Le langage nous trahit-il? On insiste d'abord sur les critiques adressées au langage au nom de la singularité subjective (Nietzsche,...
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Le langage nous trahit-il?
On insiste d'abord sur les critiques adressées au langage au nom de la singularité
subjective (Nietzsche, Bergson - voir le document ci-dessous).
Deux issues
théoriques possibles:
• affirmation d'un indicible;
• recours à la voie poétique (.Nietzsche).
On s'appuie ensuite sur Hegel pour montrer que l'indicible est un pseudo-concept
et que, s'il est vrai que le langage paralt constituer une aliénation, cette dernière
doit être comprise comme pàrfaitement positive: en extériorisant le pensable (en
l'entraînant hors de la subjectivité intuitivP.) il précise ce qui est authentiquement
pensé.
En fait, ce qui peut nous «trahir» (c'est-à-dire trahir ce que nous avons
l'impression de «vouloir dire» - mais' �ant que ce n'est pas.d.it, nous ne savons
pas encore exactement en quoi cela consiste), ce n'est pas le langage en lui-même,
mais la maîtrise insuffisante ou la connaissance incomplète que nous avons.
On
insiste alors sur la créativité interne du langage eh tant que tel: système qui, à
partir d'un nombre fini d'unités, peut élaborer une infinité de messages.
,t,
).
« Le mot;
qui ne note de la chose que safDnction laplus commune et son aspect banal.
s'insinl(e_,entre elle et nous, et en masquerait laforme à....
»
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