Compte-rendu de « Un autre monde » de Joseph Stiglitz

Compte-rendu de

« Un autre monde »

de Joseph Stiglitz

Joseph Eugène Stiglitz est un économiste américain né en 1943. Il s'impose comme un grand théoricien et traite de sujet sur les inégalités, le chômage et les crises financières. Il s'oriente vers l'Asymétrie d'information et obtient un prix Nobel en 2001. Stiglitz est connu pour ses travaux sur l'économie keynésienne, un courant de pensée du XXe siècle, se basant sur la différenciation et les inégalités d'information des participants à un marché qui ne possèdent pas la même information sur les produits, les risques et les préférences des autres clients. Il s'intéresse aussi à l'économie du développement.

Un autre monde parle des conséquences de la mondialisation, qu'elles soient positives ou négatives.

La mondialisation est le processus d'ouverture de toutes les économies nationales sur un marché mondial. La mondialisation est favorisée par les liens économiques de plusieurs pays, les réductions des réglementations sur les entreprises, la libéralisation des échanges, la délocalisation des activités, la fluidité des mouvements financiers, le développement des transports en commun et de télécommunication.

La mondialisation permet aux pays du tiers-monde de se développer et de s'industrialiser. Elle permet une ouverture culturelle à l'homme. Elle a permis à des pays d'Asie orientale, de développer leur commerce, particulièrement, la Chine, qui est un exemple de la réussite de la mondialisation.

Mais dans cette œuvre, nous voyons aussi les conséquences négatives que la mondialisation. Dans certains pays, on remarque que la mondialisation n'a fait qu'empirer les conditions de vies : le niveau de vie et les conditions de travail baissent. On reproche à la mondialisation d'avoir souvent fixé des règles pour et par des pays étant déjà riches et développés.

Tout au long du récit, Stiglitz évoque les conséquences négatives de la mondialisation. Il explique tout d'abord en quoi la mondialisation n'a pas tenue ses promesses. Bien que dans quelques pays la mondialisation eu une forte réussite, une grande partie du monde n'a pas eu les objectifs escomptés. On y montre que les États-Unis empêchent le développement des pays du tiers-monde en leur imposant des règlementations pour empêcher toute concurrence. Par exemple, les États-Unis empêche le développement du commerce équitable en instaurant des règlementations sur les produits qu'ils trouvent trop peu couteux en les accusant de vendre des produits en dessous du prix de revient. Les brevets ont aussi empêche l'innovation sur le commerce dans certains domaines avec l'utilisation abusive de ceux-ci. Les grandes entreprises qui déposent des centaines de brevets pour leur produits réduisent considérablement la concurrence et empêchent l'innovation et le développement dans les pays pauvres. On y voit aussi les problèmes que rencontrent les pays qui découvrent leurs nouvelles richesses en ressources due à leur manque d'habitude d'avoir autant d'argent et finissent souvent par devenir un pays pauvre. L'écologie est aussi exposé comme un problème majeur de la mondialisation, car l'industrialisation des pays en développement détruit peu à peu la planète à cause de la pollution, les pays en développement prennent exemple sur les pays industrialisés qui eux ne font pas beaucoup d'efforts pour préservé la planète.