Chapitre 1 : objet et méthode de la science économique

« Chapitre 1 : objet et méthode de la science économique Economie = science et savoir qui traite de l’économie. Droit= activité que conduise les individus et leurs activité juridiques.  Le savoir = la science du droit. Des le plus jeune âge, l’être humain a une activité économique.   Objet : Ce a quoi il s’intéresse, de quoi il parler ? Méthode : de quelle manière va-t-elle parler ? Méthode positive : on étudie le droit t’elle qu’il est. - Pas de jugement de valeur (essaie de dire ce qu’est le droit). - Idée que le droit est posé.

 Volonté humaine qui pose une règle de droit.  Pas de droit naturel. Section 1 : L’objet de la science économique Le mot économie a été inventé il y a 2500 ans par Aristote et Xénophon.

(= mot qui vient du grec). Eco : Oïkos = famille/maison Nomie : Nomos = Norma  Norme/règle.  Règle de gestion par le chef de famille Objet vient du latin « ob-jectus » => jeter devant Science est un sujet. Galilée : d(t) = 1/2gt²  Loi de la chute des corps. Eco-logie : science du milieu vivant. Quel est l’objet de l’éco - Economie vient s’intéresser aux richesses par JB Say qui fonda les traités de l’éco politique. Distinction entre revenus et patrimoine. JB Say donne une définition de l’économie = science de la production de la circulation et de la distribution des richesses. Revenu : salaire. Patrimoine : Ce que je possède. La richesse va posséder une valeur économique. Le concept de richesse est d’avoir une valeur économique, on va pouvoir évaluer un patrimoine. Le marché est utile pour se procurer des biens, marché de l’immobilier, marché de la baguette de pain… Sur le marché des échanges vont se faire, la loi offre et demande avec un prix d’éqilibre. La science économique sera la science des choses ou de prestation. Deux types de riches :  Bien : ce sont des choses (je peux être propriétaire d’un bien).

Ex : le droit réel  Services : ce sont des actions, immatériels, nous ne pouvons pas être propriétaire. Ils ont une valeur.

Richesse soit des biens soit des services.

On ne peut pas devenir propriétaire d’un service.

Le service ne s’accumule pas.

On ne peut pas se l’approprier.  Bien et service en tant qu’ils ont une valeur économique. Il faut différencier les biens stockables et les biens non stockables. Concept de valeur général : La valeur économique n’est qu’un cas particulier de la valeur. Dans la valeur => valeur économique => biens et services. Le concept de prix ne correspond pas à la vie économique.

Le prix est un cas particulier de la valeur économique. Il y a une valeur a chaque fois qu’on peut hiérarchiser les choses. Philosophie Louis Lavelle XXème siècle « le traité des valeur ». Valeur du bon et du bien traité par la morale. La morale collective => la justice.

La valeur du juste. Le bon ne se réduit pas au juste.

Le juste c’est le bon dans le rapport avec autrui. Choses bonnes sans qu’elles soient justes => la morale par apport à soi-même et non par rapport a autrui. Deux types de droits :  Réels : met en rapport une personne avec une chose  Personnels : met une personne en rapport avec une autre personne = le créancier et le débiteur. Deux types de biens :  Matériels  Immatériels Bilan est la description compatible du patrimoine d’une personne. Deux types de bilans :  Actif : tous les biens que je possède.  Passif : les dettes o Dettes exigibles : dette que l’on doit rembourser o Dettes non exigibles : au décès de la personne les biens possédés doivent revenir à l’héritier de la personne. Toute chose qui se fait, se fait de façon matérielle. Un service ne peut pas être approprié. Les économistes s’intéressent aux services, en tant que ces B et S ont une valeur. Un service on ne peut pas se l’approprier, il ne peut pas être accumulé, qui se fait de façon matérielle. La science économique s’intéresse aux biens et services en tant qu’ils ont une valeur économique.

Il ne faut réduire la notion de valeur à uniquement économiquement.

Le concept de valeur est très général, le cratère économique n’est qu’un cas particulier de la valeur. Le concept de prix : de biens ont une valeur économique mais n’ont pas de prix. Il y a valeurs dès que l’on peut hiérarchiser les choses. La valeur brute est un cas particulier : un philosophe Louis Lavel qui écrit « un traité des valeurs ».

