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CHAPITRE VII fil:J..11)&11 Fabrice, ses études terminées, rentre de Naples. Aux yeux de la duchesse, il a plus de charme...

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« CHAPITRE VII fil:J..11)&11 Fabrice, ses études terminées, rentre de Naples.

Aux yeux de la duchesse, il a plus de charme que jamais.

Le comtl;l Mosca s'aperçoit de l'effet que produit ce brillant Monsignore et en éprouve de l'inquiétude.

Le prince, lui, se t rouve «comme bravé par les manières si convenables et les réponses tellement inattaquables du jeune échappé de collège.

» Il lui reconnaît tout l'esprit de sa tante.

Piqué en o utre du degré d'intimité qu'il partage avec la duchesse, il cherche à se venger sur le comte Mosca à qui il fait parve­ nir une lettre anonyme qui dénonce.

en Fabrice un rival. Mosca, torturé de jalousie, découvre l'auteur de la lettre et n'a de cesse que d'en vérifier le contenu.

Une des femmes de chambre de la duchesse le rassure en partie.

Quant à Fabrice, l'ambigu'rlé de sa position lui fait perdre sa gaieté: il redoute en effet que l'amitié tendre que lui porte sa tante ne devienn� une passion qu'il ne saurait partager. COMMENTAIRE Le prince Localisé dans une petite principauté de Parme, où devait à l'époque régner Marie Louise, le roman dépeint en vérité les états voisins, celui de Modène notamment: on a reconnu en Ranuce IV les traits physiques et moraux du souverain François IV.

Mais la Parme de Stendhal, dotée d'une Tour Farnèse (et d'une chartreuse) qui n'existe pas dans la réalité, est d'abord une création de l'imaginaire et le prince un personnage de comédie.

Il nous introduit dans une principauté d'opérette et ses ridicules - son imitation de Louis XIY, ses craintes enlèvent d'emblée à la satire ce qu'un réalisme plus appuyé lui donnerait de grinçant.

On sourit plus qu'on ne s'indigne ; Bardèche remarque «qu'on se croirait à Lilliput • et qu'•on ne se fâche pas contre Lilliput, c'est tout simplement un autre univers».

Nous pouvons sourire sans.... »

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