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COURANT DE PENSEE

Publié le 01/02/2023

Extrait du document

« COURANTS DE LA PHILOSOPHIE Afin de vous donner un approche plus transversale de la philosophie, voici une liste des grands courants philosophiques et des principales écoles de pensées.

Ce qu'il faut retenir, c'est qu'un auteur peut très bien appartenir à plusieurs courants (exemple : Sartre est existentialiste, phénoménologue, marxiste et individualiste).

Voici donc l'essentiel des principales écoles de philosophie et une définition de chaque courant philosophique (existentialisme, idéalisme, empirisme, …) : Courants de pensée généraux : – Empirisme : Doctrine selon laquelle toute connaissance découle de l'expérience. Voir la philosophie de Hume ou celle de Locke – Rationalisme : Théorie qui affirme que l'esprit humain possède des principes ou des connaissances a priori, indépendants de l'expérience Voir la philosophie de Descartes – Idéalisme : Doctrine philosophique qui nie l'existence du monde extérieur, et réduit celui-ci aux représentations de la subjectivité.

Autrement, les idéalistes pensent que le monde n'existe pas sans sujet pour le penser. Voir les philosophies de Platon, Kant, Hegel, Fichte, – Positivisme : Le principe du positivisme est de réfuter à l'homme tout sens métaphysique, s'attachant ainsi aux sciences objectives, à la recherche de lois. Voir la philosophie d'Auguste Comte – Stoïcisme : Le stoïcisme est à la fois une théorie de l'univers et une morale.

La sagesse stoïcienne se définit comme une connaissance du Cosmos. Voir la philosophie de Cicéron, Epictète, Marc-Aurèle, Sénèque, Sextus Empiricus, Zénon – Structuralisme : Il existe, pour le structuralisme, des structures pour toutes les activités sociales, permettant de les expliquer.

Il faut donc dépasser les faits empiriques. Voir la philosophie de Lévi-Strauss Phénoménologie : Etude descriptive d'un ensemble de phénomènes.

La phénoménologie procède d'une critique de la métaphysique classique (empirisme et idéalisme à la fois), dans une volonté de retour au concret.

La phénoménologie se définit comme une science rigoureuse des essences. Voir les philosophies de Husserl, MerleauPonty, Sartre, Heidegger Matérialisme : La théorie matérialiste est une doctrine ontologique selon laquelle il n'existe pas d'autre substance que la matière.

Il rejette en général l'existence de Dieu, de l'âme, de l'au-delà.

La conscience ne serait qu'un phénomène second, à rattacher à la matière. Voir les philosophies d'Epicure ou de Marx Existentialisme : L'existentialisme est une philosophie de l'homme (et non une philosophie des idées).

C'est une philosophie de l'existence qui réfute l'antériorité de l'essence. L'existentialisme considère l'homme comme une autoproduction libre, seul dans un univers sans Dieu.

La philosophie existentielle cherche la signification métaphysique de l'homme. Voir les philosophies de Pascal, Kierkegaard, Sartre, Camus, Heidegger. Scepticisme : Le scepticisme est une position de refus.

Refus de statuer sur l'existence des objets.

Le jugement est suspendu, le doute permanent. Voir les philosophies de Diogène Laërce, Hume ou Berkeley Cynisme : Le cynisme est avant tout une doctrine morale, qui consiste à rejeter les conventions sociales et morales communément admises.

La vie cynique doit être fondée sur une vertu très ascétique. Voir la philosophie de Diogène Romantisme : Exaltation du sentiment de la nature.

Les romantiques décrivent la nostalgie comme l'attitude authentique de la conscience humaine, et fondent la théorie de la nature comme médiatrice entre l'homme et la divinité, la nation comme source d'accès au religieux.

Il s'agit aussi de réhabiliter les sentiments, la liberté. Voir les philosophies de Hegel, Schelling, ou Fichte Pragmatisme: Les pragmatiques considèrent que n'est vrai que ce qui fonctionne en réalité.

Le pragmatisme n'est pas un système philosophique (comme l'est l'existentialisme par exemple), mais plutôt une méthode.

Pragmatiques notables: Dewey, Charles Sanders Peirce, William James. Courants de philosophie politique : Communisme : Doctrine sociale préconisant la mise en commun de tous les biens et l'absence de propriété privée, visant la libération de l'homme et la fin de l'exploitation (déperissement de l'Etat) Voir les philosophies de Platon, Marx/Engels, Fourier Socialisme : Chez Marx, le socialisme est l'état intermédiaire de l'Etat (entre le capitalisme et le communisme), étape caractérisée par la dictature du prolétariat.

Le socialisme subordonne l'intérêt des individus à l'intérêt commun. Voir la philosophie de Proudhon Libéralisme : le versant économique du libéralisme affirme que l'Etat doit s'effacer au profit du marché, tandis que le versant politique met au coeur de la société le principe de la liberté, L'Etat devant protéger la liberté individuelle. Voir les philosophies de Rawls, Locke, Montesquieu Libertarianisme : Doctrine des libéraux radicaux qui prône la disparition de l'État en tant que système fondé sur la coercition, au profit d'une coopération libre entre les individus. Voir la philosophie de Nozick Contractualisme : Théorie politique selon laquelle les individus doivent sortir de l'état de nature, abandonner leurs droits naturels, pour s'associer dans la liberté et l'égalité (versant démocratique chez Rousseau, Locke ou Kant, versant absolutiste chez Hobbes) Voir les philosophies de Rousseau, Kant, Hobbes, Spinoza, Locke Anarchisme : L'anarchisme se caractérise comme le refus de tout pouvoir ou de toute autorité, la seule valeur étant l'individu et ses propres valeurs Voir les philosophies de Bakounine ou Nietzsche Humanisme : L'humanisme fait de l'homme l'unique source de valeurs Voir la philosophie de Sartre Féminisme : Le féminisme est un courant philosophique qui vise l'émancipation totale des femmes, tant sur le plan politique que sociétal Voir la philosophie de De Beauvoir Utilitarisme : Doctrine qui considère l'utile comme ce qui peut apporter l'agréable.

La vie humaine doit être fondée sur une arithmétique des plaisirs Voir la philosophie de Bentham, Stuart Mill ou de More Les mercantilistes Protéger pour développer Les mercantilistes ont les premiers, du XVIe jusqu’au XVIIIe siècle, défini des concepts permettant d’expliquer la richesse des nations et recommandé, ou mis en œuvre, des mesures pour favoriser leur dynamisme économique. Selon eux, les objectifs visés sont simples : richesse et puissance et pour ce faire, on compte trois facteurs de croissance : abondance en hommes, abondance en argent et intervention étatique.  Abondance en hommes car il faut une main d’œuvre importante ;  Abondance en argent, signe de richesse et de puissance d’une nation ;  Intervention de l’Etat notamment en matière de commerce extérieur. L’Etat joue donc un rôle majeur dans la course à la richesse : c’est à lui que revient le devoir de stimuler l’activité économique et l’emploi.

Il doit aider et protéger les entreprises et être centralisé pour pouvoir imposer sa politique et contrôler les échanges commerciaux.

La politique mise en place au XVIIe siècle par Colbert l’illustre parfaitement : il a cherché à doter l’Etat français d’une balance commerciale excédentaire en encourageant le commerce. Il faut se rappeler que les premiers mercantilistes ont vécu à une époque où les pays européens étaient divisés en fiefs seigneuriaux nécessitant de s’acquitter de multiples taxes et droits de passage.

Ils ont alors cherché à favoriser la suppression de ces « douanes internes ».

Mais pour qu’un Etat soit puissant, il faut que ses caisses soient pleines de métaux précieux.

Comment les remplir ? En exportant notamment des produits manufacturés échangés contre des métaux précieux et en limitant les importations au moyen de fortes taxes. Parallèlement, les mercantilistes préconisent des taux d’intérêt bas pour favoriser la consommation et l’activité économique intérieure.

Ce type de politique est donc à double tranchant, car elle peut aussi contribuer à accentuer le déficit commercial en stimulant la demande des produits importés. Les physiocrates Laisser faire et laisser passer L’école physiocratique, première grande école économique, s’est développée en France au XVIIIe siècle avec pour maître à penser, François Quesnay (1694-1774).

La physiocratie signifie le « gouvernement de la nature ».

Les physiocrates se sont définis comme des « philosophes économistes ». En réponse aux mercantilistes, les physiocrates affirment que l’État n’a pas à intervenir dans la sphère économique. C’est inutile puisque l’économie est gouvernée par des lois naturelles analogues aux lois physiques.

Des lois valables en tout temps et en tout lieu.

Cette universalité met tout le monde sur un pied d’égalité si on respecte la « liberté du commerce » et la « liberté de l’industrie ».

Il faut bannir les « servitudes seigneuriales » pour les paysans et les « servitudes gouvernementales » pour les industriels qui mettent des freins au développement économique.

Il faut « laisser faire, laisser passer » et supprimer toutes les barrières douanières. Vivant dans une société qui reste essentiellement rurale, les physiocrates estiment que seule la nature, et donc les paysans, produisent de la richesse.

Les propriétaires fonciers vivent du surplus dégagé par les agriculteurs.

Quant aux artisans et ouvriers, ils ne font que transformer des produits qui proviennent de la nature et forment donc une « classe stérile »! Les classiques Equilibre entre l'offre et la demande Pour bien monter sa rupture totale avec les économistes qui l’avaient précédé, Karl Marx dans Le capital a, le premier, qualifié ces auteurs de « classiques ». Ce sont essentiellement des économistes anglais et français du XVIIIe siècle et du XIXe siècle : Adam Smith, Thomas Malthus, David Ricardo, Jean-Baptiste Say et Frédéric Bastiat. Ils marquent une période d’intense réflexion sur le fonctionnement de l’économie, alors que se développent rapidement la société industrielle et le capitalisme moderne. Les « classiques » essayent de définir des « lois économiques universelles », valables à toutes les époques et partout. Leurs ambitions sont similaires, mais les concepts et les théories économiques des « classiques » sont très divers.

Quoi de commun entre Thomas Malthus qui estime que l’ouverture des frontières est dangereuse et David Ricardo, pour qui le développement du commerce international est source de richesses pour un pays ? Les économistes classiques sont néanmoins, dans l’ensemble, au moins d’accord sur un point : l’intervention directe de l’État dans l’économie doit être limitée au minimum nécessaire pour garantir le bon fonctionnement du marché.

En cela, on peut considérer qu’ils sont libéraux. Les « classiques » s’interrogent tous sur l’origine et la formation des richesses.

Si leurs réflexions divergent sur ce point, ils estiment cependant que l’offre et la demande tendent à s’équilibrer.

Les déséquilibres ne sont que provisoires.

Cet ordre naturel engendre également une division du travail. Chaque être humain a des compétences spécifiques qui lui permettent de réaliser au mieux ce qu’il doit faire dans la société comme dans une entreprise. Les marxistes Le concept marxiste : « la dictature du prolétariat » La théorie marxiste repose sur une analyse « matérialiste » de l’évolution de l’histoire.

Ce ne sont pas les idées qui sont prédominantes, mais les conditions matérielles et l’évolution des modes de production.

Autrement dit, c’est « l’infrastructure » économique, c’est-à-dire la base économique de la société qui explique son évolution et non sa « superstructure » idéologique, juridique et politique. Les marxistes appréhendent l’économie comme une succession de modes de production : le mode féodal a laissé place au mode de production capitaliste, celui-ci sera remplacé par les modes de production socialiste et communiste. Pour les marxistes, le capitalisme va en effet s’effondrer pour laisser place au socialisme car il repose sur une contradiction essentielle : la « baisse tendancielle du taux de profit ».

Cette baisse progressive du profit s’explique ainsi : ce qui donne de la valeur à un produit, c’est, pour Marx, le travail qui a été nécessaire pour sa production.

Mais les capitalistes doivent investir de plus en plus dans les moyens de production (les machines, aujourd’hui les ordinateurs, les robots…) pour faire face à la concurrence.

Il faut donc de plus en plus de capital pour financer ces investissements, mais la valeur des biens produits n’augmente pas pour autant puisque cette valeur repose, selon la théorie marxiste, sur le travail uniquement.

Le taux de profit baisse ainsi inévitablement. Pour sauver leurs bénéfices, les capitalistes vont augmenter leur production et baisser les salaires ou réduire le nombre de salariés qu’ils emploient.

Ainsi, le pouvoir d’achat global diminue alors que la production augmente.

La surproduction est donc inévitable et se généralise à tous les secteurs d’activité. Miné par cette contradiction fondamentale, le système capitaliste court à sa perte. Mais pour faire « du passé table rase », il faudra une dictature du prolétariat et une appropriation collective des moyens de production.

L’État gérera alors l’ensemble du système productif. Puis, stade ultime de cette évolution du système économique, l’État disparaîtra et la richesse sera redistribuée « à chacun selon ses besoins ».

La société sera alors « communiste », la propriété sera commune, il n’y aura plus de classes sociales et d’ « exploitation de l’homme par l’homme » Les monétaristes Années 60 à aujourd’hui L’analyse monétariste s’est développée à la fin des années 1960, en opposition au keynésianisme.

Les monétaristes condamnent les politiques « laxistes » de l’État en matière monétaire et budgétaire.

Elles n’ont à long terme aucun effet sur l’activité économique mais sont source d’inflation qui est un phénomène strictement monétaire.

Les monétaristes, en particulier l’économiste américain Milton Friedman, préconisent une progression annuelle de la masse monétaire calquée sur la croissance.

Le volume de la monnaie en circulation (la « masse monétaire ») doit être suffisant pour financer les transactions correspondant à l’activité économique d’un pays.

Pas plus pas moins. En France, Jacques Rueff (1896-1978), économiste et haut fonctionnaire, reprendra l’idée selon laquelle « La monnaie est le carburant qui alimente toujours l’inflation ».

Qualifié de « monétariste métalliste », il estimait que le meilleur moyen de maîtriser la masse monétaire était de revenir à l’étalon-or (la valeur des monnaies est évaluée en fonction de sa valeur en or. Le métal jaune est alors l’« équivalent général ») abandonné en 1944. L’école Keynésienne Keynésianistes, années 30, puis années 50-70 L’intervention de la puissance publique dans l’économie a été décisive à maintes reprises.

En France, depuis Colbert, l’État a joué à plusieurs périodes un rôle moteur important dans l’économie.

C’est pourtant un anglais, l’économiste John Maynard Keynes qui a théorisé l’interventionnisme public dans l’économie au lendemain de la crise de 1929. Pendant les Trente Glorieuses, la politique économique française menée par l’État était assez dirigiste, avec notamment, le soutien public à des secteurs jugés stratégiques (aéronautique, informatique, téléphonie…) pour le pays. Depuis, le débat entre les partisans d’une implication minimum de l’État dans l’économie et les interventionnistes qui estiment qu’il doit fixer le cap du développement économique en intervenant si nécessaire est permanent. Mais au-delà de la théorie, le pragmatisme s’impose quand c’est vraiment nécessaire.

A l’exemple des États-Unis, où le Président, quelle que soit sa couleur politique, n’a jamais hésité à mettre en œuvre des mesures très keynésiennes pour relancer, notamment, le pouvoir d’achat.

Seule l’efficacité compte alors.

Mais en Europe, la législation communautaire encadre très précisément le champ d’intervention de l’État, ce qui limite sa marge de manœuvre. L’école des nouveaux classiques Les années 90… Récemment, certains économistes américains d’inspiration libérale ont repris l’analyse « classique » d’Adam Smith, David Ricardo et Jean-Baptiste Say, en partant d’un nouveau postulat : avant de décider d’investir, de produire, de consommer ou d’épargner, tous les agents économiques utilisent rationnellement les informations de plus en plus nombreuses dont ils disposent. Robert Lucas, prix Nobel d’économie en 1995, est le plus célèbre représentant de cette école.

Pour lui, avant d’agir, nous anticipons l’avenir.

Ces « anticipations rationnelles » sont immédiates, selon les nouveaux classiques.

Inutile donc, par exemple, de tenter de relancer la consommation en baissant les taux d’intérêts ou en augmentant la masse monétaire.

Les banques vont anticiper une reprise de l’inflation et remonter les taux de prêts aux consommateurs.

Cette course à l’échalote rend donc vaine les politiques économiques puisque les acteurs anticipent ses conséquences négatives. Comprendre les grands courants de la pensée economique L’analyse de la dette des Etats ne date pas d’aujourd’hui. D’ailleurs, l’économie s’est forgée en tant que science au milieu du XVIII? siècle pour traiter précisément de cette question.

En effet, le Physiocrate François Quesney – Médecin du Roi- publie en 1758 un «tableau économique», dans le quel il détaille ses recommandations pour redresser les finances royales car les caisses se vidaient à vue d’œil.

La France était engagée dans une guerre qui l’opposait à la Grande-Bretagne et à la Prusse. Les physiocrates ont constaté que le trésor britannique bénéficiait des taux d’intérêts inférieurs à la France car il a toujours honoré ses dettes.

Ils plaident donc pour une vaste réforme agricole pour inciter les paysans à produire plus tout en prenant des mesures pour libéraliser le commerce et faciliter la circulation du blé.

Il s’agit de mesures qui visaient donc à soutenir la croissance. En 1774, la Caisse d’escompte fut créée, ancêtre de la banque de France, ce qui représente une garantie d’Etat aux prêteurs. Autant dire que le débat sur la gestion de la dette ne date pas d’hier ! Est-ce pour autant nous pouvons dire que les économistes ressassent les mêmes recettes depuis plus de deux siècles et demi ? Trois grands courants structurent la pensée économique : Le courant libéral, Adam Smith son chef de file ; le courant marxiste et courant Keynésien. Nous proposons de présenter succinctement les grands traits de ces trois courants afin que le lecteur non initié aux sciences économiques puisse en saisir les mécanismes et les enjeux pour mieux appréhender certains débats politicoidéologiques. Mercantilistes (XVI?-XVIII?) Physiocrates Recherche de la puissance de l’Etat, défense du protectionnisme François Quesnay (16941774)Toute richesse provient de la nature Adam Smith (1723 – 1790) Karl Marx (1818 – 1883) John Maynard Keynes (1883 – 1946) Courant liberal Courant marxiste Classiques : Défense Karl Marx (1818 – du libre-échange et 1883) du libéralisme Manifeste du parti économique communiste, 1848. Adam Smith (1723 – Tome 1 du Capital, 1790) en 1964. Courant keynesien John Maynard Keynes (1883 – 1946) Traité sur la monnaie, 1930. Théorie général de Recherche sur la nature et les causes de la richesse des nations, 1776. C’est Engels (1820– l’emploi, de l’intérêt 1895) co-auteur du et de la monnaie, Manifeste du parti 1936 communiste, qui s’occupera de la Post-Keynésiens : David Ricardo (1772 publication Encadrement – 1823) posthume des nécessaire du Principe de autres livres du capitalisme l’économie politique Capital Nicholas Kaldor et de l’impôt, 1817. (1908 – 1986) : Economie du Jean-Baptiste développement : Néo-Kéynésiens : Say (1767 – 1832) Analysent les Traité d’économie Samir Amine dysfonctionnements politique, 1803. (1931-) : Théorie de microéconomiques l’échange inégal du marché Néoclassiques : Analyse Amartya Sen Robert Solow microéconomique, le (1933-) : (1924-).... »

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