La valeur économique n’est qu’une forme particulière de valeurs, il y en d’autre. La valeur du bon et du bien : la morale en traite. Il y a la morale collective ce que l’on peut appeler la justice.

Mais le bon ne se réduit pas au juste.

Le juste est le bon dans le rapport avec autrui.

Il y a des choses qui peuvent être bonne sans être juste. Tout ce qui est juste est bon mais tout ce qui est bon n’est pas juste. Problème de répartition des revenus. LA vérité est aussi une valeur. L’opposé du vraie est l’erreur. La véracité n’est pas la vérité, c’est la bonne fois. Il est préférable d’être de bonne foi.

Mais on ne peut pas dire que quelque chose est une erreur en étant de bonne foi. Exemple de la thèse du géocentrisme. Le soleil tourne autour de la terre. La valeur économique n’est pas sans rapport avec la valeur du juste et du vraie. La véracité et la bonne fois ont un rapport avec l’économie.

La confiance est très importante dans la vie commerciale. Distinguer la valeur économique du prix.  La notion de valeur éco est plus large. Peut-on hiérarchiser dans l’univers de la valeur économique ?  Il y a hiérarchisation avant même tout prix.

Comme le jugement de valeur. Ex.

si on préfère A ou B, on acceptera de payer un prix plus élevé pour A que pour B.

Or on n'a pas tous les même goûts (≠ jugement de valeur). Le jugement de valeur peut être subjectif et objectif ; - Subjectif : « Les gout et les couleurs ».

Liberté individuelle.

Or elles ne suffisent pas à former la société et créer une vie sociale. - Objectif : jugement qui fait l’accord de tous.

En économie, il s’agit du marché. Dans un marché le prix va être unique. Le marché : C’est la rencontre de demandeurs et d’offreurs.  Structure : différents éléments composants le marché.

Ne suffit pas à le faire fonctionner car il nécessite des échanges.  Fonctionnement : détermination d’un prix qui sera une mesure objective de la valeur. On observe que le prix P1 (10€/kg) est déséquilibré par rapport à la quantité offerte (900kg). L’offre est > demande Déséquilibre par un excès de l’offre sur le marché. Déséquilibre par une excès de demande par rapport à l’offre Un marché en équilibre est préférable à un déséquilibre de marché. - Main invisible = régulation autonome du marché. - Mais visible = régulation étatique Situation de pénurie. Econome planifiée (URSS)  l’offre et la demande sont normaux (plus le prix est élevé, plus la demande est élevée).

L’offre va changer pour devenir verticale. 1/ Déséquilibre offre sur demande Si l'offre est supérieure à la demande, il y a un excès de l’offre ↬ surproduction. Les demandeurs sont satisfaits car la demande est solvable. Les offreurs sont rationnés car ils ne vendent pas tout et il va y avoir un accroissement de stock non voulu.

Ils vont donc accepter de baisser les prix. C'est la loi de l'offre et de la demande. Si prix baisse demandeurs réagissent positivement et demandent +, ils deviennent donc solvables et les offreurs réagissent en sens inverse, se retire du marché et diminution de la quantité offerte.

L'écart entre l'offre et la demande se rapproche donc de plus en plus malgré souvent un excès de l'offre à la demande : processus non politique « main invisible » pour obtenir le marché parfait. 2/ Déséquilibre demande sur offre Autre déséquilibre du marché, celui du prix pour arriver aux quantités données et offertes.

Donc excès de la demande sur l’offre ↬ pénurie. Variations de stock chez les demandeurs, on a une stratégie de stock chez nous. Offreurs satisfaits car productions vendues et sont du coté court du marché.

Les demandeurs pas satisfaits seront du côté long du marché. ➔ Adam SMITH ➔ Friedrich August von Houghton En Russie XXème siècle, dans une économie planifiée : Ici l’offre ne dépend pas du prix/profit mais du planificateur. Pour éviter les crises le prix est fixé bas mais cela amène à des pénuries.

En économie de marché cela peut se régler en augmentant le prix mais ici impossible car le prix est fixé. Chute du mur de Berlin en 1992 ↬ libéralisation du marché et augmentation des.... »