Commentaire composé sur extrait de l'Article « Guerre » du Dictionnaire Philosophique de Voltaire
Publié le 12/09/2006
Extrait du document
Le Dictionnaire philosophique de Voltaire analyse les préjugés, les mensonges politiques, les injustices, et s’efforce de remettre tout au point. Cette « critique de la société par alphabet « fera scandale à sa parution, et Voltaire, menacé de Bastille, part à l’étranger. Voltaire rédige ce petit Dictionnaire philosophique à 70 ans, pour lutter en faveur du progrès et de la tolérance. Il y regroupe plusieurs des grands sujets de réflexion de l’époque. Il définit dans ce texte, de façon ironique, la guerre et les motifs pour lesquels on la fait. Ce texte a la forme d’un article de journal ou de dictionnaire. Il en a le titre, est écrit de façon neutre (le narrateur n’intervient pas personnellement), utilise une forme proche du récit mais on se rend rapidement compte qu’il ne raconte pas une histoire réelle. C’est donc un texte de réflexion, d’argumentation, déguisé sous l’apparence d’une parabole. Grâce au récit, qui donne de la vie à l’argumentation, l’auteur peut utiliser l’ironie pour faire passer son message : les situations choquantes sont mises en évidence et facilement perçues grâce à la caricature qu’il en fait. Comme il s’agit d’un dictionnaire, l’auteur nous présente, sous forme imagée, sa définition des causes de la guerre. Une dénonciation totale de la guerre et de sa justification religieuse. Voltaire structure son article de façon à dénoncer guerre et religion par l’intermédiaire de plusieurs procédés. Il utilisera la structure de celui-ci pour faire paraitre un jugement quant aux faits énoncés. L’ironie est sensible dans l’évocation du soldat poussé à la guerre par la religion. Chacun y trouvera son compte, s’il remporte la victoire. La description de l’armée est caricaturale, ce sont des meurtriers qui n’ont rien à perdre. L’hyperbole fait d’un simple militaire (ou d’un militaire simple) un monstre assoiffé de sang. La satire Voltairienne est d’autant plus cruelle que l’auteur semble mépriser le soldat de base, son chef et le religieux : « si un chef n’a eu que le bonheur de faire égorger deux ou trois milles hommes, il n’en remercie point Dieu «. Ce texte présente avec ironie un tableau très négatif de la guerre. Pourquoi se bat-on, selon Voltaire ? - Le soldat parce que c’est son métier et qu’il n’a pas le choix puisqu’endoctriner par la religion. - Le chef, parce que cela lui permet de tuer pour célébrer la gloire de Dieu. - Certains pour le plaisir de la violence, le goût du sang et de la mort. - Les propres intérêts de l’Eglise, sans tenir compte des grands principes et de la vie humaine. - Et en somme Dieu pour tous, qui est invoqué par chacune des armées avant d’aller exterminer l’autre. Comment Voltaire juge-t-il la guerre ? - C’est un combat sans noblesse, le soldat est utilisé par le chef, le chef est lui même poussé par la religion ou excusé par celle ci. - La religion a souvent cautionnée, justifiée les guerres, quand elle ne les a pas elle-même provoquée. Elle est ici dans la liste des accusés. - Chaque soldat est un assassin, un meurtrier, qui peut sur le champ de bataille se laisser aller à ses plus bas instincts : c’est d’ailleurs ce qu’on lui demande alors qu’au contraire « la religion naturelle a mille fois empêché des citoyens de commettre des crimes «. Le texte est divisé en paragraphes de tailles inégales, reliés par aucune articulation logique. Une apparente neutralité se dégage de ce choix, mais celle-ci est démentie par l’ironie mordante du texte. Cette structure à elle seule symbolise déjà l’illogisme, l’absurdité, du déroulement de la guerre. Nous pouvons, certes, observer une gradation et une généralisation progressive telle que la narration de faits plus ou moins précis : * « cette « entreprise infernale * Fait bénir « ses « drapeaux * « la même « chanson De nombreuses généralités, et liens clairs entre la religion et la guerre par une énumération de termes s’y rapportant de façon ironique (l.38) : * humanité * bienfaisance * modestie * tempérance * douceur * sagesse * piété Voltaire utilise l’ironie pour démontrer l’absurdité du fait de la guerre et ainsi le soldat ou le chef de guerre est présenté comme homme n’ayant rien à faire ou à perdre en exécutant