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Absolutisme

Publié le 06/07/2018

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La France, particulièrement depuis Louis XIV, est habitué à l’absolutisme, c’est à dire à un monarque qui détient tous les pouvoirs sans partage : législatif, exécutif et judiciaire. Cependant, les philosophes des Lumières ont installé de nouvelles idées qui ont peu à peu entrainé la remise en question de l’absolutisme. Comment le pouvoir et la société ont-ils évolué entre 1788 et 1799? Dans un premier temps, nous allons parler du passage de l’absolutisme à la monarchie constitutionnelle puis nous verrons la création de la Première République. Diverses raisons ont mécontenté le peuple vers la fin du 18ème siècle. En 1788, en France, les récolte ont été catastrophiques: Un orage de grêle d’une force exceptionnelle a ravagé toutes les campagnes céréalières. De plus, le 3 mai, le Parlement de Paris, se sentant menacé par le gouvernement, réagis par un arrêté qui expose les "lois fondamentales de la monarchie". En 1789, le 1er mai, les députés arrivent à Versailles. Alors que ceux du clergé (291) et de la noblesse (270) sont reçus en grand apparat, ceux du tiers état (584) sont quelque peu ignorés, le 5 mai, le roi ouvre les États généraux. Le 20 juin 1789, Le serment du Jeu de paume fut prononcé par 300 députés du tiers état, certains députés du clergé et de la noblesse : Ils firent le serment de ne pas se séparer avant l’élaboration d’une Constitution. Ce qui marque vraiment le début de la révolution française est la Prise de la Bastille le 14 juillet. Le 4, c’est l’abolition des privilèges. Le 26 août 1789, l’Assemblée constituante publie la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen. En 1790, le 16 mars, il y eu la suppression des lettres de cachet. Le 19 juin, suppression de la noblesse. Le 12 juillet, vote de la constitution civile du clergé, qui a été approuvée par le roi 10 jours plus tard. Le 22 octobre, adoption du drapeau tricolore par décision de l'Assemblée Constituante et le 3 décembre : Louis XVI demanda au roi de Prusse de le soutenir contre la Révolution. En 1791, le 20 juin, la famille royale tenta de fuir et fut arrêtée le lendemain à Varennes.       17 juillet, il y eu la fusillade du Champ-de-Mars, à Paris : les gardes de La Fayette tirent sur les républicains qui demandaient la déposition du roi. Le 23 mars 1792, Louis XVI appelle au gouvernement les Girondins, ainsi nommés plusieurs viennent du département de la Gironde. Comme le roi mais pour des raisons opposées, la guerre contre l'Autriche. Ils souhaitent exporter les idées révolutionnaires à travers l'Europe ; quant au roi, il souhaite secrètement la défaite des armées françaises afin de rétablir son pouvoir absolu avec l'appui des armées étrangères. Puis, le 5 septembre 1793, il y eu la Mise en place de la Terreur, le 22 août 1795 : Promulgation des institutions du Directoire et enfin le 9 novembre 1799 : Coup d’État du général Bonaparte (coup d’État de Brumaire). 

« octobre, adoption du drapeau tricolore par décision de l'Assemblée Constituante et le 3 décembre : Louis XVI demanda au roi de Prusse de le soutenir contre la Révolution.   En 1791, le 20 juin, la famille royale tenta de fuir et fut arrêtée le lendemain à Varennes.              17 juillet, il y eu la fusillade du Champ-de-Mars, à Paris : les gardes de La Fayette tirent sur les républicains qui demandaient la déposition du roi.   Le 23 mars 1792, Louis XVI appelle au gouvernement les Girondins, ainsi nommés plusieurs viennent du département de la Gironde.

Comme le roi mais pour des raisons opposées, la guerre contre l'Autriche.

Ils souhaitent exporter les idées révolutionnaires à travers l'Europe ; quant au roi, il souhaite secrètement la défaite des armées françaises afin de rétablir son pouvoir absolu avec l'appui des armées étrangères.

Puis, le 5 septembre 1793, il y eu la Mise en place de la Terreur, le 22 août 1795 : Promulgation des institutions du Directoire et enfin le 9 novembre 1799 : Coup d'État du général Bonaparte (coup d'État de Brumaire).. »

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