Famille dravidienne Langues et emprunts le kannada baselle (« plante qui rappelle l'épinard ») le malayalam coir (« fibre de noix de coco »), jacquier (« arbre des régions tropicales »), tallipot (« grand palmier »), urena (« sorte de végétal »), etc.
Publié le 17/04/2014
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Famille dravidienne Langues et emprunts le kannada baselle (« plante qui rappelle l'épinard ») le malayalam coir (« fibre de noix de coco »), jacquier (« arbre des régions tropicales »), tallipot (« grand palmier »), urena (« sorte de végétal »), etc. le tamoul anaconda, cari, corindon (« pierre très dure »), curry, papadum (« galette indienne croustillante »), patchouli (« plante aromatique »), etc. le télougou bandicoot (« sorte de mammifère »), pittidé (« famille d'oiseaux ») Les langues dravidiennes sont principalement parlées dans le sud de l'Inde. Quatre langues ressortent de cette famille du point de vue de l'importance numérique de leurs locuteurs. Ces quatre langues sont officielles dans plusieurs États de l'Inde. Le tamoul est la langue dravidienne la plus répandue dans le monde de par sa plus forte émigration, particulièrement dans le Sud-Est asiatique et en Océanie. Hors de l'Inde, il est, de plus, officiel au Sri Lanka, à Singapour et à Pondichéry. Parmi les autres langues dravidiennes, notons le brahoui (2 millions de locuteurs) qui est la seule langue dravidienne parlée en dehors de l'Inde, principalement dans le Baloutchistan. Son seul apport au français est son propre ethnonyme.
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- Parlant des adultes, André Gide écrit dans les Nourritures Terrestres : Leur sagesse ? Ah ! leur sagesse, mieux vaut n 'en pas faire grand cas. Elle consiste à vivre le moins possible, se méfiant de tout, se garant. Il y a toujours dans leurs conseils je ne sais quoi de rassis, de stagnant. Ils sont comparables à certaines mères de famille qui abrutissent de recommandations leurs enfants : Ne te balance pas si fort, la corde va craquer ; ne te mets pas sous cet arbre, il va tonner ; ne