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l'exclusion sociale

Publié le 15/01/2013

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L'EXCLUSION GESTION DES RESSOURCES HUMAINES SOCIOLOGIE [pic] Nadia - Nabil Marmich - Ismaila Zoungrana INTRODUCTION Le mot Exclusion avec sa connotation socio-économique, est apparu dans les années 70. Il s'agissait alors de qualifier l'exclusion par rapport à la croissance économique, de distinguer la partie de la population qui jouait un rôle dans les affaires, qui profitait du développement, et celle que l'on pouvait négliger économiquement avant d'en accepter la marginalisation sociale. Le mot est d'ailleurs assez imprécis et son origine remonte au XIX�me si�cle. Ainsi l'exclusion sociale est devenu un th�me politique des plus importants à l'heure actuelle en Europe. Tout d'abord nous commencerons par une synth�se sur l'article que nous avons étudier, ensuite nous évoquerons les facteurs économiques liés au travail mais aussi , les facteurs économiques li�s à la classe sociale d'origine d'un indivudu. Nous verrons ensuite les facteurs sociaux et pour finir, nous débattrons sur le sujet. Synth�se de l'article : « L'exclusion est aussi liée à une faille personnelle � de Vincent Gaulejac, sociologue. Nous vivons dans un monde de crise, beaucoup sont ceux qui sont victimes de désinsertion sociale. Le pourcentage de la population active qui occupait un emploi était beaucoup plus élevé en 1975 comparé à aujourd'hui. En effet, la diminution de ce taux peut s'expliquer par les situations particuli�res d'emplois (CDD, stages, contrats intérimaires, ...). Le travail permet d'accéder à la dignité, à l'estime de soi. Il permet d'être conforme à la norme sociale ainsi que valoriser des qualités individuelles et de se sentir intégré dans une société. Or, pour avoir un statut social, il faut être titulaire d'un CDI, ce que ne permettent pas ni certaines activités dévalorisées, ni les emplois précaires. Les entreprises d'aujourd'hui sont obsédées par la volonté de puissance, elles détruisent les plus faibles et provoquent ainsi de l'exclusion. Certaines directions classent les emplois en 3 catégories : des employés à temps plein dont les compétences et l'expérience sont indispensables à la vie de l'entreprise, un ensemble d'employés à temps partiel en fonctions des besoins et enfin des personnes extérieurs appelés en cas de besoin. La croissance accél�re le processus d'automatisation de la production, de délocalisation et donc de destruction de l'emploi et beaucoup de personnes se retrouvent au chômage. Ce qui définit la situation d'un chômeur, c'est l'absence d'insertion dans le monde du travail et le maintien temporaire des ressources. Le statut économique n'est pas un facteur d'explication suffisant pour entraîner une personne dans une spirale d'exclusion. D'apr�s Gaulejac Vincent, « elle est aussi liée à une faille personnel �. La perte d'emploi se combine presque toujours à des fragilités plus personnelles. Pour l'auteur, le phénom�ne important dans l'exclusion est le processus qui conduit au déclassement : la désinsertion sociale. Elle consiste en une approche individuelle. Il s'intéresse à ce qui est arrivé aux personnes, leurs histoires de vie. Ça peut arriver à n'importe qui. Une rupture affective ou un probl�me de santé peut déclencher la désinsertion. L'individu en difficulté perd peu à peu ses attaches (famille, amis, travail). Elle est le résultat d'une triple rupture : économique, sociale et symbolique. Dans cette derni�re, elle fait plutôt référence au regard que la société porte sur ces personnes, celles-ci sont perçues le plus souvent d'une mani�re négative. La désinsertion sociale correspond également à un décalage entre la mani�re dont l'individu se perçoit et la mani�re dont il est vu par les autres. Ce qui caractérise l'exclusion est alors la perte d'emploi, une absence des ressources, de réseaux de solidarités matérielles,... L'auteur observe 3 étapes de réaction : une phase de résistance, où la personne cherche à retrouver son statut antérieur. Ensuite vient la phase d'adaptation, étant donné que la personne n'arrive pas à retrouver son statut antérieur, elle se fait un nouveau mode de vie où le sentiment d'appartenance à son ancien groupe social diminue. Enfin, la phase d'installation, l'individu renonce alors aux valeurs qu'il avait et devient indifférent à ce que les autres peuvent penser. En résu...

« Nadia – Nabil Marmich – Ismaila Zoungrana INTRODUCTION Le mot     Exclusion      avec sa connotation socio­économique, est apparu dans les ann ées 70.  Il   s’agissait   alors   de   qualifier   l’exclusion   par   rapport   à  la   croissance   économique,   de   distinguer la partie de la population qui jouait un r ôle dans les affaires, qui profitait du   d éveloppement, et celle que l’on pouvait n égliger  économiquement avant d’en accepter la   marginalisation sociale. Le mot est d’ailleurs assez impr écis et son origine remonte au XIX ème si ècle. Ainsi   l’exclusion   sociale   est   devenu   un   th ème   politique   des   plus   importants   à  l’heure   actuelle en Europe. Tout d’abord nous commencerons par une synth èse sur l’article que nous avons  étudier,   ensuite nous  évoquerons les facteurs  économiques li és au travail mais aussi , les facteurs   é conomiques li ès à la classe sociale d’origine d’un indivudu. Nous verrons ensuite les facteurs sociaux et pour finir, nous d ébattrons sur le sujet. Gestion des ressources humaines ­ Sociologie 2. »

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