Victor Hugo Melancolia - Analyse et commentaire
Publié le 29/09/2012
Extrait du document
«
champs lexicaux et sémantique qui obligent le lecteur a constaté, à réfléchir et nous verrons plus tard à
s'impliquer au coté du poète.
a.
La fragilité des enfants.
On peut tout d'abord regarder un lexique de la maladie qui traverse le poème.
« Que la fièvre » « aussi quelle
pâleur », « rachitisme ».
Et ce lexique s'ajoute pour caractériser les enfants, l'absence de couleur « pâleur ! La
cendre est sur leur joue ».
Le portrait est fait sous le signe de l'absence caractérisant les enfants d'où leur
fragilité.
« Absence de gaieté » et « pas un seul ne rit » « passif » ces enfants sont ainsi privés de la joie de
vivre « jamais on ne joue ».
Dès le premier vers, ce portrait de la fragilité est construit par une image, on relève l'anaphore de l'adjectif
qualificatif « ces » qui montre à voir afin que le lecteur puisse les représenté.
« On voit » il y a l'innovation de la
solitude des filles de huit ans ce qui montre la fragilité des filles jeunes exposé à leur solitude.
On retrouve la
fragilité dans « petit comme nous sommes » mais aussi la périphrases « lâches tendres » et la métaphore « de
la jeunesse en fleurs » dans le verbe « briser » il y a une idée de la fragilité qui est renforcée par ce verbe et
c'est le futur de ces hommes et femmes.
Cette fragilité on la voit bien dans la transformation que le travail
assure.
Le point le travail devient une entité malfaisante qui s'oppose au bien.
Il envahit par l'enjambement «
souffre étouffant », figurent de dérivation sur les verbes de faire et défaire, insiste sur l'aspect malfaisant du
travail : car Dieu qui a créé l'homme avec le souffle divin et là, le travail les détruits avec son souffre étouffant,
personnification du travail.
Effectivement le poète commente ce qui assure un contre-pied du travail et la
création divine car le travail tu le bien chez l'homme et son intelligence.
Transformation des enfants au vers 20,
présence de « les fronts » et « les coeurs » synecdoque « des fronts et des tueurs » pour Victor Hugo
l'intelligence semble être dans les coeur.
Enfin, on a dans cette fragilité, une perte des enfants s'oppose à
l'impureté du travail.
Le travail est donc une monstruosité.
b.
La monstruosité du travail
Le travail écrase et détruit les enfants fragiles, il y a tout un système de tropes c'est-à-dire une métaphore filée
(personnification) et métonymie qui métamorphose les outils du travail et le travail en monstre.
Disproportion
avec la fragilité des enfants (tropes = métamorphose et comparaison, personnification, métonymie).
»
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