Critiques possibles de la religion
Publié le 10/02/2011
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Critiques de la religion
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Ludwing Feuerbach
Ainsi, la R repose sur une alimentation de l'essence hgumaine : l'idée de Dieu est une projection des qualités de l'humanité mais considérée alors comme impossible à réaliser par l'H lui-même. De ce fait, l'H aurait crée Dieu à son image : aux paroxysmes.
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Sigmund Freud
Les idées religieuses maintiennent l'H dans son état infantile et entravent son développement comme être rationnel: Dieu est le père des H. Dans leur relation oedipienne, le meutre du Père (= Dieu) est suivi d'un sentiment ambivalent (ambigu) de victoire et de culpabilité
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Friedrich Nietzsche
Les valeurs religieuses signifient une dépréciation de la vie, et sont l'expression d'une volonté malade. Ayant tué Dieu, les H s'empressent d'en recrée un H de l'humanisme, un H faible dépendant des valeurs préétablies qui planent au dessus de sa tête comme une menace.
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Karl Marx
Enfin pour Marx, la R représente une force d'inertie sociale et politique: elle encourage les H à supporter leur misère sans se révolter, sans chercher à améliorer la vie réelle et ainsi, elle sert la classe dominante.
Critiques de la religion
Cette analyse (I) laisse soupçonner que la religion repose sur une certaine illusion. Davantage encore pour certains penseurs, cette illusion doit dissiper pour enfin abollir à la religion.
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Ludwing Feuerbach
Ainsi, la R repose sur une alimentation de l'essence hgumaine : l'idée de Dieu est une projection des qualités de l'humanité mais considérée alors comme impossible à réaliser par l'H lui-même. De ce fait, l'H aurait crée Dieu à son image : Dieu, c'est l'Homme poussé à ses paroxysmes.
Dieu est poussé à la perfection.
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Sigmund Freud
Les idées religieuses maintiennent l'H dans son état infantile et entravent son développement comme être rationnel: Dieu est le père des H. Dans leur relation oedipienne, le meutre du Père (= Dieu) est suivi d'un sentiment ambivalent (ambigu) de :
-victoire
-culpabilité
Ex: Dans le christianisme, en mourant sur la croix, Jesus Christ rachète le péché (victoire). Et le Christ est mort à cause du péché des Hommes (culpabilité).
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Friedrich Nietzsche
Les valeurs religieuses signifient une dépréciation de la vie, et sont l'expression d'une volonté malade. Ayant tué Dieu, les H s'empressent d'en recrée un H de l'humanisme, un H faible dépendant des valeurs préétablies qui planent au dessus de sa tête comme une menace.
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Karl Marx
Enfin pour Marx, la R représente une force d'inertie sociale et politique: elle encourage les H à supporter leur misère sans se révolter, sans chercher à améliorer la vie réelle et ainsi, elle sert la classe dominante.
Ex: Les Béatitudes ( '' Bienheureux les pauvres car ils seront rassasiés'' ), permettent au peuple de rejetter ces espoirs dans l'au dela et d'accepter aux mauvaises conditions de la vie terrestres.
Critiques de la religion
Cette analyse (I) laisse soupçonner que la religion repose sur une certaine illusion. Davantage encore pour certains penseurs, cette illusion doit dissiper pour enfin abollir à la religion.
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Ludwing Feuerbach
Ainsi, la R repose sur une alimentation de l'essence hgumaine : l'idée de Dieu est une projection des qualités de l'humanité mais considérée alors comme impossible à réaliser par l'H lui-même. De ce fait, l'H aurait crée Dieu à son image : Dieu, c'est l'Homme poussé à ses paroxysmes.
Dieu est poussé à la perfection.
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Sigmund Freud
Les idées religieuses maintiennent l'H dans son état infantile et entravent son développement comme être rationnel: Dieu est le père des H. Dans leur relation oedipienne, le meutre du Père (= Dieu) est suivi d'un sentiment ambivalent (ambigu) de :
-victoire
-culpabilité
Ex: Dans le christianisme, en mourant sur la croix, Jesus Christ rachète le péché (victoire). Et le Christ est mort à cause du péché des Hommes (culpabilité).
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Friedrich Nietzsche
Les valeurs religieuses signifient une dépréciation de la vie, et sont l'expression d'une volonté malade. Ayant tué Dieu, les H s'empressent d'en recrée un H de l'humanisme, un H faible dépendant des valeurs préétablies qui planent au dessus de sa tête comme une menace.
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Karl Marx
Enfin pour Marx, la R représente une force d'inertie sociale et politique: elle encourage les H à supporter leur misère sans se révolter, sans chercher à améliorer la vie réelle et ainsi, elle sert la classe dominante.
Ex: Les Béatitudes ( '' Bienheureux les pauvres car ils seront rassasiés'' ), permettent au peuple de rejetter ces espoirs dans l'au dela et d'accepter aux mauvaises conditions de la vie terrestres.
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