À la mi-2006, tandis qu'un rapprochement impulsé par une volonté d’intégration régionale des pays et territoires du Pacifique semblait prendre...
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À la mi-2006, tandis qu'un rapprochement impulsé par une volonté d’intégration
régionale des pays et territoires du Pacifique semblait prendre un nouveau
souffle, à l'occasion notamment du « sommet France-Océanie » organisé à Paris
sous la présidence de Jacques Chirac, la Nouvelle-Zélande est apparue comme l'un
des États océaniens les plus en pointe dans ce domaine.
Ainsi, le gouvernement
du Première ministre travailliste, Helen Clark, a multiplié les contacts avec
l’État français et l'Union européenne (UE), notamment sur les plans économique
et institutionnel, ainsi qu’en matière de conservation de l'environnement et de
recherche scientifique.
Winston Peters, chef de la diplomatie néo-zélandaise, a
déclaré, lors d'une tournée européenne à la fin juin 2006, que les objectifs de
la Nouvelle-Zélande et de la France dans le Pacifique étaient plus étroitement
liés que jamais, ajoutant apprécier l'engagement français quant au maintien d'un
accent européen dans la région à travers les programmes de promotion de la bonne
gouvernance, du développement économique et des pratiques environnementales
durables.
Sur le pan économique,....
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