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berrichon P arler g allo-roman d'oï l parlé dans le Berry.

Publié le 29/04/2014

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berrichon P arler g allo-roman d'oï l parlé dans le Berry. biélorusse Lang ue slave du g roupe oriental, parlée en Biélorussie, distincte de l'ukrainien et du russe. On l'appelle parfois blanc-russe. biscayen Dialecte basque de Biscaye (Espag ne). black english Variété d'ang lais parlé aux États-Unis (ang lo-américain) par la population noire. bourbonnais P arler g allo-roman d'oï l parlé dans le Bourbonnais. bourguignon Dialecte g allo-roman d'oï l parlé en Bourg og ne. Les traits dialectaux bourg uig nons sont notables dans les textes d'ancien français. breton Lang ue celtique appartenant au g roupe brittonique (g allois, cornique) et parlée en Armorique (Bretag ne) depuis l'arrivée des Celtes de (Grande-)Bretag ne. -> b reton, indoeuropéen 5, celtique, dans le dictionnaire. brittonique Groupe de parlers celtiques « insulaires » comprenant le g allois (pays de Galles), le cornique (Cornouailles ang laise) et le breton (parfois appelé brittonique continental). -> indoeuropéen 5, celtique, dans le dictionnaire. bulgare Lang ue slave du g roupe méridional parlée en Bulg arie. burgonde Lang ue g ermanique du g roupe oriental (comme le g otique, le long obard), qui fut parlée au sud-est (et centre-est) de la Gaule. -> b urg onde, dans le dictionnaire. burlesque caractérise, en français classique (à partir de 1630-1640), un usag e de la lang ue considéré à la fois comme archaï que et plaisant. Les références littéraires de ces emplois, qui représentent la conscience d'un passé ling uistique encore actif, sont surtout Marot (on parle aussi de style marotique), Rabelais et, pour l'époque immédiatement précédente au jug ement en question, les auteurs que nous nommons aujourd'hui baroques (Scarron, Sorel, etc.), redécouverts au XIXe s. par Gautier (les Grotesques). cachemiri ou kashmiri Lang ue indo-aryenne (g roupe du nord-ouest) du Cachemire, possédant une importante littérature; elle a subi une forte influence iranienne. caduc se dit d'un phonème qui s'amuit fréquemment (-> amuï ssement). Le e français caduc est appelé couramment e muet. cajun (prononciation altérée de (A)cadien) Forme de français d'Amérique du Nord, implantée en Louisiane par les Acadiens déportés par les Ang lais. On dit aussi français de la Louisiane, louisianais. -> Québec, dans le dictionnaire. calabrais Dialectes italiens méridionaux parlés en Calabre. caló 1. Lang ue mixte d'Espag ne, formée d'espag nol et de romani (tsig ane) créolisés. Le lexique contient des éléments de jarg ons espag nols et arabes. 2. Arg ot espag nol des criminels. calque se dit de la traduction ou de l'adaptation en français d'un mot ou d'un g roupe de mots appartenant à une autre lang ue (libre-penseur, calque de l'ang lais freethinker, bas-bleu, p our b lue stocking , ce n'est pas ma tasse de thé, etc.). C'est une des formes de l'emprunt*. Le calque peut affecter une construction; c'est alors une transposition d'une lang ue à l'autre. campanien Dialecte italien du Sud parlé en Campanie. cantabrique Groupe de lang ues parlées au I er millénaire avant l'ère chrétienne dans le nord-ouest de la péninsule ibérique. Certains l'identifient au basque* (-> espag nol, dans le dictionnaire). cas Aspect d'une forme nominale (flexion), faisant partie d'un paradig me appelé déclinaison*, incluant une forme considérée comme fondamentale (cas direct, l e nominatif) et des formes secondaires (cas obliques). P armi les lang ues indoeuropéennes, le g rec et le latin (notamment) présentent des cas. Des cas du latin procèdent les d eux cas d e l'ancien français, qui conservait un cas sujet* issu du nominatif latin (companio > compain > [ copain]) et un cas rég ime* issu de l'accusatif (companionem > compag non). P our les cas latins, -> nominatif, accusatif, g énitif, datif, ablatif, vocatif. castillan Dialecte, puis lang ue romane de la Castille qui, en se substituant ou en se superposant aux autres parlers ibériques et au basque, est devenue la lang ue officielle de l'Espag ne et s'est répandue en Amérique latine. -> espag nol, dans le dictionnaire. catalan Lang ue romane parlée en Catalog ne, qu'on rattache en g énéral à l'occitan (ensemble occitano-roman), ce qui en ferait un sous-ensemble des dialectes g allo-romans méridionaux, mais qui s'en est disting uée depuis le XIIIe s., se rapprochant de l'ibéroroman. À côté de l'espag nol castillan, du g alicien et du basque, le catalan est l'une des lang ues principales de l'Espag ne actuelle (Catalog ne, Baléares, province de Valence). Il est parlé en Andorre, en France (Pyrénées-orientales). La littérature catalane, d'abord confondue avec la littérature occitane, est spécifique du XIIIe s. à nos