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HDA : A l'ouest rien de nouveau

Publié le 28/11/2015

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A l’ouest rien de nouveau Ecrivain Allemand, Erich maria Remarque est contraint d’interrompre ses études d’instituteur pour partir à la guerre (1ere guerre mondiale). A son retour, il exerce de nombreux métiers avant de devenir journaliste sportif et de publier en 1928 son roman le plus connu : A l’ouest rien des nouveau, Roman pacifiste qui rencontre un succès planétaire (+ de 20 millions d’exemplaires vendus à travers le monde et traduit en 50 langues). La parution de ce roman provoque la colère des nationalistes allemands. Lors de l’accession au pouvoir d’Hitler, Maria Remarque quitte l’Allemagne pour s’exiler aux Etats-Unis où Il obtient la nationalité américaine en 1947. Analyse Les personnages principaux de ce roman sont : le narrateur, Paul Baumer et ses camarades de lycée. Paul Baumer, la narrateur, se retrouve à 19 ans sur le front avec trois de ses camarades de lycée, Albert Kropp, Muller et Leer. Les 4 amis font parties du même groupe avec d’autres soldats. Les autres soldats du groupe sont des hommes engagés dans la vie professionnelle : Tjaden, Westhus, Detering, â...

« Les chapitres 9,10 et 11 relatent des morts et des blessés : Les mois se succèdent : l’été de l’année 1918 est le plus pénible et le plus sanglant se tous.

Tous les amis du narrateur sont morts, Kat meurt en dernier.

Il est blessé au tibia.

Le narrateur le transporte sur son dos, mais pendant le trajet il reçoit un éclat d’obus dans la tête. Le chapitre 12 est le dernier, il parle de la fin de la guerre : Paul Baumer meurt sur le front durant l’automne 1918 juste avant la fin de la guerre (l’armistice sera signé le 11 novembre 1918). Les thèmes principaux relatés dans le texte sont : Le quotidien vécu par les soldats Les préoccupations essentielles des jeunes soldats se résument à manger, dormir et rester en vie durant les combats.

Les rats sont un fléau, dévorant tout .Les poux le sont égaement car difficiles à éliminer. En même temps, un fort sentiment de solidarité et de camaraderie unit les soldats au front.

Elle permet aux soldats de résister, face à la solitude et face au monde déshumanisé de la guerre.

L’affection, par exemple, que Kat et Paul Baumer éprouvent l’un pour l’autre leur permet de survivre.

Les camarades remplacent la famille : ils apportent la chaleur et la sécurité. L’enfer de la guerre Le narrateur développe plusieurs aspects de la guerre : -les obus, leur vacarme et la terreur qu’ils provoquent -la métamorphose du soldat en bête indifférente, brute et instinctive : la guerre déshumanise les hommes et en fait des bêtes. -la destruction du paysage anéanti par les obus -le contact permanent avec la mort omniprésente Le sens du titre Le titre du roman apparaît dans l’avant-dernier paragraphe du roman et présente ainsi la mort du narrateur : « Il est mort par une journée qui fut si tranquille sur tout le front que le communiqué se borna à signaler qu’à l’Ouest il n’y avait rien de nouveau ».

Le titre A l’ouest rien de nouveau dénonce l’absurdité de la guerre : la mort de Paul Baumer n’a guère d’importance aux yeux du monde ; face à la guerre et ses millions de morts, la vie d’un. »

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