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Plus intéressante encore est l'apparition des formes architecturales historiques :

Publié le 06/01/2014

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Plus intéressante encore est l'apparition des formes architecturales historiques : des « modèles » -- c'est-à-dire des sortes de maquettes que le défunt emportait avec lui dans l'au-delà -- ont révélé l'existence de maisons et 'enceintes de briques du même type que celles connues à l'époque préthinite (Hoffman : 1979, 147-148). C'est dire que le concept même de la ville égyptienne, l'organisation urbaine, remonte au moins à cette époque. Ci-contre. Fig. 6. Les ressources naturelles de l'Égypte. Le Gerzéen La découverte de la culture d'El-Gerzeh, à quelques kilomètres de Meïdoum, a permis de déterminer la troisième période, le « Gerzéen », qui correspond à la seconde phase de Nagada. Les différences entre ces eux groupes sont suffisamment tranchées pour que l'on puisse mesurer l'influence que prend progressivement e Nord sur le Sud, jusqu'à produire une culture mixte, le prédynastique récent (Nagada III), qui précède mmédiatement l'unification du pays, et dure, en gros, trois siècles, de 3 500 à 3 150 avant notre ère. 'Amratien et le Gerzéen diffèrent entre eux surtout par leur production céramique. Les pâtes ne sont pas les êmes, mais cela tient plus aux lieux qu'à une évolution technique. Surtout, le Gerzéen développe d'une façon xtraordinaire les motifs stylisés : géométrisants pour reproduire des thèmes végétaux et naturalistes pour eprésenter la faune et certains traits de civilisation. La faune n'apporte guère de surprise : autruches, ouquetins et cervidés confirment un environnement de chasse subdésertique. En revanche, ces poteries s'animent de personnages et de barques transportant des emblèmes manifestement divins (Vandier : 1952, 332-363; F.El-Yahky, BIFAO 85 (1985), 187-195). Ce sont peut-être les précurseurs des étendards qui serviront à caractériser les provinces quelques siècles plus tard. Ces scènes, relatées sous forme de pictogrammes, sont-elles emblématiques ou historiques? Il paraît d'autant plus difficile de répondre à la question qu'il s'agit d'un matériel votif, provenant pour la plus grande partie d'un contexte funéraire. Mais il n'est pas indifférent que ces figurations viennent s'ajouter à un autre type, attesté dès le Badarien : les palettes taillées dans le schiste et utilisées pour broyer le fard, qui accompagnent très fréquemment le défunt et vont, elles aussi, prendre rapidement une valeur historique. Par comparaison avec la civilisation pharaonique, la culture gerzéenne a déjà atteint un degré d'élaboration très achevé, surtout dans le domaine funéraire et religieux. Les tombes sont devenues de véritables répliques des demeures terrestres et comportent parfois plusieurs pièces abondamment meublées. On remarque également des amulettes, des figurines ou des objets d'apparat décorés de thèmes représentant des animaux -- lions, taureaux et bovidés, hippopotames, faucons, etc. --, dont on sait qu'ils ont de très bonne heure représenté des divinités. Il y a, bien sûr, toujours une grande part d'incertitude dans ces reconstructions à partir d'éléments épars -- on n'y tient bien souvent pas compte, en particulier, de ceux qui n'ont pas de postérité --, mais l'on voit peu à peu s'imposer sous l'influence gerzéenne les principaux éléments constitutifs de la civilisation unifiée qui va suivre. Les données fournies par l'archéologie montrent que le passage à l'Histoire est le résultat d'une évolution lente et non pas, comme on l'a longtemps cru, d'une révolution brutale qui aurait apporté dans le même temps de nouvelles technologies -- essentiellement la métallurgie -- et les structures de la société : en l'espèce, l'organisation en cités agricoles, la brique et l'écriture -- autant d'éléments que l'on rapporte communément à la Mésopotamie, uniquement parce qu'ils y sont attestés aux mêmes époques et qu'il paraît plus simple d'attribuer une origine commune au « mode de production asiatique ». La présence en Égypte de cylindres mésopotamiens de l'époque de Jemdet Nasr (milieu du IVe millénaire) n'indique rien de plus, comme le note J. Vercoutter (1987, 101 sq.), que des rapports commerciaux attestés également avec la Syro-Palestine, la Libye et le Sud. Des témoignages isolés ne peuvent non plus suffire à prouver une pareille invasion. Le couteau trouvé au Gebel el-Arak et aujourd'hui conservé au Louvre présente, certes, un décor mésopotamien, mais il est le seul dans la série bien documentée des ivoires Fig. 7 Détail des représentations de la « tombe décorée » de Hiérakonpolis. figurés (Vandier : 1952, 533-560), même si le thème se retrouve dans la « tombe décorée » de Hiérakonpolis, raité dans un style moins typé (Vandier : 1952, 563). Un document comme le pion de jeu d'époque thinite rouvé à Abou Roach et figurant une maison aux bâtiments couverts d'un toit à double pente (Louvre E 14 698) -- prévu donc pour permettre l'écoulement de l'eau de pluie --, que l'on évoque souvent pour témoigner de l'influence mésopotamienne, n'est guère plus pertinent. Outre le fait qu'il puisse s'agir simplement d'un objet importé, aussi exotique qu'un cylindre, il ne faut pas oublier que l'Égypte connaissait également des précipitations importantes... Les Egyptiens n'ont pas eu besoin d'aller chercher si loin l'art de la brique, qu'ils ont découvert apparemment eux aussi au Ve millénaire : on peut avancer, sans pour autant céder à un déterminisme géographique exagéré, que l'argile est le matériau le plus aisément à la disposition de l'homme, tant en Mésopotamie que dans la vallée du Nil ou les oasis occidentales. Et si la pierre n'est utilisée que plus tard, c'est moins à cause de l'évolution des techniques du métal -- auxquelles les carriers avaient moins souvent recours qu'on ne pourrait le supposer -- que parce qu'elle demande une organisation et des moyens plus à la mesure des pharaons que des dynastes locaux des derniers temps de la Préhistoire. L'écriture Que dire de l'importation ou de l'apparition spontanée de l'écriture dans une civilisation ? L'hypothèse est de bien peu de poids au regard des représentations nagadiennes sur vases, à travers lesquelles on peut suivre out le cheminement de la stylisation progressive, des végétaux aux animaux en passant par les danses ituelles, pour aboutir aux enseignes divines qui sont déjà autant de hiéroglyphes (Vandier : 1952, 264-296 : mratien; 333-363 et 341, fig. 231 : Gerzéen). elles-ci reflètent, en effet, le principe fondamental de l'écriture égyptienne, qui ne varie pour ainsi dire pas tout u long de la civilisation : la combinaison du pictogramme et du phonogramme. Il est difficile de déterminer le oment du passage du premier au second, voire si ce passage a existé. Le seul argument en sa faveur est la oncision des premières inscriptions : le fait qu'elles n'emploient le plus souvent qu'un signe unique, sans aucun es compléments phonétiques auxquels l'écriture aura recours par la suite, laisse supposer qu'elles procèdent par représentation directe. Cela revient à considérer la notation phonétique comme un progrès technique tendant à s'accélérer avec le temps pour aboutir à une surcharge graphique de plus en plus explicite qui serait n quelque sorte le prélude à l'écriture alphabétique. C'est une impression que l'on peut avoir en comparant des textes de l'Ancien Empire à ceux du premier millénaire; mais cette impression est-elle la bonne ? L'écriture hiéroglyphique associe le pictogramme, l'idéogramme et le phonogramme. Le pictogramme est la représentation directe : dessiner un homme, une maison ou un oiseau revient à le nommer. Le principe est celui des représentations pariétales préhistoriques; il est si simple qu'on en conçoit immédiatement les limites, qui sont celles de la réalité des choses. La représentation directe de concepts ne paraît guère facile, même en ayant recours à des procédés métonymiques : noter l'effet par la cause -- le vent par une voile de navire gonflée -- ou le contenu par le contenant -- la jarre à bière désigne la bière, le rouleau de papyrus une opération passant par l'écriture, etc. Reste encore le problème des homophones : « sa », qui s'écrit à l'aide d'un canard vu de profil, désigne aussi bien « le canard » que « le fils ». Il est donc nécessaire de désaffecter certains signes de leur valeur idéogrammatique pour ne conserver que leur valeur phonétique : le hiéroglyphe du canard servira à transcrire le son bilitère sa, qu'il s'agisse du fils ou de l'oiseau. La différence entre les deux sera faite par un signe ayant valeur de déterminatif générique ajouté au phonème : un homme pour le fils, un oiseau pour le canard. Dans ce dernier cas, la rencontre des deux oiseaux risquant de créer une confusion, on remplace le déterminatif par un trait vertical dont le but est d'indiquer que le signe est employé pour la valeur première qu'il représente. Si, en principe, chaque phonogramme conserve sa valeur idéogrammatique, certains signes se spécialisent en fait dans la notation des phonèmes les plus courants. Ce sont essentiellement des signes unilitères qui constituent une sorte d'alphabet de 26 lettres, à l'aide duquel il est théoriquement possible de noter tous les sons. Dans la pratique, l'Égyptien a recours à d'autres signes qui transcrivent à eux seuls des phonèmes de deux à six « lettres » tout en conservant éventuellement, eux aussi, leur valeur idéogrammatique propre. L'écriture joue ainsi sur un ensemble qui peut aller, idéogrammes, phonogrammes et déterminatifs confondus, de un à plusieurs milliers de signes selon la richesse de l'expression et l'époque. Les hiéroglyphes sont plutôt réservés aux inscriptions lapidaires et, d'une façon plus générale, murales, qu'elles soient gravées, incisées ou peintes. Ils n'évoluent pas dans leur principe des premières inscriptions à celles des temples d'époque romaine. Les seules variations touchent le graphisme : plus ou moins grande stylisation ou, au contraire, enrichissement, réalisme, tendance archaïsante ou novatrice, selon le but visé par les hiérogrammates. Pour les documents administratifs, comptables, juridiques ou l'archivage de textes en général, des compositions littéraires aux rituels religieux et funéraires, on a eu recours de très bonne heure à une écriture cursive, que les touristes grecs de Basse Époque ont appelée « hiératique », car ils pensaient, d'après ce qu'ils voyaient, qu'elle était réservée aux membres du clergé, par opposition au « démotique » qui leur semblait répandu, lui, seulement dans la population. En réalité, ce dernier n'était qu'une nouvelle forme du premier, apparue vers le VIIe siècle avant notre ère. Le principe du hiératique est simple : ce sont les hiéroglyphes abrégés, pris individuellement ou en groupes pour les ensembles de signes les plus fréquents. Cette sorte d'écriture sténographique évolue, de l'Ancien Empire aux derniers siècles de la civilisation, vers un dépouillement de plus en plus grand, dont les étapes ultimes sont, justement, le démotique et une évolution thébaine de l'époque éthiopienne et perse, qui connut son apogée vers le milieu du Ier millénaire avant notre ère, le hiératique « anormal ». Sous l'influence des échanges avec la Méditerranée, de la domination grecque puis romaine, l'écriture évolue enfin vers la notation alphabétique avec le copte, qui n'est rien d'autre que l'alphabet grec, auquel on a ajouté sept lettres nécessaires pour rendre des phonèmes que le grec ne possède pas. Le copte, qui reproduit l'état de la langue vers le IIIe siècle après Jésus-Christ, est devenu, avec l'abandon du