Droit International Public
Publié le 27/12/2012
Extrait du document
«
connaissance et intention ne sont pas importantes, ce qui importe, c’est le Préjudice
et Imputabilité.
Il faut qu’il y ait une victime mais il faut surtout un dommage subi (moral, matériel).
Le T.D à propos de l’ONU : faut-il reformer l’ONU ? On doit commencer par savoir
qu’est ce qu’il s’agit ? Comment cela fonctionne ? Quels sont les inconvénients du
système de fonctionnement ? Établir la bibliographie, noter les critiques, aller sur le
site des NU, RGDIP et les articles à ce propos.
Les idées brassées par différents
auteurs et ce qui est proposé à ce sujet.
Un plan biparti.
Maximum 10pages, dont une
pour les références.
Il y a tellement d’E qui violent des arrêts, violant les D de l’Homme et causent des
préjudices à des individus, et même aux travailleurs migrants et surtout les femmes.
Dans ce cas, l’E peut prendre fait et cause pour lui contre l’autre E (mécanisme que
l’on n’utilise pas trop, à cause du large nombre d’individus lésés).
Un exemple de
préjudice et de responsabilité : pendant la guerre en 2006, le Liban, le bombardement
israélien des réservoirs de Fuel a Jiyeh, agression, violation manifeste du droit
international.
(La reconnaissance n’a aucune corrélation avec la responsabilité entre 2
Etats).
Les relations inter étatiques sont aussi réglementées par des conventions
Internationales, les E établissent des relations consulaires et diplomatiques, une des
manières par lesquelles les E communiquent.
Ces relations posent problème car
jusqu’à la guerre froide, les relations étatiques étaient gouvernées par la coutume
(idée de guerre ou paix) (époque de Grotius).
Une nécessité de coopération entre les E
pour les raisons de l’environnement et du terrorisme internationale actuellement.
Il
faut bcp plus de coopération pour combattre la piraterie, la corruption, les crimes
organisées, tout cela requiert des relations et des conventions entre E.
(convention de
Vienne sur les relations diplomatiques et relations consulaires).
L’Etat a le droit de sortir de ses frontières et d’aller exercer sa compétence au-delà de
celles-ci, il peut avoir des biens à l’extérieur.
(Les biens iraniens par exemple).
Il a
droit de suite de ses biens.
Mais quand un E a des ressortissants étrangers chez lui, ils
obéissent au régime de cet Etat mais s’ils ont lésé, leur E souverain en prend charge.
Notion de nationalité peut les exclure ou permettre a l’E de prendre fait ou cause pour
eux.
C’est un lien (de droit) juridique entre une personne physique ou morale et un
Etat, les biens peuvent avoir des nationalités aussi (les tableaux et des bateaux).
Ce
principe a vu le jour au 18eme siècle avec l’éveil des minorités, les individus
voulaient « vouloir vivre ensemble, édifier une communauté nationale, reconnaitre le
droit de se constituer en Etat » aujourd’hui nous parlons du droit des peuples a
disposer d’eux même base de la nationalité (domaine de réserve de l’E, décide ceux
qui peuvent requérir cette nationalité).
L’E a des compétences vis-à-vis de ses nationaux, s’ils vivent dans le territoire ou a
l’extérieur.
La justice internationale pour les individus est valable si tous les moyens
internes et recours sont épuisés.
Les relations diplomatiques se divisent en 3 parties:.
»
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