Conscience et inconscience
Publié le 01/04/2015
Extrait du document
«
➔ Le doute méthodique et le « je suis » comme seule vérité indubitable.
Descartes : optimisme
rationaliste, doute cartésien, méthodique, volontaire, voie pour réussir à débusquer la réalité.
Doute radical.
Descartes s'attaque aux fondements des opinions.
Illusions d'optique, fragilité des sens.
Doute de la réalité
avec l'expérience du rêve.
Doute sur le monde, tout n'est que songe, fiction.
Descartes s'intéresse aux sciences
physiques, sont-elles absolument certaines ? Descartes convoque Dieu, il est trompeur car il tolère l'erreur.
Descartes va buter sur une réalité indubitable.
➔ Le cogito : « je suis, j'existe » la certitude d'être.
Reste à savoir qui l'on est.
➔ Selon Descartes: la substance pensante est un être indépendant dont l'existence ne dépend pas
d'une autre réalité.
Substance ≠ mode qui n'existe que par autre chose.
Âme et corps sont distincts.
L'âme
est une substance pensante, libre et immatérielle.
Le corps est une substance étendue, union intime d'une âme
et d'un corps qui est matière régie par des règles de la mécanique.
Selon Descartes : « Sans la pensée, on ne
sait plus qu'on existe, on est plus un sujet ».
La certitude d'être est immanente à la pensée.
La corps est aussi
essentiel pour la conscience de soi, pour s'identifier et se distinguer des autres.
➔ Le sujet fiction ou réalité ? Le sujet substance : partir de l'expérience de changement pour l'existence
d'un sujet pensé comme substance.
➔ Le moi comme fiction : David Hume critique Descartes qui s'imagine saisir le « moi ».
Hume fait
l'expérience mais ne tombe pas sur un « moi » substantiel mais sur des perceptions changeantes. Philosophie
empiriste, pas de conscience de soi sans un rapport à l'altérité, flux de perceptions qui s'enchaînent.
La
mémoire est essentielle à la constitution de cette identité personnelle.
➔ L'ego transcendantal de Kant : pour avoir l'expérience d'une succession il faut bien qu'il y est un
sujet qui transcende ces différentes perceptions et qui les fasse apparaître comme se succédant.
Il faut un
point fixe.
Le travail du « je » est d'ordonner les successions, mettre en forme l'existence a priori.
Le « moi » est
le pure produit de l'expérience a posteriori.
Le « moi » nous en avons conscience.
➔ Prendre conscience de soi, est-ce se connaître ? La réflexion et ses limites : selon Freud nous ne
sommes pas maître de notre mémoire.
Souvenir est une remémoration qui est commandée par des intérêts
actuels et ne remontera à la surface que les éléments qui feront écho à nos demandes, interprétation trahissant.
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