Moyen Âge Genre ttre vivant Forme Différence: raisonnable Espèce Homme Accomplissement dans ramour de Dieu E] Raison Contenu 1 Contenu...
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«
Moyen Âge
Genre
ttre vivant
Forme
Différence:
raisonnable
Espèce
Homme
Accomplissement dans
ramour de Dieu
E]
Raison
Contenu 1
Contenu 2
Contenu 3
HAECCEITAS
Individu
ill
G7
Action 1
Action2
Action3
�
A
"Haecceitas· de Duns Scot
B
Primat de la volonté chez Duns Scot
Dieu
Néant
Néant
·-._ Petite flamme de l'âme
C
Maitre Eckhart
Haute scolastique / Oum Scot ; Maître Eckhart
Même ces derniers restent valables pour les
Jean Duns Scot (1265-1308) représente ce que
l'on a appelé l'« F.cole franciscaine moderne ».
Il
hommes aussi longtemps que Dieu n'onlonne
rien d'autte.
fut qualifié de« docteur subtil,.
(doctor subtilis), à
cause de son sens aigu de l'argumentation el de la
finesse de l'examen critique des doctrines de ses C'est au XIV' s.
que la tradition de la mystique
médiévale atteint son apogée, reunissant le carac
p-6déce.1seurs.
Notre savoir naturel n'est assuré que là où il peut se tère intérieur de l'expérience de Dieu et l'union
rapporter à )'intuition sensible.
Ainsi, en matière de avec Je divin.
Son plus remarquable representant
choses surnaturelles, seule une connaissance est
imprécise et médiate est possible.
C'est pourquoi Maître Eckhart (vers IU,0..1328) qui est
l'homme a besoin de la revélation pour aborder ce influencé à la fois par la tradition de la théologie
qui n'est pas accessible à la raison naturelle.
L'objet scolastique et par la philosophie.
Son œuvre est
également marquée par l'expérience mystique et la
de la métaphysique n'est pas Dieu mais l'être.
La métaphysique aboutit à un concept abstrait de reflexion philosophique.
Eao!ART a écrit des ouvrages en latin et en
Dieu, la théologie à un concept concret
allemand parmi lesquels figurent de nombreux
L'être, en tant que tel, est le concept le plus
sennons: De l' homme noble, Je CommenJaire de
universel car il doit pouvoir être énoncé pour tous
l' Ecclisiaste et Je livre de la divine consolation.
les étants dans un seul et même sens (univoque).
Il
en resulte qu'il ne comprend aucune détermination Dans sa première Quaestio Paris (Question Pari
sienne), F.cx!!ART répond à la question du rapport
plus large.
C'est pourquoi l'être se dit en proprede la même entre être et connaftre en Dieu avec une priorité
façon pour Dieu et le monde, et pas seulement accordée au conmu"tre (inJellegere) :
Dieu est parce qu'il COIIIllU"t
par analogie.
A la différence de St ÎIIOMAS, selon DuNs Sem ce L'Evangile selon saint Jean dit à ce propos :
« Au début était le Verbe ,.
n'est pas la matière qui est Je principe individuali
sant mais c'est l'individuel qui est une façon d'être et pas : au début était l'être.
Ainsi llcKHART
souligne l'activité originaire du conn&1"tre qui
� (ni forme ni matière)
1 haecceitas (ecceité).
Celle-a détennine l'indi produit de l'être sans soi-même avoir été creé par
vidu en faisant de l'espèce (la forme dernière) la l'être.
Mais naturellement Dieu est aussi être.
F.cx!!ART
« dernière realité de l'étant», l'individu.
DuNs Sror distingue parmi les Transcendantaux veut rendre claire l'idée que Dieu n'a pas
(les predicats valables pour tous les étants) les pas d'être comme un étant creé mais qu'il est l'etre,
siones convenibi/es qui ont même étendue que et....
»
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