Arianisme Hérésie chrétienne qui a cours du IVe au VIe siècle sur l'instigation d'Arius, condamné par l'Eglise en 325 et en 381.
Publié le 02/02/2013
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Arianisme Hérésie chrétienne qui a cours du IVe au VIe siècle sur l'instigation d'Arius, condamné par l'Eglise en 325 et en 381. Cette doctrine niant la consubstantialité du Fils avec le Père -- c'est-à-dire niant l'essence divine de Jésus -- se scinde ensuite en plusieurs tendances qui rencontrent un vaste écho dans l'Empire et hors de celui-ci.
Liens utiles
- Saint Martin D isciple de saint Hilaire, au milieu du IVe siècle, saint Martin lutta contre l'arianisme et fonda à L igugé le premier monastère de la Gaule centrale.
- La crise de l'arianisme (IVe siècle)
- Le XVIIe siècle avait condamné dans Dom Juan de Molière une pièce « où la gloire de Dieu est ouvertement attaquée, où la foi est exposée aux insultes d'un bouffon qui fait commerce de ses mystères et qui en prostitue la sainteté, où un athée, foudroyé en apparence, foudroie en effet et renverse tous les fondements de la religion. » (Observations... du sieur de Rochemont, 1665). On a soutenu, depuis, que Dom Juan était une pièce profondément chrétienne : vous vous attacherez à montrer c
- « Grimm, qui fut l'ami de Diderot, s'était chargé, peu après 1750, de tenir les cours étrangères au courant de la vie intellectuelle et artistique en France. Imaginez une lettre de lui dans laquelle il décrirait le milieu où vivent les gens de lettres à Paris, cafés, salons, théâtres, en somme les « à-côtés » de la littérature qui ont aidé à l'éclosion et au succès des idées, au XVIIIe siècle. »
- Dans le salon d'une mondaine, brillante et sophistiquée, de la fin du XIXe siècle, Guy de Maupassant fait porter par l'élégant Mariolle, un des personnages du roman Notre coeur (1890), le jugement suivant, au cours d'une conversation avec le romancier Gaston de Lamarthe : «Au temps où les romanciers et les poètes les (= les femmes) exaltaient et les faisaient rêver, elles cherchaient et croyaient trouver dans la vie l'équivalent de ce que leur coeur avait pressenti dans leurs lectures.