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Conférence de Potsdam

Publié le 22/02/2012

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La Conférence de Potsdam marque le partage de l'Allemagne et l'impossible entente entre les vainqueurs. En juillet 1945, Staline, Churchill, bientôt remplacé par Attlee, et Truman, nouveau président des Etats-Unis, se réunissent dans la banlieue de Berlin. Staline refuse de répondre sur les violations des principes de Yalta et peu de décisions sont prises, à l'exception de celle qui concerne la démilitarisation et la dénazification de l'Allemagne. La conférence précise les dispositions mises au point à Yalta : division de l'Allemagne et de Berlin en quatre secteurs d'occupation (URSS, Etats-Unis, France, Royaume-Uni). Elle cons-tate l'avance de facto du territoire polonais jusqu'à la ligne Oder-Neisse. Enfin, elle adresse un ultimatum au Japon.
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« conquête à faire », « triompher de la résistance », « ambition des conquérants », « voler perpétuellement devictoire en victoire ».

Don Juan, pour finir, voudrait « aimer toute la terre », et même, comme Alexandre, étendreses conquêtes à « d'autres mondes ».

L'infini de grandeur pascalien transposé dans le domaine de la passion, enquelque sorte ! Les replis de Sganarelle En dehors de quelques formules amusantescomme « se promener de liens en liens » ou « nel'ai-je pas bien tué ? », le comique de la scèneprovient surtout des ruses et des détours delangage auxquels Sganarelle est obligé derecourir.

Don Juan ne tolère pas les «remontrances ».

Aussi Sganarelle use-t-il, àmaintes reprises dans la pièce, et ici pour lapremière fois, de la tactique qui consiste àfeindre de s'adresser à un autre, en l'occurrenceà de « petits impertinents dans le monde, quisont libertins sans savoir pourquoi ».

Don Juann'est pas dupe, mais les apparences sont sauveset les rapports sociaux respectés.

MaisSganarelle ne maîtrise pas le langage.

Si sonmaître parle « comme un livre », il aurait, lui,besoin de mettre ses raisonnements « par écrit». En dépit de cet aspect comique, lesremontrances de Sganarelle, son ton deprédicateur, et l'allusion à une punition divineannoncent directement la fin de la pièce. Un plan de bataille À la fin de la scène, l'intrigue reprend ses droits.

L'action s'amorce : Sganarelle et Don Juan sont venus dans cetteville pour enlever de force une jeune beauté à son fiancé.

L'enlèvement doit avoir lieu lors d'une promenade en mer.Molière assure ainsi la variété d'actions (Elvire aussi a été enlevée) en élargissant l'imaginaire du spectateur par desallusions à des paysages variés, peu courants dans l'ordre théâtral de l'époque, et que concrétisent leschangements de décor.. »

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