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Philosophie orientale Causes de le souffrance Théorie des 12 causes ou ·Production en dépendance· Possibilités de réincarnation A Bouddhisme: "La...

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« Philosophie orientale Causes de le souffrance Théorie des 12 causes ou ·Production en dépendance· Possibilités de réincarnation A Bouddhisme: "La roue de la doctrine" Les éléments de l'existence (Dharma) sont: Toutes les oppositions sont des apparences ni - étant ni - non-étant ni - aussi bien étent que non-étant ni - ni-étant ni non-étant B Nagarjuna : doctrine de la vacuité D La capacité dans le Samsara est une illusion Vacuité Nirvana Samslra La doctrine du jaïnisme a été fondée (autour de 500 av.

J.-C.) par MAHÂVIRA.

Elle appartient, comme le bouddhisme, aux systèmes qui ne se fondent pas sur l'autorité du Veda. Les composants fondamentaux du monde sont, selon elle, les imes individuelles, capables par nature d • atteindre la perfection, et le non-vivant (qui comprend l'espace, l'éther, et la matière). Les âmes ne peuvent réaliser leur disposition naturelle à l'omniscience et au bonheur, car elles sont mêlées au matériel.

De par leur activité elles attirent en elles des particules matérielles et ainsi de la matière de Karma, qui se fixe à cause des passions, et détermine l'enfermement dans le cycle des réincarnations. Le but du salut est la libération de l'âme et l'ascension vers le lieu de la perfection. Pour y parvenir, l'âme doit se défaire du Karma et se garder d • une nouvelle intrusion par une vie vertueuse, et rejeter enfin par l'ascèse le Karma présent. Le bouddhisme se réfère à l'action et à l'ensei­ gnement de SIDDHARTA GAUTAMA (autour de 560480 av.

J.-C.), qui, après son« Eveil», se nomme lui-même BOUDDHA (L'Eveillé).

Le bouddhisme fait partie des religions non-théistes, puisqu'il ne connaît pas de dieu éternel. Selon le bouddhisme, il n'y a pas d'être stable, mais tout est conçu comme devenant et dispa­ raissant. C'est pourquoi BOUDDHA récuse le concept du soi (l'âtman), puisqu'il n'existe pas de sub­ stance durable. Les éléments derniers qui sont au fondement du monde ne sont pas des substances matérielles ou spirituelles, mais des propriétés ou états inconsis­ tants.

Ces fadeurs d'existence (dharmas) forment 5 groupes: le corporel, les sensations, les distinctions, les forces motrices, les actes de conscience. A partir d • eux se composent tous les phénomènes existants (pierres, animaux, hommes).

Leur appa­ rition et disparition est réglée par une dépendance causale. Ainsi, pour le bouddhisme, toute existence, parce qu'elle est soumise à la loi de dépendance cau­ sale, se résout en un devenir.

C'est dans un balan­ cement perpétuel entre l'être et le non-être, une oscillation régie par la loi de dépendance causale, que consiste la réalité purement apparente des choses en ce monde, voué à l'universelle imper­ manence. Le BOUDDHA représente la doctrine des réincar­ nations et de l'expiation des actes par le Karma. Comme il n'y a pas de substance spirituelle per­ manente, le nouvel être vivant qui naît des actions d'un précédent n'est pas identique de corps ni d'esprit à celui-ci.

C'est plutôt la seule chaîne causale des actes qui subsiste après la mon et mène à une nouvelle vie. Ce rappon est expliqué par la théorie du lien cau­ sal ou « production indépendante fonctionnelle » : Inde / Jaïnisme ; Bouddhisme de l'ignorance ( 1) naissent les forces motrices qui constituent le Karma (volition) (2), les­.... »

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