sa tâche sous prétexte d’un encouragement et d’un soutient religieux voir divin « chaque chef des meurtriers fait bénir ses drapeaux et invoque Dieu solennellement avant d’aller exterminer son prochain« ne souhait ainsi que désolation et destruction « lorsqu’il y en a eu environ dix mille d’exterminés par le feu et par le fer, et que, pour comble de grâce, quelque ville a été détruite de fond en comble, alors on chante à quatre parties une chanson assez longue, composée dans une langue inconnue à tous ceux qui ont combattu, et de plus toute farcie de barbarismes « dénonçant à nouveau ce qu’il estime être la soif de sang du chef de guerre. En somme, la guerre n’est pas un métier ou un acte pur de défense morale, Voltaire dénie au combattant un caractère épique et héroïque : le soldat est un meurtrier qui n’est pas concerné par la bataille qu’il livre, si ce n’est par le plaisir qu’il éprouve dans le meurtre, la destruction de villes ou tout autres injustifiables méfaits. Nous retrouvons encore l’ironie Voltairienne dans l’association d’évènements heureux et communs aux meurtres qu’il associe aux soldats et chefs de guerre : « La même chanson sert pour les mariages et pour les naissances, ainsi que pour les meurtres «. Dans le but de faire contraster avec la réalité des faits liés à la guerre et la religion, la dénonciation ironique de Voltaire est précédé d’une exagération des pêchés considérés mortels par les religieux « un pauvre homme qui mange pour deux sous et demi de mouton va pour jamais à tous les diables « l.30. Il y a également utilisation du présent de vérité générale, on est dans un article de dictionnaire, le casus belli (cause de guerre) est énoncé d’une manière narrative avec une valeur d’absolu. De même, il y a une instantanéisation et un rapprochement de l’effet causes/conséquences pour en souligner la disproportion et l’absurdité renforçant la force polémique de l’article et clamant par de là même que cela se passe de cette manière à l’heure où il écrit. De même, Voltaire utilisera son arme favorite dans sa critique et sa dénonciation de la justification de la guerre par la religion et la divinité. Il utilisera pour exemple des termes eux même repris d’un passage biblique l.3 « avant d’aller exterminer son prochain « où le verbe « aimer « étant remplacé par le verbe « exterminer «. De même, il critiquera également la religion par l’intermédiaire de sa critique de la guerre « lorsqu’il y en a eu environ dix mille d’exterminés par le feu et par le fer, et que, pour comble de grâce, quelque ville a été détruite de fond en comble, alors on chante « l.5-6 passage où il dénonce donc comme déjà dit le fléau de la guerre ou les vices des soldats et chefs de guerre, il dénonce également par ceci le fait que le Christianisme en justifiant ces actes par Dieu en fait donc une déité sanguinaire prônant implicitement d’ailleurs le déisme n’acceptant qu’un Dieu d’amour, de miséricorde, de pardon et de paix. L’ironie de Voltaire s’attaque également à « la chanson «, elle-même n’étant pas désignée par son nom (Te Deum) elle est elle-même par ailleurs décrite comme étant « composée dans une langue inconnue à tous ceux qui ont combattu « insinuant donc en premier lieu sa futilité et l’inutilité de son sens puisqu’étant composée dans une langue inconnue aux combattants, mettant le point sur l’ignorance des soldats, des religieux et par de là même le caractère superstitieux et obscurantiste de l’acte selon Voltaire, dans un second temps il met l’accent sur l’aspect barbare de celle ci « et de plus toute farcie de barbarismes «, la violence gratuite et la joie de la guerre des soldats et chefs de guerre puisque chantant pour fêter la mort, chantant d’ailleurs en des termes qu’ils ne comprennent pas, Voltaire veut finalement faire transparaitre ici leur esprit simplet du simple soldat. L’article continue par ailleurs son éloge du déisme « La religion naturelle a mille fois empêché des citoyens de commettre des crimes. « l.11 et son blâme des religions « artificielles « disant donc que la religion naturelle empêche le citoyen de commettre des crimes puisque prônant un Dieu de paix et que le Christianisme au contraire poussera le citoyen aux meurtres et à la guerre au nom factice de Dieu et impliquant donc que le dogme permet la manipulation