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Mégalopole : Citoyenneté et Civisme

Publié le 18/08/2012

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Commençons par nous intéresser au cas Londonien. C’est ici que le cas de non-intégration des populations émigrées est le plus frappant.  Comme dans beaucoup de grande mégalopole, le taux de délinquance est élevé dans les quartiers les plus défavorisés. Nous assistons aussi à des regroupements des populations par quartiers, comme le quartier chinois ou le quartier pakistanais. Alors que les populations autochtones, travaillant en ville, vont vivre dans les banlieues de Londres.  Les populations se sentent délaissé par les gouvernement et n’ont donc pas de volonté d’intégration au système en place mais plutôt à une reformation d’un nouveau système.  Mais le cas Londonien est à part, car la population immigré ne veux n’ont pas un système plus juste mais un système basé sur les lois de la charia. Récemment un reportage de la BBC, montrait que 40 écoles coraniques appartenant au réseau « SaudiStudents Clubs and Schools in the UK and Ireland, enseignent le strict cursus national saoudien en utilisant des manuels qui versent parfois dans l'antisémitisme ou l'homophobie et qui n'hésitent pas à aborder les aspects les plus durs de la charia.

« mauvaises conditions de vie, nous devons respecter les lois et devoirs pour pouvoir au moins espérer combler les lacunes de la santé et de la pollution.Selon un article du SudOuest paru en 2009, 61% des voyageurs de transport en commun ne possèdent aucun titre de transport, la justice sociale disparait peu à peupour laisser place à un climat de haine.Le respect des règles élémentaires du civisme et de la citoyenneté est donc nécessaire à l'amélioration des conditions de vie dans une mégalopole. III - Choc des cultures et intégrations Dans cette partie, nous allons présenter les limites des mégalopoles, qui résultent de la non-intégration des populations émigrées, en prenant pour exemple Londres etNew-York.

Londres représente un cas extrême, et New-York un quasi idéal d'intégration.Concernant d'autre villes de mégalopole, ont ne peut pas vraiment parler de choc de culture car les populations y sont très minoritaires et se conforme aux coutumeslocales. Commençons par nous intéresser au cas Londonien.

C'est ici que le cas de non-intégration des populations émigrées est le plus frappant.Comme dans beaucoup de grande mégalopole, le taux de délinquance est élevé dans les quartiers les plus défavorisés.

Nous assistons aussi à des regroupements despopulations par quartiers, comme le quartier chinois ou le quartier pakistanais.

Alors que les populations autochtones, travaillant en ville, vont vivre dans lesbanlieues de Londres.Les populations se sentent délaissé par les gouvernement et n'ont donc pas de volonté d'intégration au système en place mais plutôt à une reformation d'un nouveausystème.Mais le cas Londonien est à part, car la population immigré ne veux n'ont pas un système plus juste mais un système basé sur les lois de la charia.

Récemment unreportage de la BBC, montrait que 40 écoles coraniques appartenant au réseau « SaudiStudents Clubs and Schools in the UK and Ireland, enseignent le strict cursusnational saoudien en utilisant des manuels qui versent parfois dans l'antisémitisme ou l'homophobie et qui n'hésitent pas à aborder les aspects les plus durs de lacharia.Avec la monté de l'extrémisme islamiste en Angleterre, des hooligans de l'extrême droite anglaise ont formé l' « English DefenceLeague », pour officiellementcombattre l'islamisation de l'Angleterre.Ils organisent de nombreuses manifestations anti-islam, dans toute l'Angleterre.Le choc des cultures londonien est le plus marqué de toutes les mégalopoles.

Nous assistons a une totale incompréhension des différentes cultures sans volonté derapprochement et d'intégration. Intéressons-nous maintenant au cas de New-York.

Bien que la ville soit séparée à la manière de Londres, avec différents quartiers qui regroupent des populations demême origines et les banlieues où vivent les cadres travaillant à Manhattan, les relations entre les différentes populations sont beaucoup moins tendus.

Lespopulations immigrées sont issues d'une immigration plus ancienne, donc bien intégré dans la société.

Comme par exemple les afro-américain qui pour la plupartd'entre eux ne savent pas quel est leur pays d'origine.

Bien que les populations les moins aisés soit ghettoïsé, le melting-pot Newyorkais est un parfait exempled'intégration de population d'origine différente.

Il existe un vrai patriotisme américain au delà des origines ethnique et je pense que c'est aussi grâce à cela quel'intégration soit possible, car tout en conversant leur coutumes, la fierté d'être américain est très présente dans la population.. »

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