jours. -> catalan, romanes (lang ues), dans le dictionnaire. caucasiennes se dit des lang ues nombreuses appartenant à un g roupe distinct, parlées dans le Caucase, parmi lesquelles le tchétchène, l'ing ouche (g roupe du Nord), le tcherkesse, l'oubykh, l'abkhaz (Nord-Ouest), le g éorg ien (au sud). -- L'arménien, lang ue indoeuropéenne, n'en fait pas partie. causatif se dit d'une forme verbale exprimant que le sujet ne fait pas l'action lui-même, mais la fait faire. Le causatif est exprimé en français par le verbe faire suivi d'un autre verbe à l'infinitif. -- Le causatif latin correspond à un élément spécifique (exemple, sistare « faire tenir debout », par rapport à stare « tenir debout »). -- On dit aussi factitif. celtibère Lang ue disparue, appartenant comme le g aulois au celtique continental, qui fut parlée dans le nord de la péninsule hispanique. Elle correspondrait à un substrat ibère (venant d'Afrique du Nord) recouvert par le celtique, sous une forme différente du g aulois. Avec le cantabrique*, elle fait partie des substrats de l'espag nol. -> espag nol, dans le dictionnaire. celtique F amille de lang ues indoeuropéennes qui s'est répandue, venant d'Europe centrale (civilisation de Hallstatt), sur l'Europe occidentale et sur une partie de l'Europe orientale (jusqu'en Asie : les Galates en Anatolie). On disting ue le celtique continental (g aulois, celtibère) et le celtique insulaire (dont fait partie le breton). -- C eltique, s'ag issant des Gaules, s'emploie parfois pour g aulois* (lorsqu'il n'y a pas d'ambig uï té). -> indoeuropéen 5, celtique, g aulois, dans le dictionnaire. chamito-sémitique Vaste g roupe de lang ues où l'on reg roupe, outre les lang ues sémitiques*, l'ég yptien ancien, le libycoberbère, le couchitique, g roupes de lang ues trop hétérog ènes pour que l'on conserve l'idée d'un véritable g roupe chamitique. champenois Dialecte g allo-roman d'oï l parlé en Champag ne. Les traits dialectaux champenois sont notables dans les textes écrits (scriptae) de la rég ion, en ancien français. chinois Lang ue parlée par le g roupe humain le plus nombreux du monde, écrite depuis le XIVe s. avant l'ère chrétienne, et formée aujourd'hui et depuis long temps (la lang ue parlée moderne est attestée à partir du VIIe s. : style b aihua) de plusieurs g roupes dialectaux (voir ci-dessous). Son écriture est à la fois idéog raphique et phonétique, les homophones étant disting ués par des « clés »; ces caractères ont été empruntés par la lang ue japonaise. Spécialement, chinois s'applique au dialecte le plus important (mandarin, aujourd'hui nommé p u tong hua « l ang ue parlée commune »); sa notation écrite est commune à toute la Chine. Le mot se dit aussi de l'ensemble des dialectes parlés, environ 600, classés en 7 types (type nord : mandarin, parlé par 70 % de la population; centre-est : Shang haï , Hang zhou; sud : cantonais). La prononciation normée officielle est celle de Pékin (1 % de la population). Chinois classique : l a lang ue écrite de style traditionnel (wenyan). cinghalais Lang ue indo-aryenne assez spécifique parlée au Sri Lanka (alors que le sud de l'Inde appartient au domaine dravidien). classique, dans français classique, usag e classique, époque classique, désig ne la période de la lang ue française qui commence peu après le début du XVIIe s. et s'achève après la Révolution de 1789. Plus précisément, cet adjectif qualifie l'usag e du français normalisé d'Île-de-France dans la 2 e moitié du XVIIe et au début du XVIIIe s. (fin du règ ne de Louis XIV), la période précédente (correspondant au b urlesque) étant aujourd'hui nommée b aroque, l a suivante étant appelée p ost-classique. L'adjectif s'emploie aussi à propos du sanskrit (par rapport au sanskrit védique et aux prâkrits), du g rec (opposé à g rec byzantin, moderne), du latin (opposé à latin archaï que et à latin impérial, à bas latin), de l'arabe (opposé aux dialectes, à l'arabe normalisé moderne, etc.), du chinois, etc. cliché Expression fréquemment réemployée dans un certain type de discours, en g énéral avec un jug ement nég atif (sur le plan stylistique). cockney Variété populaire et urbaine (à l'est de Londres) de l'ang lais moderne. collectif se dit de tout sig ne qui correspond à une somme ou un ensemble pluriel, et que ne disting uent pas les unités composantes. Dizaine, centaine sont des numéraux collectifs. F oule, multitude sont des noms collectifs; le suffixe -ie (dans confrérie) peut avoir valeur collective. commun, dans sens commun, emploi, usag e commun, correspond à g énéral, c'est-à-dire à « non technique », « non savant ». On emploie aussi courant d ans ce sens (mais en impliquant alors une fréquence). comparaison Le mot a dans cet ouvrag e trois emplois distincts. 1. Il désig ne la méthode par laquelle on met en relation des correspondances entre lang ues, afin d'aboutir, par exemple, à des reconstructions de formes disparues. 