de la foi. « La même chanson sert pour les mariages et les naissances, ainsi que pour les meurtres « l.9 : la chanson opère une condensation elle est un raccourci drastique de la vie humaine dans le sens où elle met au même niveau de nombreuses étapes très différentes. Voltaire dit donc que la religion par l’intermédiaire de ses règles et justifications essaye finalement de faire entrer la guerre religieuse dans le commun humain et qu’ainsi la joie du mariage, donc de l’amour, de la naissance, donc de la vie, sont au même niveau que la joie du meurtre et de la guerre, surtout au nom de Dieu. Le plus frivole des éléments (« chanson «) et celui considéré comme le plus grave (« meurtres «) sont rapprochés, voire même identifiés l’un à l’autre : on atteint là un décalage énorme et voulu, le paroxysme de l’ironie. En somme, Voltaire dénonce ce qu’il nomme la religion artificielle, c'est-à-dire les religions à dogmes, les religions qu’il estime obscurantistes, en les mettant en opposition avec ce qu’il nomme la religion naturelle, c'est-à-dire le déisme, où l’homme ne croit qu’en un Dieu bon et de paix s’armant d’ironie pour mettre en avant les meurtres exigés par la religion dogmatique et la liant ainsi au barbarisme, à l’assassin et à l’ignorance du superstitieux. Il est intéressant de préciser pour mieux comprendre sa pensée que Voltaire reconnait l’existence d’un principe divin grâce à la contemplation de l’ordre parfait de la nature qui prête à penser qu’il n’y a pas de hasard. Ce principe, Être créateur et conservateur, est appelé par Voltaire « le grand horloger «. Aux mystères dogmatiques sont substitués les valeurs que sont la justice, la tolérance ou encore l’humanité. Voltaire fait ici une dénonciation violente et farouche de la guerre en général et de ses rapports avec la religion en particulier. Pour ce faire, il ne s’appuie pas sur une argumentation solide dans le sens ou elle serait objective mais utilise l’ironie mordante qui lui est familière et qui lui est bien connu pour dénoncer principalement le caractère absurde et horrible de la guerre et ainsi en utilisant l’ironie attirer l’attention de son lecteur, et le subjectif pour tel un avocat plaider en sa faveur et dénoncer ceux qu’il estime coupable, il veut que ses valeurs touchent le lecture, il veut l’exposer et le persuader de ses idées, des bienfaits de la raison et du déisme et du mal que représente pour lui la superstition, l’ignorance et les dogmes à caractère conventionnel. Voltaire veut faire passer un message : celui de l’homme intelligent, celui de l’homme honnête, celui du philosophe et ainsi, d’après Voltaire, l’esprit éclairé ne peut pas avoir envie de faire la guerre, s’il a bien compris son message. Questions p.545 1 p.545 Une encyclopédie se doit de traiter plusieurs champs de connaissances, sa nature reposant sur une organisation de ce savoir de façon par exemple thématique ou alphabétique alors qu’un dictionnaire n’est qu’un ouvrage définissant les mots d’un certain domaine. Certes, il peut comme pour l’Encyclopédie de Diderot et D’Alembert ou le Dictionnaire Philosophique de Voltaire y avoir des usages différés mais en premier lieu les textes A et D proviennent de l’Encyclopédie et ensuite quant au texte D nous n’avons pas à faire à la définition d’un terme mais l’explication du concept de « L’autorité politique «. Ce sont donc pour selon moi des articles encyclopédiques. Cependant, je pense que ceci ne se défini qu’en fonction des priorités de classement de chacun. 2 p.545 Le texte C est un apologue et plus précisément un conte oriental permettant à l’auteur d’écrire en s’éloignant de la réalité religieuse occidentale. L’auteur critique le christianisme utilisant l’orient pour couverture et ainsi éviter tout risques. Le texte cherchant à démontrer l’inanité de la providence religieuse arguant que ses bienfaits sont contradictoires au profit du « bon sens « c'est-à-dire la raison et l’intelligence en les opposant. L’auteur dénonce donc et critique la religion tout en prônant le « bon sens « ou plus généralement la raison dans le cas des philosophes des lumières. C’est donc –comme d’ailleurs déjà énoncé- un apologue, c'est-à-dire un discours narratif démonstratif à visée argumentative et didactique renfermant des enseignements et dont on tire une morale.
