Ce corpus est composé d'un texte de Voltaire nommé « Histoire d'un bon Bramin écrit en 1761. Nous pouvons nous demander : Dans quelle mesure ce conte de Voltaire est-il un apologue ?
Publié le 13/05/2012
Extrait du document
Voltaire dans ce conte, utilise l’apologue pour nous emmener dans une situation fictive et quelque peut symbolique. Il fabrique un cadre spatio-temporel marqué par un éloignement ; il évoque une cadre orientale « l’eau de Gange «. On reste dans l’inconnu du temps « dans mes voyages «, « le même jour «. Il ne décrit pas avec précision son environnement « jardins charmant «, « près de sa maison «. L’Apologue tourne autour du narrateur, c’est un personnage « je « on n’a peut d’information sur lui ; c’est un voyageur qui est intéressé par les autres cultures, il fréquente les philosophes, c’est un personnage qui réfléchit énormément « il est donc clair « , « mon avis « « de la je conclus « «après avoir réfléchie « . Il y a se Bramin présenté comme un philosophe, il enseigne « j’enseigne aux autres «. Il réfléchit beaucoup sur le sens de la vie et ses objectifs, c’est donc pour ça que l’on va chercher à savoir quel rôle à cet apologue.
Cet apologue est fait pour que le lecteur ait une réflexion sur les moyens d’accéder au bonheur, pour cela il utilise d’abord une réflexion sur le paradoxe lié au savoir et à la connaissance. Le Bramin exprime à l’aide de sa longue tirade son malheur et utilise un registre lyrique pour souligner sa souffrance intérieure « accablé « « sentiment douloureux « « désespoir « « je voudrais n’être jamais né «. Il évoque les origines du mal et exprime le paradoxe de la connaissance qui engendre la conscience de l’ignorance « j’enseigne les autres, et j’ignore tout « « je me trouve dans un point entre deux éternités comme disent nos sages, et je n’ai nulle idée de l’éternité «. Il associe son existence à beaucoup de points négatif « vie insupportable « « je ne sais pourquoi j’existe «.
Il doit choisir de deux modes d’existences, c'est-à-dire la connaissance lucide mais désespérée, ou l’ignorance heureuse mais stupide, cette fois si il utilise le lexique du bonheur mais pour parler du bonheur lié à la vieille « la plus heureuse des femmes « « un tel bonheur « qu’il ne justifie pas les termes « sot « « imbécile «
En conclusion cet l’apologue parle du bonheur et confronte plusieurs personnages dans une situation de dialogue au terme de laquelle l’auteur conclut en s’appuyant sur un raisonnement logique, l’homme veut être heureux ; mais ceux qui réfléchissent souffrent, il y a du mal-être. Il faudrait donc choisir
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