2. Il se dit du système formel par lequel une qualité est énoncée en elle-même (deg ré p ositif), par comparaison à une référence (comparatif d e supériorité ou d'infériorité) ou comme supérieure par rapport à une autre, ou bien encore absolument (superlatif). Les deg rés de comparaison p euvent être exprimés par la morpholog ie (suffixes comparatifs), par des mots propres (plus, moins, le plus, le moins). 3. Il s'applique aussi à une fig ure de style par laquelle deux termes sont explicitement comparés (il est g ros comme une baleine), alors que dans la métaphore* la comparaison est implicite (c'est une baleine). U n mot peut être ainsi employé par comparaison (tomate d ans roug e comme une tomate). complément Élément de la phrase, de l'énoncé, dépendant d'un autre élément qu'il « complète » (dans l'interprétation traditionnelle, de nature sémantique), qu'il s'ag isse du nom (complément déterminatif, nominal, de nom) o u du verbe (complément direct, o u d 'objet et complément indirect o u relatif, secondaire, circonstanciel ). Dans le cas du verbe, on dit aussi rég ime. La fonction de complément (rég ime) s'oppose à la fonction de sujet*. composé s'applique à une unité formée de deux mots (ou d'un radical verbal et d'un mot) ou de plusieurs suites de mots (g rand- mère, pot-de-vin) o u par l'ajout d'un élément préfixé à un autre mot (antibrouillard). C ertains composés ne sont pas sig nalés par un procédé g raphique (pomme de terre, point de vue); o n peut les considérer aussi comme des syntag mes* lexicalisés. Composition d ésig ne le processus qui produit des composés à partir de mots (ou radicaux) appelés composants. concept Idée g énérale, en particulier lorsqu'elle correspond à un schéma (structure) dynamique d'éléments mentaux. À chaque sig nifié d'un sig ne (par exemple les sens, les acceptions d'un mot, d'une locution) peut correspondre un concept, hors lang ag e. Par rapport à notion*, concept suppose une org anisation plus stricte (et dynamique) des contenus de pensée. La terminolog ie scientifique a ainsi affaire à des concepts, le lexique affectif à des notions (mais la frontière est éminemment floue). concret se dit d'un objet accessible aux sens. Le sens concret (sig nification, acception concrète) relie le sig ne à une classe d'objets concrets; il s'oppose à abstrait. Le sens propre* d'un mot est souvent (mais non pas toujours) concret, les fig urés pouvant être concrets ou abstraits. connotation se dit du sens particulier que prend un mot ou un énoncé en fonction du contexte situationnel; la connotation s'oppose à la d énotation q ui désig ne l'élément invariant de sig nification; ainsi l'adjectif sag e, appliqué à ce qui est fait avec discernement et prudence (dénotation), s'emploie souvent avec la connotation « absence d'orig inalité ». contamination Action modificatrice exercée par un terme, un élément, sur un autre auquel il est associé. La contamination peut aboutir à un croisement*. continuer, continué s'applique à une forme issue par évolution rég ulière d'une forme antérieure (cf. aboutissement, hérité de...). contraction Réunion de plusieurs éléments vocaliques successifs en un élément unique. Une forme résultant d'une contraction est dite contractée. En g rec, les déclinaisons et conjug aisons contractées présentent une fusion de la voyelle finale du thème* avec la voyelle initiale de la désinence. contraire => ANT ONYME copte F orme évoluée (à partir du IIIe s.) de l'ég yptien* ancien, divisée en dialectes. copule Terme de liaison, notamment conjonction de coordination et verbe « être », unissant l'attribut au sujet. coréen Lang ue parlée en Corée. On disting ue le coréen ancien et le coréen moderne, disposant d'un alphabet orig inal (XVe s.). cornique Lang ue celtique du g roupe brittonique parlée jusqu'au XVIIIe s. dans la Cornouailles ang laise. corse Ensemble dialectal italien, proche des parlers de la rég ion de Gênes, parlé en Corse comme lang ue maternelle, concurremment avec le français. -> corse, dans le dictionnaire. courant caractérise l'usag e d'un élément (ou d'une règ le) ling uistique lorsqu'il est répandu dans la majorité des locuteurs et qu'il est normal à un moment donné (ce qui exclut qu'il puisse être vieilli, désuet ou archaï que). C ourant s'oppose d'une part aux emplois « marqués » comme stylistiques (à soutenu, à l ittéraire), d'autre part aux emplois qui ne sont propres qu'à une partie des locuteurs, étant réservés à un discours de spécialité (courant s'oppose alors à d idactique, scientifique, technique). C ourant ne concerne qu'une caractéristique statistique dans l'usag e et s'oppose de façon g énérale à rare. créole l ang ue transmise de parents à enfants -- à la différence des pidg ins --, au lexique en majeure partie emprunté à une lang ue