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pour comble de grâce, quelque ville a été détruite de fond en comble, alors on chante à quatre parties une chanson assez longue,composée dans une langue inconnue à tous ceux qui ont combattu, et de plus toute farcie de barbarismes » dénonçant à nouveauce qu'il estime être la soif de sang du chef de guerre.
En somme, la guerre n'est pas un métier ou un acte pur de défense morale,Voltaire dénie au combattant un caractère épique et héroïque : le soldat est un meurtrier qui n'est pas concerné par la bataille qu'illivre, si ce n'est par le plaisir qu'il éprouve dans le meurtre, la destruction de villes ou tout autres injustifiables méfaits.
Nousretrouvons encore l'ironie Voltairienne dans l'association d'évènements heureux et communs aux meurtres qu'il associe aux soldatset chefs de guerre : « La même chanson sert pour les mariages et pour les naissances, ainsi que pour les meurtres ».Dans le but de faire contraster avec la réalité des faits liés à la guerre et la religion, la dénonciation ironique de Voltaire estprécédé d'une exagération des pêchés considérés mortels par les religieux « un pauvre homme qui mange pour deux sous et demide mouton va pour jamais à tous les diables » l.30.
Il y a également utilisation du présent de vérité générale, on est dans un articlede dictionnaire, le casus belli (cause de guerre) est énoncé d'une manière narrative avec une valeur d'absolu.
De même, il y a uneinstantanéisation et un rapprochement de l'effet causes/conséquences pour en souligner la disproportion et l'absurdité renforçantla force polémique de l'article et clamant par de là même que cela se passe de cette manière à l'heure où il écrit.
De même, Voltaire utilisera son arme favorite dans sa critique et sa dénonciation de la justification de la guerre par la religion et ladivinité.
Il utilisera pour exemple des termes eux même repris d'un passage biblique l.3 « avant d'aller exterminer son prochain » où le verbe « aimer » étant remplacé par le verbe « exterminer ».
De même, il critiquera également la religion par l'intermédiairede sa critique de la guerre « lorsqu'il y en a eu environ dix mille d'exterminés par le feu et par le fer, et que, pour comble de grâce,quelque ville a été détruite de fond en comble, alors on chante » l.5-6 passage où il dénonce donc comme déjà dit le fléau de laguerre ou les vices des soldats et chefs de guerre, il dénonce également par ceci le fait que le Christianisme en justifiant ces actespar Dieu en fait donc une déité sanguinaire prônant implicitement d'ailleurs le déisme n'acceptant qu'un Dieu d'amour, demiséricorde, de pardon et de paix.
