xv,r siècle et première période du xvnr siècle Monade divine Le mal moral commis . . librement � ---- ---����ue...
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xv,r siècle et première période du xvnr siècle
Monade divine
Le mal
moral
commis
.
.
librement
�
---- ---����ue
est utile
• - - - - - - - - - -Le mal métaphysique
provient
de l'état de créature.
Le meilleur des mondes: le plus grand ordre dans la plus grande diversité.
Dieu et le monde chez Leibniz
Empirisme / Hobbes
Thomas Hobbes (1588-1679) entend constituer
un système philosophique li� des présupposés
métaphysiques, et l'établir sur le modèle de la
science de la nature et de la math6matique de son
époque.
Ses œuvres majeures sont les Elbntnts de
philosophie et le Uviathan qui, par sa célèbre
théorie du conttat social, est devenu un classique
de la philosophie politique.
Pour HOBBES, la philosophie est la connaissance
rationnelle de l'enchaînement des causes (puis
sance active d'un objet) et des effets (puissance
passive d'un objet).
« La philosophie est la connaissance, acquise
par un raisonnement corm:t (JHr rectam ralio
cinationtm), des effets ou phmomènes d'après
les causes ou les générations que l'on conçoit,
et, inversement, de lcun générations possibles
d'après les effets connus.
,.
La philosophie est donc une rechm:ht des causts.
Les corps en sont 1'objet, dont la production et les
propriétés peuvent être saisies conceptuellemcnt
Les corps sont soit naturels ()'homme appartient à
cette classe), soit artificiels : ainsi l'Etat.
La tâche de la philosophie est encore d'analyser
des phénomènes complexes en Jeurs éléments,
pour renvoyer aux principes universels.
Le pre
mier principe d'explication des enchaînements
dans la nature est le mouvement.
Tous les proces
sus sont explicables mécaniqutmtnl.
La théorie de
la connaissance part du fait qu'àcertains contenus
de représentation correspondent des choses indé
pendantes de la peoséc.
Les qualités sensibles
(sons, odeurs, etc.) ne sont pas des � des
choses, mais des modifications du sujet affecté.
Les objets extérieun exercent sur les organes des
sens une excitation mécanique qui produit alors,
par la réaction des « esprits animaux », la repré
sentation conespondante dans le cerveau.
L'objet direct de I' expmcnce n'est pas les
choses elles-mêmes, mais les représe/llalions.
A ces demims sont associés des signes (noms},
qui ont pour l'individu la fonction de repères, et
dans la communication celle de signes
d'échange.
La logique philosophique traite aussi des contenus
de représentation org� en propositions.
La vérité se rapporte à des énoncés, non aux
choses.
La vérité d'un énoncé est établie par l'analyse des....
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