Ab alio e.rpectes alûri q11od feceris Attends-toi à recevoir des autres ce que tu auras fait à autrui Il s"agit...
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Ab alio e.rpectes alûri q11od feceris
Attends-toi à recevoir des autres ce que tu auras fait à autrui
Il s"agit d'une maxime de Publilius Syrus (A 2), citée par Sénèque (Ep.,
94 .
43 ), reprise par Lactance (Divinae institutiones, 1, 16., 10, cf.
aussi
6.
23) et par un poème épigraphique ( 192,4 Bücheler-Riese), et qui fut
parfois identifiée comme un fragment d'un auteur comique (82 R.
3).
Ce
motif, affi1111ant que l'on sera traité comme on aura soi-même traité les
autres, est également présent dans un fragment incertain d'Ennius
(328 sq.
Jocelyn) rapporté par Cicéron (Tusculanae disputationes, 2,
17, 39) et par Draconce (Laudatio Dei, 2, 585); il trouve sans doute
son origine dans un proverbe grec (6tKT) 6(K11v ETLKTE Kal ~Xci~'l
~Àa~'lv, >), que
citent les parémiographes (Zenob.
vulg.
3, 28 ; Diogen.
Vind.
2, 42 ;
Ureg.
Cypr.
2, 14; Apost.....
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