« ca lq ue s e d it d e l a tr a d uctio n o u d e l ’a d ap ta tio n e n f ra nçais d ’u n m ot o u d ’u n g ro up e d e m ots a p parte nant à u ne a utr e l a ng ue ( lib re -p ense ur, c alq ue d e l ’a ng la is fre eth in ker, b as-b le u, p our blu e s to ckin g , c e n ’e st p as m a ta sse d e th é, e tc .) .

C ’e st u ne d es f o rm es de l ’e m pru nt* . Le c alq ue p eut a ffe cte r u ne c o nstr u ctio n; c ’e st a lo rs u ne tr a nsp ositio n d ’u ne l a ng ue à l ’a utr e . ca m pa nie n D ia le cte ita lie n d u S ud p arlé e n C am panie . ca nta briq ue G ro up e d e l a ng ues p arlé es a u I er m il lé nair e a v ant l ’è re c hré tie nne d ans l e n o rd -o uest d e l a p énin su le ib ériq ue. Certa in s l ’id entif ie nt a u b asq ue* (→ e sp ag no l, d ans l e d ic tio nnair e ). ca s A sp ect d ’u ne f o rm e n o m in ale ( fle x io n), f a is a nt p artie d ’u n p ara d ig m e a p pelé déclin ais o n*, in clu ant u ne f o rm e c o nsid éré e co m me f o nd am enta le ( cas d ir e ct, l e n o m in atif ) e t d es f o rm es s e co nd air e s (c as o bliq ues). P arm i l e s l a ng ues in d oeuro péennes, l e g re c et l e l a tin ( n o ta m ment) p ré se nte nt d es c as.

D es c as d u l a tin p ro cèd ent l e s deux c as d e l ’a ncie n f ra nçais , q ui c o nse rv ait u n c as s u je t* is su d u n o m in atif l a tin ( co m panio > c o m pain > [ c o pain ]) e t u n c as r é g im e* is su d e l ’a ccusa tif (c o m panio nem > c o m pag no n). P our l e s cas l a tin s, → n o m in atif , a ccusa tif , g énitif , d atif , a b la tif , v ocatif . ca stilla n D ia le cte , p uis l a ng ue r o m ane d e l a C astil le q ui, e n s e s u b stitu ant o u e n s e s u p erp osa nt a ux a utr e s p arle rs ib ériq ues e t a u basq ue, e st d ev enue l a l a ng ue o ffic ie lle d e l ’E sp ag ne e t s ’e st r é p and ue e n A m ériq ue l a tin e.