polythéisme, l'écriture de l'Église -- mais seulement de l'Église, l'écriture officielle restant le grec puis l'arabe après la conquête. Depuis, le copte s'est maintenu comme langue communautaire des chrétiens d'Égypte, puis, aujourd'hui, comme langue liturgique; c'est grâce à sa connaissance que Champollion a pu reconstituer la base de la phonétique égyptienne ancienne. Le hiératique est l'écriture utilitaire par excellence : elle est donc celle de l'apprentissage de la langue dans les coles de scribes. C'est en hiératique que le jeune élève forme ses premières lettres à l'aide du calame sur un esson de poterie ou un éclat de calcaire, que les Modernes désignent du terme grec d' « ostracon ». Ce upport, le plus humble puisqu'il suffit d'aller le chercher sur un tas de vaisselle brisée ou parmi les éclats d'une arrière, peut être remplacé par l'argile, dont on façonne une tablette sur laquelle on écrit à l'aide d'un stylet. 'usage du papyrus, plus coûteux, est réservé aux textes plus importants : archives, pièces comptables, textes eligieux, magiques, scientifiques ou littéraires, qui peuvent aussi être transcrits sur des rouleaux de cuir ou des ablettes stuquées... L'unification politique es réflexions sur la constitution de la civilisation pharaonique recoupent la question longuement débattue du rocessus de l'unification finale : deux siècles conduisant à la réunion des deux cultures, que les sources gyptiennes représentent comme un triomphe du Sud sur le Nord, alors que l'analyse des structures de la ociété ainsi mise en place montre clairement l'influence du Nord, donc du vaincu. Ce dossier, ouvert jadis par . Sethe et H. Kees (Vandier : 1949, 24 sq), à un moment où la reconstitution de la période prédynastique était urement spéculative, est encore loin d'être clos, même si l'on est désormais en mesure de mieux suivre les tapes qui ont amené la constitution de deux royaumes et leur affrontement final. L'hypothèse de H. Kees, aux ermes de laquelle cet état de fait aurait reflété une première unification du pays sous l'égide du Nord, nification rompue pour quelque obscure raison puis refaite par les rois du Sud qui se seraient contentés de eprendre le modèle préexistant, est aujourd'hui infirmée par les données archéologiques : celles-ci permettent e suivre l'influence croissante dès le Tasien des cultures du Nord sur la Moyenne et Haute-Égypte, de Badari à agada (Kaiser : 1985). a description que les Égyptiens eux-mêmes ont donnée de cette période de leur histoire ne permet pas de rancher définitivement dans l'un ou l'autre sens. La documentation directe est essentiellement constituée par es palettes que nous avons vu apparaître au Badarien et qui donnent une idée du processus d'intégration du ythe à l'Histoire. Objets votifs et, semble-t-il, exclusivement votifs, elles présentent deux types principaux. Le remier est fait de figurations zoomorphes simples, le contour de la palette représentant le corps de l'animal. Ce ont des tortues, des poissons, des hippopotames, etc. Le second type est plus complexe : il combine des igurations symboliques et des notations historiques dans lesquelles l'homme apparaît. Les scènes ainsi eprésentées commémorent des événements, dont nous avons du mal à évaluer la portée réelle. La Fig. 8 Tableau chronologique de la fin du Néolithique (d'après Vercoutter : 1987, 216). provenance de ces documents, en gros de la pointe du Delta jusqu'à Hiérakonpolis, la capitale des rois édérateurs du Sud, confirme l'aire de dispersion culturelle gerzéenne. Les thèmes sont proches de ceux qui écorent les objets en ivoire tout au long du Gerzéen et jusqu'au début de l'époque thinite. Ils mettent en scène a faune -- échassiers, lions, éléphants, taureaux, cervidés, serpents, hippopotames, etc. -- caractéristique aussi bien de la vallée que de ses zones subdésertiques, sous forme, soit de théories d'animaux, soit de