cyclone1PRÉSENTATIONcyclone ou ouragan ou hurricane ou typhon, très forte dépression qui prend naissance au-dessus des eaux chaudes des océans de la zone intertropicale, et quis'accompagne de vents très violents et de pluies torrentielles.
Publié le 15/04/2013
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partir de mesures de terrain (des bouées, par exemple) ou d’outils de télédétection (satellites, radars).
Les informations recueillies permettent de connaître le profil desvents, ainsi que l’intensité et la trajectoire des cyclones.
Les populations locales peuvent alors être alertées pour s’abriter ou évacuer les lieux.
Dans tous les cas,l’aménagement du territoire (évaluation des risques de construction sur les littoraux, analyse de l’exposition aux vents, etc.) est un élément primordial dans la prévention.
4.2 Conséquences et dégâts
Les dégâts causés par un cyclone peuvent être désastreux sur le plan environnemental en raison des vents violents et des pluies diluviennes (déforestation, glissements deterrain, pollutions), mais aussi sur le plan économique compte tenu de la destruction des habitations et des infrastructures (routes, ponts, voies ferrées, réseaux électriqueet téléphonique, etc.).
Les dégâts matériels sont souvent lourds, notamment dans les régions côtières, entraînant des perturbations, voire l’interruption de la vieéconomique de la région touchée.
Sur le plan humain, les cyclones sont la cause d’au moins 6 000 morts par an sur la planète.
4.3 Exemple de l’ouragan Katrina
L’ouragan Katrina, qui a touché les États-Unis (principalement les États de la Louisiane, du Mississippi et de l’Alabama) en août 2005, a été le plus dévastateur qu’ait connule pays.
Classé en catégorie 5 lors de son passage dans le golfe du Mexique, puis rétrogradé en catégorie 3 avant d’atteindre la zone côtière le 29 août, ce cyclone aentraîné la mort de plus de 1 800 personnes, a déplacé des centaines de milliers de personnes et causé des dégâts estimés à plus de 125 milliards de dollars (soit près de90 milliards d’euros).
L’année 2005 a connu une activité cyclonique particulièrement forte, avec plusieurs cyclones de catégorie 5 comme Rita (en septembre) et Wilma (en octobre) dansl’Atlantique Nord.
Ce constat amène à se questionner sur le lien entre le nombre de cyclones et le changement climatique global actuel.
Mais à l’heure actuelle, lesscientifiques n’ont établi aucune corrélation et n’observent pas de tendances particulières sur le nombre annuel de cyclones.
L’année 2006 a notamment été une année avecune faible activité cyclonique au regard des années précédentes.
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