son tour Don Juan, puis vient le chercher pour l’entraîner en enfer; Don Juan fait face à la damnation et meurt sans se repentir.

Cependant il y a une différence flagrante chez Don Giovanni de da Ponte et de Mozart c’est la religion :

Le Don Giovanni de Mozart, à la différence du Don Juan de Tirso de Molina ou du Dom Juan de Molière, n'est pas en rébellion déclarée contre Dieu et la religion. C'est peut-être parce que Lorenzo Da Ponte, le librettiste, était un prêtre, et qu'il n'a pas voulu avoir trop de problèmes avec sa hiérarchie (le simple fait de s'attaquer au thème de Don Juan lui attira déjà bien assez de reproches...). Si Don Giovanni est rebelle, c'est par rapport à son rang et à ses devoirs de gentilhomme. En fait, chez Mozart, Dieu est tout simplement évacué de l'histoire. Il ne fait référence qu’une seule fois au ciel, c’est lors de la mort du commandeur à l’acte 1 : « Ah ! Déjà le misérable s’éffondre/ halletante et agonisante/ déjà de sa poitrine palpitante/ Je vois son âme s’en aller «.

On a vu que Don Giovanni reste fidèle au mythe mais maintenant nous allons comment en plus de cela il arrive à faire progresser le mythe.

 

            3 : Dans quel mesure Don Giovanni a-t-il fait avancer le mythe ?

 

Dans quelle mesure Don Giovanni a-t-il fait avancer le mythe ?

 

Alors d’abord par les adaptations :

 

La popularité soutenue de Don Giovanni a eu comme conséquence des emprunts et des arrangements étendus de l'original. Pour n’en citer que quelque uns des grand musiciens qui reprendront l’œuvre, citons Beethoven, Chopin, Litz ou encore Offenbach. Au cinéma une adaptation fidèle reste celle de Losey qui en ferra un film-opéra en 1979. Autour de Mozart, de nombreux livres, documentaires, films seront fait, pour n’en citer qu’un « Amadeus « Réalisé par Milos Forman en 1984.  

Le mythe de Don Juan après avoir était rendu célèbre en littérature par Molière, le devient en musique grâce à Da Ponte et Mozart. Même si auparavant d’autre opéra existé sur Don Juan seule l’œuvre de Mozart à su devenir aussi répandu et reprise.

 

Ensuite un autre élément qui fait que Don Giovanni fait tant progresser le mythe c’est par les représentations qui feront traverser les époques à don Juan :

 

Je ne pourrais pas vous citer toutes les représentations ca serait trop long, donc je vous donnerais seulement les plus importantes pour moi.

Donc comme on l’a vu la première à Prague le 29 octobre 1787.

Après la représentation à Vienne le 7 mai 1788, les représentations se multiplie dans les grandes villes d’Europe, tel que Frankfort, Hambourg, Varsovie, Florence, Berlin, …

 

En France, la première aura lieux à Paris le 17 septembre 1805 : en italien. La représentation en française ne se jouera qu’en 1811.

 

Autre date importante, 1826 c’est la Première à New York . Importante pour deux raisons la première est que Da Ponte participera de nouveau à la production, ensuite la pièce alors seulement jouer sur notre continent avec NY elle passe en renommé mondial.

 

Une autre plus récente, juillet 2010. Représentation faite à Aix en Provence. Effectivement la ville accueille chaque été depuis 1948 le festival d’opéra et de musique classique, c’est l’un des plus grands festivals lyriques européens, avec une affinité particulière pour les opéras de Mozart C’est en effet Così fan tutte la troisième coopération entre da Ponte et Mozart qui est donné lors du premier festival. La date n’est pas vraiment importante mais il est intéressant à savoir que notre ville est une ville d’opéra. 

 

Grâce à Don Giovanni, don juan devient un mythe qui traverse, les époques par les représentations, les arts et qui ne cesse de progresser grâce aux adaptations.

 

Conclusion :

 

Ainsi, nous avons vu que Don Giovanni de Mozart et Da Ponte s’inscrit dans le mythe de Don Juan. En reprenant des thèmes, une histoire, les compositeurs ont réussi à créer une œuvre originale et intense qui fascine. De plus, l’opéra comme le théâtre est un art de représentation, de mise en scène, de ce fait, un opéra peut-être repris, réinterprété. Don Giovanni reprend un mythe, l’inscrit dans un nouvel art, contribue à la célébrité de Dom Juan, et lui offre une nouvelle dimension et de nouvelles « opportunités de reprises «, comme le montre les nombreuses représentations qui continuent encore de plaire au  XXI ème siècle. La rencontre du plus énigmatique des séducteurs et du plus extravagant des compositeurs à permis la création d'un chef-d’œuvre qui ne cessent d'inspirer génération après génération.

don

« Fin de l'écriture par da Ponte au printemps 1787 Composition par Mozart du printemps jusqu'en octobre 1787 Première le 29 octobre 1787 Je vais vous faire une courte biographie de Mozart et de da Ponte sans trop m'y attarder : - Joannes Chrysostomus Wolfgangus Theophilus Mozart, ou plus simplement Wolfgang Mozart est né le 27 janvier 1756 à Salzbourg .

