« s’agit plus que de pénétration vaginale mais également de pénétration buccale et anale.

En vue des nouveaux éléments le nombre de victimes à considérablement augmentait par rapport a avant 1980 où seul les femmes étaient considérées comme victimes de viols.

Contrairement au viol, certaines infractions punissables disparaissent avec le temps : avant 1994 la mendicité et le vagabondage étaient un délit, maintenant le législateur a décidé de ne plus sévir.

Tout comme l’avortement qui était considéré comme un crime jusqu’en 1975.

En revanche certaines infractions non punies à l’époque le sont maintenant, la loi du 10 juillet 1970 a criminalisé la consommation et le commerce de stupéfiants ; jusqu’en 1958 la conduite en état d’ébriété n’était pas punissable jusqu'à 1,6g d’alcool dans le sang, de nous jours entre 0,2g et 0,8g c’est considéré comme une contravention, au delà de 0,8g c’est désormais un délit. Les règles divergent d’un pays à un autre, par exemple en France l’homosexualité n’est pas punissable alors que c’est un crime dans un autre pays ! Les sociologues parlent alors de relativité culturelle.

Si la comparaison à lieu en même temps on parle de relativité synchronique, si elle a lieu à 2 moments différents dans le temps on parle alors de relativité historique ou diachronique. Les sociologues ne sont pas entièrement satisfaits de la définition du crime imposé par les juristes et cherchent une autre définition ; De ce fait le père de la sociologie française, Emile DURKHEIM, utilise le terme de crime ou de criminalité en regroupant toutes les infractions.

Selon l’Italien Garo FALO un des pères de la criminologie, un crime est un acte qui offense la pitié et la probité tel que les vols et les homicides « voilà le noyau dure du crime » le reste est considéré comme des crimes de circonstances.

DUKRHEIM est opposé à cette définition.

Une définition insistant sur la gravité des actes est proposée, certains comportements sont jugés plus graves que d’autres.

Cette définition a longuement tentée les sociologues car elle ne tient plus compte de la peine encourue mais de la gravité de la violence faite a la victime.

Cependant personne n’as pu établir une hiérarchie de la gravité des actes, cette idée est donc abandonné.. »