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Publié le 29/04/2014
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ypérite yuppie Z z zakouski zapateado zébu zemstvo zéphyr zêta zibeline zigonner zing zing zinzinuler 2 zoé zone zoroastrien, ienne zozio zut zygoma z izi z zz, A À ( d'abord écrit A) p rép. Les emplois très variés de cette préposition viennent en partie de ce qu'elle est issue de trois prépositions latines : ad (-> 1 a-) e xprimant à l'origine le mouvement vers, la direction, de loin la plus importante (a e t ad, mil. XIe s.), mais aussi ab correspondant au grec apo- (-> apocalypse) e t recouvrant plusieurs notions, notamment la séparation, et enfin apud, par une forme populaire °abu (ab d ans Les Serments de Strasbourg, 842). À e st d'abord en concurrence avec des formes empruntées, ad jusqu'au XIIIe s., ab jusqu'au XVe siècle. ? La forme contractée au vient de a le (al, mil. XIe s.) et aus d e a les (als), d evenu aux par confusion (us se notant arbitrairement x) ; au e t aux l'emportent sur a le e t a les au XIIIe siècle. Enfin, sur le plan formel (graphique), a pouvait s'agglutiner avec le substantif, a forfait étant écrit afforfait, a savoir assaveir (d'où assavoir, e ncore dans Littré), etc. ; cet usage existe encore au XVIe siècle. L En latin, ad e xprimait le mouvement, la direction vers un lieu, vers une personne, puis la proximité, la situation sans mouvement, le rapport, la comparaison ; en latin parlé (observable dans le théâtre, par exemple chez Plaute, et à époque tardive) ad remplace parfois le datif et le génitif. Quant à ab, il exprimait la séparation, l'origine (ce qu'exprimera d e e n français), d'où l'agent. Enfin, apud e st employé tardivement (VIe s.) pour les notions de relation, d'accompagnement, en concurrence avec cum « avec ». C'est la confusion, aux VIe -VIIe s. (Mérovingiens), entre ab e t ad e t par ailleurs entre apud e t ad, q ui rend compte de celle qui a mêlé les mots romans et ancien français ad, ab, e t ab (de apud ) en une seule forme a, d evenue à. -- L'accent grave sur le a e st une initiative du XVIe s. (Montfleury, 1533) qui triomphe dans la seconde moitié du siècle (1606, dans les dictionnaires). ? C ette préposition joue en ancien français un rôle essentiel dans l'évolution de la syntaxe. Les emplois de ad, ab puis a, avant le XVIe s., sont plus variés qu'en français moderne : de nombreux verbes qui se construisaient alors avec a sont aujourd'hui transitifs directs (aider, rencontrer, éclairer... a qqn). Ad e t a e xprimaient l'instrument, la manière (881, « avec » ; 1080, « de »), la comparaison (1080 « avec »). Avec les verbes avoir, prendre, a a cédé devant pour ; avec de nombreux verbes (avoir a estime..., devenir a rien...), il a été remplacé par comme, par e n. ? De très nombreux compléments de circonstance construits jusqu'au XVIIe s. avec à s'emploient ensuite avec vers, chez, sur (se tourner à...), avec, contre, à côté de (s'asseoir à qqn). ? Le a provenant de ab était en usage là où le français moderne emploie d e (prendre congé a qqn, mil. XIe s.). ? Par ailleurs, à introduisait le complément d'appartenance, aujourd'hui construit avec d e : cette construction ancienne, encore normale au début du XVIIe s., survit en langue rurale ou populaire (le fils à son père) et dans des locutions comme fils à papa. ? Mais de très nombreux emplois encore vivants sont attestés dès les origines. Pour ad, a e xprime le mouvement vers un lieu (mil. XIe s.), vers une personne (1080), d oner a étant aussi attesté dans La Chanson de Roland. Avec de tels verbes (doner, parler), ad, puis a (mil. XIe s.) a la valeur du datif latin. La situation temporelle est marquée par a d ès le IXe s. (881, sainte Eulalie), comme la valeur instrumentale (ad pour avec). ? Quelques emplois spatiaux sont propres à un usage géographique. En français de Belgique, une
« Z z za ko uski za pa te ado zé bu ze m stv o zé phyr zê ta zib e lin e zig o nne r zin g z in g zin zin ule r 2 z iz i zo é zo ne zo ro astrie n, ie nne zo zio zut zyg o m a. »
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