Dans son livre En Danger de progrès, François de Closets observe que l'homme d'aujourd'hui doit sans cesse suivre le rythme du progrès dans sa profession, se recycler, voire changer de métier : « La moitié des enfants feront un métier qui n'existe pas encore, et dont ils devront changer plusieurs fois au cours de leur vie. » Quelle est votre réaction devant cette évolution ? Le cas échéant, votre expérience professionnelle vous permet-elle de confirmer le propos de François de Closets
Publié le 11/02/2011
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remarques Cette mobilité sociale peut être perçue : • de façon négative : — Obligation de recyclages fréquents; l'âge, les charges de famille deviennent alors des obstacles. — Fatigue et difficile adaptation. — Inquiétude quant à l'avenir. — Éventuellement, contraintes si l'on doit changer de région. • de façon positive : — Mobilité d'esprit. — Refus de stagner (voir la citation de Boris Vian). — Désir de suivre le rythme du progrès et de vivre dans son temps. • Les causes de cette mobilité : Les progrès technologiques et l'évolution économique. • Les implications : Nécessité de développer la formation permanente et de favoriser lors de l'éducation de base les facultés d'adaptation.
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- François Mauriac nous livre cette réflexion, à propos du roman : « Nous devons donner raison à ceux qui prétendent que le roman est le premier des arts. Il l'est, en effet, par son objet qui est l'homme. Mais nous ne pouvons donner tort à ceux qui en parlent avec dédain, puisque, dans presque tous les cas, il détruit son objet en falsifiant la vie. » Si tout roman comporte en effet une part de vérité et une part d'imagination, quel est l'aspect qui vous touche le plus ? Peut-on condamn
- François MAURIAC nous livre cette réflexion, à propos du roman : « Nous devons donner raison à ceux qui prétendent que le roman est le premier des arts. Il l'est, en effet par son objet qui est l'homme. Mais nous ne pouvons donner tort à ceux qui en parlent avec dédain, puisque, dans presque tous les cas, il détruit son objet en falsifiant la vie. » Si tout roman comporte en effet une part de vérité et une part d'imagination, quel est l'aspect qui vous touche le plus? Peut-on condamne
- François MAURIAC nous livre cette réflexion, à propos du roman : « Nous devons donner raison à ceux qui prétendent que le roman est le premier des arts. Il l'est, en effet, par son objet qui est l'homme. Mais nous ne pouvons donner tort à ceux qui en parlent avec dédain, puisque, dans presque tous les cas, il détruit son objet en falsifiant la vie. » Si tout roman comporte en effet une part de vérité et une part d'imagination, quel est l'aspect qui vous touche le plus? Peut-on condamne
- André Gide s'adresse ainsi à un jeune homme : « Ne cherche pas à remanger ce qu'ont digéré tes ancêtres. Vois s'envoler les grains ailés du platane et du sycomore, comme s'ils comprenaient que l'ombre paternelle ne leur promet qu'étiolement et qu'atrophie ... sache comprendre et t'éloigner le plus possible du passé. » Par ailleurs Renan a écrit : « Tous les siècles d'une nation sont les feuillets d'un même livre. Les vrais hommes de progrès sont ceux qui ont pour point de départ un res
- Dans son livre Parole d'homme, Roger Garaudy, estimant qu'aujourd'hui la jeunesse est bien plus influencée et formée par les mass-media que par la cellule familiale, écrit : « La famille, dépossédée depuis longtemps de sa fonction d'éducation technique, est de plus en plus évincée de sa fonction d'éducation morale : elle apparaît le plus souvent aux jeunes, non sans raison, comme une institution conservatrice et ils ne se déterminent plus par rapport à elle, sinon par opposition. C'est