Devoir de Philosophie

La sexualité dans l'Égypte ancienne

Publié le 20/10/2013

Extrait du document

 

On ne sait pas vraiment quelle valeur accorder à ce docu­ment : s'agit-il d'une descrip­tion sociologique, ce qui est peu probable, ou, plus sûre­ment, d'une satire ? Toujours est-il que les Égyptiens avaient à leur disposition un équiva­lent des maisons closes dont les pensionnaires étaient sou­vent d'origine étrangère (les Mésopotamiennes semblent avoir eu un certain succès).

 

En revanche, d'après des re­cherches récentes, les égypto­logues pensent que les ha­rems étaient très rares, sinon inexistants, en dehors de la cour et que la polygamie, sans être illégale, était tout de ...

« portements humains.

Après un court épisode qui met en scène des animaux mimant les hommes, on pénètre dans ce qu'on appelait alors une « maison de bière » où des prostituées, simplement vê­ tues de leurs bijoux, reçoi­ vent des hommes qui, vu leur allure, semblent être de bien mauvaise fréquentation.

Il s'ensuit une série de postures érotiques qui n'ont toujours pas gagné le droit d'être ex­ posées dans une des vitrines du musée turinois.

On ne sait pas vraiment quelle valeur accorder à ce docu­ ment : s'agit-il d'une descrip­ tion sociologique, ce qui est peu probable, ou, plus sûre­ ment, d'une satire ? Toujours est-il que les Égyptiens avaient à leur disposition un équiva­ lent des maisons closes dont les pensionnaires étaient sou­ vent d'origine étrangère (les Mésopotamiennes semblent avoir eu un certain succès).

En revanche, d'après des re­ cherches récentes, les égypto­ logues pensent que les ha­ rems étaient très rares, sinon inexistants, en dehors de la cour et que la polygamie, sans être illégale, était tout de mê- me réservée aux individus les plus fortunés .

Le mâle égyp­ tien ne disposait donc pas de toutes les facilités pour satis­ faire sa volupté .

Mais, comme en tout, l'excès est dangereux, et de nom­ breux textes élaborés par les sages vilipendent ceux qui oublient tout pour se consa­ crer exclusivement au plaisir.

Ainsi Ptahhotep, soit obser­ vateur, soit effarouché, écrit : « Si tu désires faire durer l'amitié dans une demeure. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles