Deux références utiles Avant d'indiquer ces références, remarquons que le choix est large. Quel penseur en effet ne s'est-il pas...
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Deux références utiles
Avant d'indiquer ces références, remarquons que le choix est large.
Quel penseur en effet ne s'est-il pas posé la question de la vérité? Si
donc vous avez trouvé votre« maître à penser», ou si tout simplement il
y a un auteur que vous connaissez bien et que vous avez envie d'utiliser
pour ce sujet, n'hésitez pas.
Toutefois il convient de préférer ceux qui
ont posé la question de la vérité par rapport au modèle mathématique.
On peut ainsi penser à Spinoza, et en particulier à son œuvre la plus
connue, l'Éthique, dont la particularité est d'être une application du
modèle utilisé en géométrie, du propre aveu de l'auteur.
Ce livre a en
effet de quoi surprendre par sa forme : il contient une série de proposi
tions assorties de leurs démonstrations, lesquelles s'appuient exclusive
ment sur ce qui a été démontré auparavant ou bien sur les points de
départ que constituent axiomes et définitions.
Il ne s'agit pas là seule
ment d'un procédé de présentation astucieux, mais bien d'une tentative
pour faire de la philosophie une science parfaitement rigoureuse, dont
les résultats pourront être établis définitivement.
Mais bien entendu la
parfaite réussite du projet est douteuse : pourquoi tout le monde n'est-il
pas spinoziste? D'une façon générale, aucun penseur n'a réussi à mettre
fin à la philosophie, et les grandes questions sont sans doute éternelles.
Une toute autre manière de concevoir la philosophie se rencontre
chez Platon.
Non pas que ce dernier ait méprisé les mathématiques.
On
connaît la devise de l'Académie, l'école....
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