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Commentaire la bicyclette

Publié le 07/12/2016

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Lilas Dm de français 1DD3 Jérémy 03/11/2016 -683704332 20 Observation : Commentaire sur le poème de Jacques Réda « La bicyclette » Jacques Réda est un auteur encore présent de nos jours, né en 1924 il a actuellement 87 ans. Dans ce poème Réda, à partir de l’objet principal étant la bicyclette, fait un tout autre objet de celle-ci et nous en donne une autre vision qu’une simple bicyclette. Nous allons étudier le cadre de la rêverie ainsi que la transformation de la bicyclette. Tout d’abord, nous remarquons un cadre de rêverie. Plusieurs éléments sont évoqués dans ce poème, il y a tout d’abord la mise en évidence du feu « feu » v.11 qui est également évoqué par « Étincelles » v.20, ensuite vient l’eau avec « flots » v.11, l’eau et le feu sont parfois mêlés « torrent de soleil » v.3 c’est un oxymore , « gouttes d’or » v.6 ce qui propose un univers contenant plusieurs aspects. Nous remarquons plusieurs couleurs comme « or » v.6, « noir » v.7, « vert » v.11 ainsi que «  doré » v.11 qui montre que la transformation s’effectue de l’ombre à la lumière où l’ombre est représenté par le noir et la lumière par l’or. Il y a le champ...

«  Questions de corpus 1.

En quoi les poèmes du corpus permettent-ils d’illustrer les propos de Jean Cocteau ? (annexe) Les poèmes du corpus nous permettent d’illustrer les propos de Jean Cocteau car il essaye de nous dire dans son texte que les objets du quotidiens sont tellement devenue nature (banal) qu’on y prête plus attention « L’espace d’un éclair nous « voyons » un chien, un fiacre, une maison, « pour la première fois ».

Tous ce qu’ils présentent de spécial, de fou, de ridicule, de beau nous accable.

Immédiatement après, l’habitude frotte cette image puissante avec sa gomme.

Nous caressons le chien, nous arrêtons le fiacre, nous habitons la maison.

Nous ne les voyons plus.

» V.11 à 15.

Tous comme dans le corpus il nous parle de fenêtre, de radio ainsi que de bicyclette.

Ce qui est devenu banal dans la vie de nos jours ensuite il nous parle de dormeur éveillé « Inutile de chercher au loin des objets et des sentiments bizarres pour surprendre le dormeur éveillé.v.19.20. 2.

Relevez et commentez deux moyens pour lesquels les poètes transforment les objets du quotidien en objet poétiques. Pour commencer dans le texte de Baudelaire il utilise deux moyens qui sont la gradation et la rêverie qui permet de faire d’un objet du quotidien en un objet poétique.

Nous remarquons qu’il commence par une gradation « Il n’est pas d’objet plus profond, plus mystérieux, plus fécond, plus ténébreux, plus éblouissant qu’une fenêtre éclairée d’une chandelle.

»v.2et3 ensuite nous apercevons une rêverie « Par-delà des vagues de toits, j’aperçois une femme mûre, ridée déjà, pauvre, toujours penchée sur quelque chose, et qui ne sort jamais.

»v.6et7.Ensuite pour le texte de Ponge il utilise deux moyens qui sont la personnification ainsi que la rêverie.

Nous notons qu’il commence par la personnification car il personnifie la barre de réglage de station qui comporte un petit carré métallique pour changer la station il le personnifie en un gratte-ciel « qu’un bouton à tourner jusqu’au proche décile, pour qu’au-dedans bientôt faiblement se rallument plusieurs petit gratte-ciel d’aluminium » v.1et2 ensuite nous remarquons une rêverie il fais un rêve éveiller il trouve cette invention merveilleuse « Un petit appareil d’une « sélectivité » merveilleuse ! » v.4.

Puis Réda utilise aussi deux moyens qui sont les même que Ponge.

Nous apercevons la personnification de la bicyclette il lui donne vie « La bicyclette vibre alors, on dirait qu’elle entend » v.15 ce qui lui donne une certaine forme de liberté comme si elle avait aucune limite ensuite nous notons la rêverie car il vie un rêve éveillé on peut le remarquer grâce aux mots « éveil » v.9 à peine il regarde sa bicyclette il se sent transporte.

Enfin dans le texte de Delerm nous pouvons remarque les même moyens utilise que dans les textes de Réda et Ponge.

Il commence par la personnification de la dynamo de son vélo « Mais c’est la musique qui compte.

Le petit frr frr rassurant semble n’avoir jamais cessais » v.6et7 « On devient sa propre centrale électrique, a pédalées rondes.

»v.7et8 ensuite nous nous apercevons que dans la seconde parti de son texte il rêve « Remontent alors des matinées d’enfance, la route de l’école avec le souvenir des doigts glacés »v.12. »

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