cènes opposant le plus souvent carnassiers et herbivores (Vandier : 1952, 539 sq. ; 547), mais aussi éléphants et serpents ou taureaux entre eux. Les palettes Ces figurations animales se retrouvent sur les palettes, avec ou sans présence humaine. Hiérakonpolis a livré deux palettes de ce type, dont l'une est conservée au Louvre : toutes deux sont délimitées par des chiens affrontés, entre les corps desquels évolue une faune du type de celle que nous venons d'évoquer dans un nchevêtrement Fig. 9 Palette de Hiérakonpolis, recto et verso. inextricable (Vandier : 1952, 579 sq.). On y voit aussi bien un renard flûtiste -- thème abondamment documenté plus tard dans les fables égyptiennes -- que, au recto, deux animaux fantastiques au cou étiré de açon à encadrer le godet dans lequel le fard était broyé. Ces deux animaux ont de nombreux correspondants ans le bestiaire fabuleux : déjà présents sur le manche de couteau du Gebel Tarif, ils se retrouvent sur la alette de Narmer et rappellent les fauves affrontés du couteau du Gebel el-Arak... ont-ils seulement des vestiges préhistoriques, comparables à leurs lointains parents des grottes d'Altamira en spagne ? Rien ne permet de les rattacher à une espèce : chaque détail est emprunté à une forme animale ifférente, la combinaison de l'ensemble donnant l'aspect monstrueux d'animaux rappelant vaguement grands auves et sauriens. Les éléments de cette composition ne sont pas indifférents : ce sont toujours des animaux edoutables, fauves et prédateurs, qui fournissent l'une ou l'autre de leurs parties caractéristiques : griffes, abots, gueules, etc. Échappant au réel, ces compositions deviennent les symboles de la puissance animale à aquelle l'homme est affronté pour organiser le cosmos. Le guerrier du manche de couteau du Gebel el-Arak epousse par la seule force de ses bras deux fauves affrontés, tandis que les monstres de la palette de Narmer, etenus captifs, sont liés par le col de façon à former le godet, réceptacle du fard. L'intervention humaine sur les alettes va toujours dans le sens de la mise en ordre de la création : de la palette « aux Autruches », conservée Manchester, à celle dite « de la Chasse » que se partagent le British Museum et le Louvre. Cette dernière est lus explicite : on y voit une expédition organisée dans le but de tuer, mais aussi de capturer des animaux auvages. Des lions sont percés de flèches, tandis que capridés et cervidés, rabattus par des chiens sont mmenés captifs.

« Fig. 7 Détaildesreprésentations dela«tombe décorée »de Hiérakonpolis. figurés (Vandier :1952, 533-560), mêmesile thème seretrouve dansla«tombe décorée »de Hiérakonpolis, traité dansunstyle moins typé(Vandier :1952, 563).Undocument commelepion dejeu d'époque thinite trouvé àAbou Roach etfigurant unemaison auxbâtiments couvertsd'untoitàdouble pente(Louvre E14 698) — prévu doncpourpermettre l'écoulement del'eau depluie —,que l'onévoque souvent pourtémoigner de l'influence mésopotamienne, n'estguère pluspertinent.

Outrelefait qu'il puisse s'agirsimplement d'unobjet importé, aussiexotique qu'uncylindre, ilne faut pasoublier quel'Égypte connaissait égalementdes précipitations importantes... Les Egyptiens n'ontpaseubesoin d'allerchercher siloin l'art delabrique, qu'ilsontdécouvert apparemment eux aussi auVe millénaire :on peut avancer, sanspourautant céderàun déterminisme géographique exagéré, quel'argile estlematériau leplus aisément àla disposition del'homme, tantenMésopotamie que dans lavallée duNil oules oasis occidentales.

Etsila pierre n'estutilisée queplus tard, c'est moins àcause de l'évolution destechniques dumétal —auxquelles lescarriers avaientmoinssouvent recoursqu'onnepourrait le supposer —que parce qu'elle demande uneorganisation etdes moyens plusàla mesure despharaons que des dynastes locauxdesderniers tempsdelaPréhistoire. L'écriture. »

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