La justice vous paraît-elle juste ?
Publié le 09/11/2012
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par une légitime défense, que nous définissons comme ceci : Est en état de légitime défense une
personne qui riposte à une atteinte immédiate et injustifiée à sa personne, à autrui ou à ses biens, à
condition que les moyens de défense soient proportionnels à la gravité de l’atteinte. Dans ce cas, sa
responsabilité pénale n’est pas retenue pour les atteintes qu’elle a pu elle-même causer en état de
légitime défense. On peut également citer l’exemple des « instables mentaux « qui vont également
bénéficier de plus d’ « indulgence « qu’une personne en plaine possession de ses moyens mentaux. Or,
certains n’hésitent pas à se faire passer pour ce qu’ils ne sont pas ou bien dissimulent un meurtre
derrière une légitime défense et se servent de ces « cas spéciaux « pour détourner la justice et la
tromper, ce qui constitue une faille première faille de la justice dans son application.

«
défense.
Le second écopera d’une peine lourde, tandis que l’autre bénéficiera s’une remise de peine, par
le fait justement que son acte fut provoqué
par une légitime défense, que nous définissons comme ceci : Est en état de légitime défense une
personne qui riposte à une atteinte immédiate et injustifiée à sa personne, à autrui ou à ses biens, à
condition que les moyens de défense soient proportionnels à la gravité de l’atteinte.
Dans ce cas, sa
responsabilité pénale n’est pas retenue pour les atteintes qu’elle a pu elle-même causer en état de
légitime défense.
On peut également citer l’exemple des « instables mentaux » qui vont également
bénéficier de plus d’ « indulgence » qu’une personne en plaine possession de ses moyens mentaux.
Or,
certains n’hésitent pas à se faire passer pour ce qu’ils ne sont pas ou bien dissimulent un meurtre
derrière une légitime défense et se servent de ces « cas spéciaux » pour détourner la justice et la
tromper, ce qui constitue une faille première faille de la justice dans son application.
Maintenant concentrons nous sur les disparités qui résultent des personnes elles-mêmes face à la
justice.
Evidemment, il ne faut pas se leurrer, de nos jours pour obtenir une décision de justice en sa faveur il faut
y mettre les moyens (principalement dans les affaires délicates).
Tout d’abord financièrement, en effet
avoir un bon voire un très bon avocat ne peut que rendre service dans le fait d’aborder une action en
justice, mais il faut donc pouvoir en moyenner les finances.
Or, tout le monde n’a pas les moyens
de se payer un bon avocat.
Après cela, quoi qu’on en dise, le pouvoir compte aussi.
C’est un sujet qui fâche mais il est pourtant bien
d’actualité et réel.
Nous pouvons citer l’exemple du représentant de l’ordre qui a fauché un jeune piéton
(sur un passage piéton) et qui s’en tirera avec un simple sursis d’un an, là ou un simple civil aurait
sûrement écopé d’une peine plus lourde.
On peut aussi observer ce phénomène dans la politique.
L’Etat ,
qui bien bénéficie bien entendu non pas d’une immunité absolue mais qui par son influence peut s’en
tirer bien plus facilement qu’un simple citoyen.
On peut donc dire que le facteur social, des revenus financiers et d’autres paramètres matériels d’un
individu peuvent jouer sur la justice et l’éloigner de son impartialité.
Cela s’accentuant en présence de cas
particuliers.
Pour conclure sur tout ce développement, nous pouvons dire que la justice est sensiblement plus juste
dans les textes que dans l’application.
Si elle est dans le premier cas ferme et inchangeable, et surtout
pour tous, elle pourra dans le second cas être « détournable » selon plusieurs paramètres.
La justice n’est donc parfaitement impartiale (=juste) que dans les textes et tout ceci peut nous conduire
à réfléchir sur comment faire pour faire de l’application une forme juste de façon tout à fait égale.
Faut -il
réellement appliquer à la lettre les textes de la justice ?.
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