A votre tour, dans un texte de fiction, présentez un univers utopique en vous appuyant sur les caractéristiques du genre, et à travers lequel vous ferez implicitement la critique de notre monde.
Publié le 20/05/2012
Extrait du document
Quel monde! Je suis vraiment arrivé au paradis sur terre! J'ai vraiment eu une chance folle finalement, de s'être naufragé sur cette île déserte avec 3 de mes amis mon fils de 15 ans. Je suis vraiment à mille lieu de nulle part, mais, dans ce monde magnifique, on a pas besoin d'une autre personne pour me tenir compagnie. Sous ce beau ciel bleu et ce soleil rayonnant sur une eau parfaitement bleu clairet transparent, à une température parfaite pour se rafraichir. Avoisinent cette beauté, se trouve une plage étincelante et parfaitement blanche, qui a l'aire comme j'ai été le premier à y marcher! Aussi, juste à côté de moi se trouve une forêt verdoyante, avec de toute sorte d'arbres et de plantes, me produisant assez de nourriture pour que je vivent une vie plaine, saine et délicieuse. Il y a beaucoup de végétation dans l'île, qu'on s'y perds parfois, mais heureusement, elle n'est pas très grande, donc ça ne prend pas trop longtemps pour retrouver mon chemin. J'en ai déduis, après avoir passé un certain temps ici, que l'île est plutôt ronde avec une belle forêt dense au milieu. Ici, c'est comme si la pollution de nos si cher grandes villes n'avait jamais existé C'est l'image classique d'une île déserte, mais j'en suis tombé amoureux. Avec mes confrère, qui réside sur cet endroit utopique, règne un vrai sentiment d'égalité. On s'entraide pour construire un petit habitat et vivre harmonieusement. On vit de manière commune et on se concerte pour chaque décisions à prendre, les petites choses, tout comme les plus grandes, ce qui fait qu'on est non seulement égale, mais aussi très proche les uns des autres, plus que nous étions avant, et plus qu'on aurait jamais été si on aurait resté dans le monde qui favorise la concurrence, même entre amis. On va tour a tour dans la forêt pour aller chercher de quoi manger et on vit tous ensemble harmonieusement. On s'est tous approprié les peux de règle que nous nous somme fixer, et tous va parfaitement. Ma vie d'avant ne faire en aucun cas le poids par rapport à cette vie. Tous le stresse de l'argent, la pression de toujours faire plus que le voisin, ou encore l'angoisse de trouver un métier, s'envole ici, et on ne ressent plus aucun problème. C'est tellement meilleur ce petit monde que je ne pourrait plus jamais la quitté. Il n'y a rien de mieux au monde que cette petite île pour faire le vide de toute appréhension que pourrait nous apportés la vie. Cette petite île nous enlève tout le petit monde habituelle qui nous harcèle sans cesse, comme les religieux ou encore les hommes politiques, incapable de gouverner! Parlant de religion, on pourrait même rattacher ce paradis au jardin d’Éden, tellement c'est magnifique! Mais, même si ce n'est pas aussi parfait, ça se rapprocherait du monde Tahitien décrit par le vieillard dans Le Supplément au Voyage de Bougainville. J'espère seulement qu'il n'y aura pas d’envahisseur soit disant civiliser, qui viendront tous détruire, laissant cet endroit de rêve en ruine. Je ne voudrais surtout pas dire que le 'vrai' monde est dé-civilisé, mais ils n'arrivent pas à se détacher du monde de l'argent et, en faite, du capitalisme. Ici, on pourrait presque dire que c'est l'endroit rêvé de Marx, ce qui serait peut être allez un peut trop loin.
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- Un critique d'art contemporain faisait remarquer, dans un récent article, que la laideur sous toutes ses formes envahit le monde actuel. « Sur le plan de l'affiche, par exemple, de l'objet usuel, du décor intérieur, des lieux publics... nous assistons, disait-il, à une constante et rapide dégradation. » Avez-vous été frappé vous-même par des impressions du même genre ? Que croyez-vous que l'on devrait faire pour y remédier ?
- Paul Fort, Les Ballades françaises, 1912. Vous ferez de ce texte un commentaire composé. Vous pourrez, en particulier, montrer par quels procédés stylistiques le poète convalescent exprime sa redécouverte du monde.
- « Le langage est un pouvoir. Celui qui a un discours construit, qui parle mieux et qui fournit du sens, dispose d’une arme. A l’inverse, l’incapacité à dire le réel, à le classifier à travers le langage, rend vulnérable, prisonnier du monde et réduit aux dimensions d’un leurre l’esprit critique. »
- Georges Peninou, Le monde. Vous ferez de ce texte un résumé ou une analyse.
- Un critique contemporain écrit (R. Barthes, Le plaisir du texte, Éd. du Seuil, 1973, g. 85) : « Pourquoi, dans des œuvres historiques, romanesques, biographiques, y a-t-il (pour certains dont je suis) un plaisir à voir représenter la « vie quotidienne » d'une époque, d'un personnage? Pourquoi cette curiosité des menus détails : horaires, habitudes, repas, logements, vêtements, etc.? » Avez-vous, vous aussi, au cours de vos lectures, ressenti ce plaisir qu'évoque Roland Barthes? En vous