L'ironie de Voltaire s'attaque également à « la chanson », elle-même n'étant pas désignée parson nom (Te Deum) elle est elle-même par ailleurs décrite comme étant « composée dans une langue inconnue à tous ceux quiont combattu » insinuant donc en premier lieu sa futilité et l'inutilité de son sens puisqu'étant composée dans une langue inconnueaux combattants, mettant le point sur l'ignorance des soldats, des religieux et par de là même le caractère superstitieux etobscurantiste de l'acte selon Voltaire, dans un second temps il met l'accent sur l'aspect barbare de celle ci « et de plus toute farciede barbarismes », la violence gratuite et la joie de la guerre des soldats et chefs de guerre puisque chantant pour fêter la mort,chantant d'ailleurs en des termes qu'ils ne comprennent pas, Voltaire veut finalement faire transparaitre ici leur esprit simplet dusimple soldat.
L'article continue par ailleurs son éloge du déisme « La religion naturelle a mille fois empêché des citoyens decommettre des crimes.
» l.11 et son blâme des religions « artificielles » disant donc que la religion naturelle empêche le citoyen decommettre des crimes puisque prônant un Dieu de paix et que le Christianisme au contraire poussera le citoyen aux meurtres et àla guerre au nom factice de Dieu et impliquant donc que le dogme permet la manipulation de la foi.« La même chanson sert pour les mariages et les naissances, ainsi que pour les meurtres » l.9 : la chanson opère une condensationelle est un raccourci drastique de la vie humaine dans le sens où elle met au même niveau de nombreuses étapes très différentes.Voltaire dit donc que la religion par l'intermédiaire de ses règles et justifications essaye finalement de faire entrer la guerrereligieuse dans le commun humain et qu'ainsi la joie du mariage, donc de l'amour, de la naissance, donc de la vie, sont au mêmeniveau que la joie du meurtre et de la guerre, surtout au nom de Dieu.
Le plus frivole des éléments (« chanson ») et celuiconsidéré comme le plus grave (« meurtres ») sont rapprochés, voire même identifiés l'un à l'autre : on atteint là un décalageénorme et voulu, le paroxysme de l'ironie.
En somme, Voltaire dénonce ce qu'il nomme la religion artificielle, c'est-à-dire lesreligions à dogmes, les religions qu'il estime obscurantistes, en les mettant en opposition avec ce qu'il nomme la religion naturelle,c'est-à-dire le déisme, où l'homme ne croit qu'en un Dieu bon et de paix s'armant d'ironie pour mettre en avant les meurtresexigés par la religion dogmatique et la liant ainsi au barbarisme, à l'assassin et à l'ignorance du superstitieux.
Il est intéressant depréciser pour mieux comprendre sa pensée que Voltaire reconnait l'existence d'un principe divin grâce à la contemplation del'ordre parfait de la nature qui prête à penser qu'il n'y a pas de hasard.
Ce principe, Être créateur et conservateur, est appelé parVoltaire « le grand horloger ».
Aux mystères dogmatiques sont substitués les valeurs que sont la justice, la tolérance ou encorel'humanité.
Voltaire fait ici une dénonciation violente et farouche de la guerre en général et de ses rapports avec la religion en particulier.
Pource faire, il ne s'appuie pas sur une argumentation solide dans le sens ou elle serait objective mais utilise l'ironie mordante qui lui estfamilière et qui lui est bien connu pour dénoncer principalement le caractère absurde et horrible de la guerre et ainsi en utilisantl'ironie attirer l'attention de son lecteur, et le subjectif pour tel un avocat plaider en sa faveur et dénoncer ceux qu'il estimecoupable, il veut que ses valeurs touchent le lecture, il veut l'exposer et le persuader de ses idées, des bienfaits de la raison et dudéisme et du mal que représente pour lui la superstition, l'ignorance et les dogmes à caractère conventionnel.Voltaire veut faire passer un message : celui de l'homme intelligent, celui de l'homme honnête, celui du philosophe et ainsi, d'aprèsVoltaire, l'esprit éclairé ne peut pas avoir envie de faire la guerre, s'il a bien compris son message..
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