Le vivant : Fonctions de nutrition : La circulation du sang Synthèse construite par Sylvain sylvain.

«  Valvule mitrale s’ouvre pour laisser le sang s’écouler dans le ventricule gauche. = petite circulation car entre poumons et c œur. La grande circulation : Lors de la contraction ventriculaire ( systole ),  la valvule mitrale ferme le passage entre l’oreillette et le ventricule,  le sang s’échappe dans l’artère aorte pour aller irriguer les organes de la tête et des bras, ainsi que du tronc et des jambes. Lors de la diastole (relâchement ventriculaire),  la pression dans le ventricule est nulle ;  en revanche, dans l’aorte, la pression demeure toujours supérieure à zéro.  C’est ce transport par à-coups que l’on perçoit quand on prend le pouls . Le sang avance par volumes successifs dans les artères. En arrivant vers les organes, une série de ramifications fait circuler le sang dans un réseau de vaisseaux de plus en plus fins, les capillaires . En passant au niveau de l’intestin grêle ,le sang se charge de nutriments , puis rejoint le foie via la veine porte.

Le sang est débarrassé de ses produits toxiques par le foie et parvient au cœur droit par la veine cave inférieure. Riche en oxygène et nutriments, le sang irrigue les tissus en leur apportant ces éléments vitaux.

Il se charge en déchets de la respiration cellulaire (CO2, HO2 et urée) et les transporte jusqu’au lieu de leur évacuation :  CO2 est rejetée par les poumons  Urée est captée au niveau des reins et excrétée dans l’urine avec l’excédent d’eau. III) Le c œ ur et la respiration lors d’une épreuve d’endurance Pendant l’effort, les muscles travaillent et consomment plus de nutriments (glucose) et d’oxygène. Le pouls correspond au nombre de battements du c œur en une minute .

Le volume systolique est le volume évacué lors de chaque contraction du ventricule gauche.

Le débit cardiaque est le volume de sang rejeté par le c œur en une minute. Le c œur peut doubler, voire tripler son rythme en cas d’effort.

Le volume systolique augmente également, le dépit cardiaque est multiplié par 5 ou 7, apportant aux muscles la quantité de glucose et d’oxygène nécessaire pour ce fonctionnement intense. Lors d’un effort :  L’amplitude thoracique et le rythme respiratoire augmentent. »