Lui et sa sœur Maria-Anna, beaucoup moins connu, sont des enfants prodiges de la musique, encore jeunes quand leur père exhibe leurs talents musicaux devant toute l'Europe (Paris, Londres, Berlin...) lesvoyages se succèdent permettant à Mozart de découvrir de nombreux musiciens (dont le fils de Jean Sebastian Bach ) et d'effectuer d'importants progrès.

Ainsi, Mozart écrit son premier opéra à l'âge de 12 ans et devient de plus en plus connu : il est payé pour écrire de la musique, et travaille par exemple pour l'archevêque Colloredo.

Mais celane lui plaît pas car il n'est pas assez libre dans la composition: il quitte donc l'archevêque en 1781.

Peu après, il semarie avec Constance Weber et travaille comme professeur de musique particulier auprès de familles riches.

Mais, s'ilgagne beaucoup d'argent, il ne sait pas le gérer et devient très vite endetté.

Suite à la mort de son père en 1787Mozart écrira « Don Giovanni ».

Il passe des années très difficiles : fatigue, maladie et dettes n'arrangent pas sasituation.

En 1791, il compose tout de même deux chef-d'œuvre : la flûte enchantée et le Requiem qu'il ne peutmalheureusement pas achever car Mozart meurt le 4 décembre 1791 à seulement 35 ans, en laissant plus de 600 œuvres à la postérité. -Lorenzo da Ponte né à Ceneda (commune de Vittorio Veneto , province de Trévise ), le 10 mars 1749 .

En 1773, il est ordonné prêtre , enseigne à Trévise et Venise , avant d'être banni de cette dernière pour adultère.

Il séjourne alors brièvement à Dresde (en Allemagne) et s'installe à Vienne en 1781, où il est nommé librettiste du nouveau théâtre italien par Joseph II .

Il écrit pour Salieri grand musicien et rival de Mozart , et da Ponte écrira pour ce dernier également avec ' Le Nozze di Figaro ' (Les noces de Figaro) en 1786.

S'ensuivront alors en 1787 ' Don Giovanni ', et 'Cosi fan tutte ' en 1789-90.

Pour ne parler que de ses œuvres avec Mozart.

Il quitte Vienne en 1790, à la mort de Joseph II, à Londres où il est nommé librettiste du King's Theatre en 1793, il doit émigrer à New York en 1805 suite à des difficultés financières.

Epicier, puis libraire et professeur d'italien, il y écrit ses mémoires (' Memorie di Lorenzoda Ponte di Ceneda scritte da esso', 1823) Très précieuse car on y trouve dedans beaucoup d'information sur DonGiovanni et sur Mozart.

Sorte d'apothéose de sa vie en 1825, il aide et assiste à la première new-yorkaise de 'Don Giovanni'. Il meurt à New York, le 17 août 1838. Je vous fais passer un extrait du livret et je vais vous faire écouter un passage pour vous montrer qu'est-ce que la musique de Mozart. + 5 min L'extrait que je vous ai passé se situe au début de l'opéra, Acte I scène 4.

Donna Elvira vient d'être séduite puisdélaissée par Don Juan et ne comprends pas ce qui lui arrive.

Elle rencontre par hasard Leporello (le serviteur de DonGiovanni) et lui demande des explications.

Celui-ci explique à Donna Elvira que malgré les apparences et tout ce qu'ila pu lui dire, son maître se moque complètement d'elle et qu'il ne s'intéresse pas plus à elle qu'à une autre.

Ils'empare alors d'un livre, et déroule devant la pauvre femme tout le “catalogue” des conquêtes féminines de sonmaître. Je voulais vous faire écouter mais lire aussi un extrait car i l est intéressant de voir qu'il y a plusieurs possibilités de « lire » un opéra : il y a le texte du livret dans la langue d'origine ici en Italien, puis la traduction en français et enfinil y a la partition du compositeur.

Il y a egalement plusieurs façons de considérer un opéra : voir une représentation(filmé ou en direct) ou écouter l'opéra sans jeu d'acteur. Après avoir présenté Don Giovanni et l'opéra parlons des différences et constances présente dans le livret de daPonte. 2 : Le Don Giovanni de Mozart les différences et constances par rapport à Molière et Tirso de Molina C omme tous les mythes, celui de Don Giovanni repose sur un certain nombre d'invariants et de variations qui n'échappe pas à la production de Da Ponte et de Mozart. • Un homme nommé Don Juan ( dans l'opéra il prend le nom italianisé), il est membre de la classe dominante de lasociété (un noble), doté d'une grande vitalité, d'un certain narcissisme et plutôt sadique, il séduit une multitude defemmes de toutes les classes sociales : des femmes du peuple sont toujours concernées (Charlotte et Mathurine. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles