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Côtes occidentales des zones tempérées humides Vancouver, Colombie-Britannique Dans les zones tempérées de haute latitude, les vents d'ouest dirigent l'air humide vers les côtes occidentales la majeure partie de l'année.

Publié le 21/04/2013

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Côtes occidentales des zones tempérées humides Vancouver, Colombie-Britannique Dans les zones tempérées de haute latitude, les vents d'ouest dirigent l'air humide vers les côtes occidentales la majeure partie de l'année. Avec une moyenne annuelle de précipitations de 1 168 mm, Vancouver, situé sur la côte ouest de la Colombie-Britannique, présente un climat typique des côtes occidentales des zones tempérées de latitude élevée. Pendant l'été, les hautes pressions du large envoient de l'air plus sec vers la ville, et les chutes de pluie sont relativement faibles. Sous les latitudes plus basses des zones tempérées, ces hautes pressions peuvent se traduire par une saison estivale sèche typique des côtes occidentales (voir le carto-thème Pluie d'hiver méditerranéen). En automne, en hiver et au début du printemps, toutefois, des systèmes météorologiques dépressionnaires descendent du golfe de l'Alaska, provoquant des chutes de pluie froide ou de neige. Puerto Aisén, Chili La ville de Puerto Aisén, sur la côte occidentale du Chili, bénéficie d'un climat humide, avec une moyenne annuelle de précipitations de 2 649 mm. La saison la plus humide y est l'hiver austral, lorsque de fréquents systèmes météorologiques de sud-ouest frappent la côte chilienne. À mesure que l'air humide de l'océan Pacifique s'élève audessus des Andes, il se rafraîchit, son humidité se condense et retombe sous forme de précipitations (voir le carto-thème Effet orographique). Bergen, Norvège La ville de Bergen se situe sur la côte occidentale de la Norvège, dans une région montagneuse. Cette position géographique, sous une latitude élevée de la zone tempérée, se traduit, à Bergen comme à Puerto Aisén, par d'importantes précipitations, dont la moyenne annuelle atteint 2 250 mm. Londres, Royaume-Uni Malgré sa réputation de ville pluvieuse, Londres ne reçoit en moyenne que 754 mm de précipitations par an, quantité conforme aux régions de plaine du nord de l'Europe. Sous les latitudes élevées des zones tempérées, les températures ont tendance à être fraîches : or, la teneur en humidité de l'air frais est inférieure à celle de l'air chaud. De plus, Londres se situe dans une région de plaines et de basses collines. Sous ces latitudes, en l'absence de montagnes qui feraient s'élever les masses d'air, l'air océanique humide peut produire des nébulosités persistantes et de fréquentes bruines, mais le total des précipitations reste modeste. Microsoft ® Encarta ® 2009. © 1993-2008 Microsoft Corporation. Tous droits réservés.

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