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EXPUITION, substantif féminin.

Publié le 06/02/2016

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EXPUITION, substantif féminin.  

PHYSIOLOGIE.  Action d'expulser hors de la cavité buccale les substances généralement liquides qui s'y trouvent. (Quasi-)synonyme : crachement. Mais des bulles d'air se mêlent à la salive, dont l'expuition à jusqu'ici accompagné la toux (PIERRE BRETONNEAU, Des Inflammations spéciales du tissu muqueux et en particulier de la diphtérie,  1826, page 313 ). Ce monologue saccadé (...) entremêlé (...) d'essuiemens de larmes, d'expuitions et mouchemens réitérés (LOUIS-FRANÇOIS RABAN, MARCO SAINT-HILAIRE. Mémoires d'un forçat, ou Vidocq dévoilé,tome 2, 1828-29, page 351 ). 

—  Par métonymie.  La substance expulsée par cette action. L'expuition et l'écoulement de la plaie sont de nouveau colorés par le sang (PIERRE BRETONNEAU, Des Inflammations spéciales du tissu muqueux et en particulier de la diphtérie,  1826 page 315 ). 

 

 

« 2 partie.

---- Phénomènes physiologiques.

L'attention s'accompagne de phénomènes A.

-- circulatoires; B.

- ras piraloires; C.

- surtout moteurs (immobilité ; et mouven,ents d'adaptation).

3e partie.

- Phénomènes psychologiques.

A.

- L'attention est sélection.

B.

- Elle est l'organisation, autour d'une idée do,ninanic, de nombreux états psychologiques, surtout d'images, c'est- à-dire de préperceptlons (monoïdéisme relatif, selon Ribot ou polypsychismne conjugué).

C.

- L'attention rend l'état de conscience auquel elle s'applique plus clair, plus net ; elle est instrument de dis- crimination, d'analyse et aussi de découverte.

Conclusion.

- Ribot a raison de voir dans l'attention un phénomène non seulement psychologique, mais psychophy- siotogique 1 .

Ce phénomène joue un rôle capital dans l'activité corporelle et dans le développement de la vie spirituelle 5.

SUJET Psychologie du distrait.

PLAN.

Introduction.

- Le distrait, c'est l'inattentif.

Mais il peut y avoir des ca: fort différents d'inattention.

On peut dis- tinguer 2.

Ps.

M., pp.

388-390.

3.

Ps.

M., pp.

381-385.

4.

Ps.

M., p.

390.

5.

Ps.

M., pp.

395-391;. »

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