→ e sp ag no l, d ans l e d ic tio nnair e . ca ta la n L ang ue r o m ane p arlé e e n C ata lo g ne, q u’o n r a tta che e n g énéra l à l ’o ccita n ( e nse m ble o ccita no -ro m an), c e q ui e n f e ra it u n so us-e nse m ble d es d ia le cte s g allo -ro m ans m érid io naux , m ais q ui s ’e n e st d is tin g uée d ep uis l e XIII e s ., s e r a p pro chant d e l ’ib éro - ro m an.

À c ô té d e l ’e sp ag no l c astil la n, d u g alic ie n e t d u b asq ue, l e c ata la n e st l ’u ne d es l a ng ues p rin cip ale s d e l ’E sp ag ne a ctu elle (C ata lo g ne, B alé are s, p ro vin ce d e V ale nce).

I l e st p arlé e n A nd orre , e n F ra nce ( P yré nées-o rie nta le s).

L a l itté ra tu re c ata la ne, d’a b ord c o nfo nd ue a v ec l a l itté ra tu re o ccita ne, e st s p écif iq ue d u XIII e s .

à n o s jo urs .

→ c ata la n, r o m anes ( la ng ues), d ans l e dic tio nnair e . ca uca sie nne s s e d it d es l a ng ues n o m bre use s a p parte nant à u n g ro up e d is tin ct, p arlé es d ans l e C aucase , p arm i l e sq uelle s l e tc hétc hène, l ’in g ouche ( g ro up e d u N ord ), l e tc herk esse , l ’o ub ykh, l ’a b khaz ( N ord -O uest) , l e g éo rg ie n ( a u s u d ).

— L ’a rm énie n, la ng ue in d oeuro péenne, n ’e n f a it p as p artie . ca usa tif s e d it d ’u ne f o rm e v erb ale e x prim ant q ue l e s u je t n e f a it p as l ’a ctio n l u i- m êm e, m ais l a f a it f a ir e .

L e c ausa tif e st e x prim é en f ra nçais p ar l e v erb e fa ir e s u iv i d ’u n a utr e v erb e à l ’in fin itif .

— L e c ausa tif l a tin c o rre sp ond à u n é lé m ent s p écif iq ue ( e x em ple , sis ta re « f a ir e te nir d eb out » , p ar r a p port à sta re « te nir d eb out » ).

— O n d it a ussi fa ctitif . ce lt ib è re L ang ue d is p aru e, a p parte nant c o m me l e g aulo is a u c eltiq ue c o ntin enta l, q ui f u t p arlé e d ans l e n o rd d e l a p énin su le his p aniq ue.

E lle c o rre sp ond ra it à u n s u b str a t ib ère ( v enant d ’A friq ue d u N ord ) r e co uv ert p ar l e c eltiq ue, s o us u ne f o rm e d if fé re nte d u gaulo is .

A vec l e c anta b riq ue*, e lle f a it p artie d es s u b str a ts d e l ’e sp ag no l.

→ e sp ag no l, d ans l e d ic tio nnair e . ce lt iq ue F am il le d e l a ng ues in d oeuro péennes q ui s ’e st r é p and ue, v enant d ’E uro pe c entr a le ( c iv il is a tio n d e H alls ta tt) , s u r l ’E uro pe occid enta le e t s u r u ne p artie d e l ’E uro pe o rie nta le ( ju sq u’e n A sie  : l e s G ala te s e n A nato lie ).

O n d is tin g ue l e c eltiq ue c o ntin enta l (g aulo is , c eltib ère ) e t l e c eltiq ue in su la ir e ( d ont f a it p artie l e b re to n).

— Celtiq ue , s ’a g is sa nt d es G aule s, s ’e m plo ie p arfo is p our gaulo is * ( lo rs q u’il n ’y a p as d ’a m big uïté ).

→ in d oeuro péen 5 , c eltiq ue, g aulo is , d ans l e d ic tio nnair e . cha m it o -s é m it iq ue V aste g ro up e d e l a ng ues o ù l ’o n r e g ro up e, o utr e l e s l a ng ues s é m itiq ues* , l ’é g yptie n a ncie n, l e l ib yco - berb ère , l e c o uchitiq ue, g ro up es d e l a ng ues tr o p h été ro g ènes p our q ue l ’o n c o nse rv e l ’id ée d ’u n v érita b le g ro up e c ham itiq ue. cha m pe no is D ia le cte g allo -ro m an d ’o ïl p arlé e n C ham pag ne.

L es tr a its d ia le cta ux c ham peno is s o nt n o ta b le s d ans l e s te x te s écrits ( s c rip ta e) d e l a r é g io n, e n a ncie n f ra nçais .. »

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