Montrer en quoi l'épidémie du Sida est le reflet des inégalités entre les différentes régions du monde économique

« besoins en 2005.

La progression est notamment due aux phénomènes de pauvreté et de dictature qui crées :- un manque de prévention- un manque de contrôle- un manque évident de soins En effet 80% de la population est contaminée et le fléau touche également les personnes détenant de l'instruction comme les médecins ou les professeurs.

C'est unvéritable engrenage qui n'est pas près de s'arrêter car en effet en 2050 l'Afrique passera de 1million à 2 millions de personnes.Malgré cela quelques dispensaires existent et les infirmières viennent administrer des soins minimes aux personnes atteintes ; par ailleurs il existe également des lieuxd'accueil subventionnés par des Eglises afin d'accompagner les malades en fin de vie.

On assiste à des conditions déplorables de soins et de prise en charge dans cettepartie du monde.

La santé s'épuise et les personnes continues d'être contaminer tout les jours.

Que faire ? • Asie D'après les estimations les nombre de contaminés en Asie pourrai doubler en 2020.

Il passerai donc de 20 à 40 millions sur le sol Chinois.

En effet les cas demultiplication sont dus aux migrations internes (déplacement des campagnes vers les villes etc.)En Chine les contaminations sont notamment dues à la prise de drogue, à la vente de sang et aux migrations des travailleurs (10 millions de personnes en 2010).En Inde 20 millions de personnes sont atteinte par le sida ce qui est considérable.AU Népal 0,5% de la population sont atteints ce qui équivaut à 75000 personnes et des associations aident également à la prévention à l'aide de dépistage et desoins ; comme par exemple à Katmandou ou des associations vont directement dans la rue pour faire de la prévention auprèe des populations sensibles telles que leshomosexuels, les transsexuels et les drogués. III- La santé et les stratégies des industries pharmaceutiques. Certaines entreprises soucieuses de leur image de la santé publique sont en train de perpétrer un crime innommable à l'encontre des populations des pays pauvres,dans le seul but d'accroître leur puissance, déjà considérable.

En effet ces firmes n'hésitent pas à dégager des profits considérables sur le dos des pays pauvres etgravement atteints par la maladie.Devant le comportement inhumain de ces firmes, des organisations humanitaires telles que Médecins Sans Frontières (MSF) ont lancé une campagne internationaleen direction des industriels, des gouvernements et de l'Organisation Mondiale du Commerce pour qu'ils fassent en sorte que les populations des pays pauvres puissentaccéder à ces traitements indispensables.

Actuellement, en Afrique du Sud - pays du monde le plus gravement touché par le SIDA - 66 % de la population n'a pas lesmoyens de s'offrir les médicaments : chaque jour, 700 personnes décèdent, tandis que 1700 autres (dont 200 nouveau-nés) sont infectées. Prenons en exemple le cas du Nigéria où les fléaux qui résident sont le choléra ou encore la méningite et devant une telle ampleur les firmes n'hésitent pas à exploiterla misère de cette population.

En effet le géant américain Pfitzer teste leur nouveau médicament sur la population nigérienne et en particulier sur les enfants.

Ce queles gens ne savaient pas c'est que cette industrie était en non-conformité avec le code de Nuremberg qui décrète que les patients doivent être consentant pour les soinsadministrer.

Or Pfitzer expérimentait les traitements contre la méningite sans nullement prévenir les enfants ou les parents des effets secondaires que pouvaitengranger le traitement. Mais le Nigéria n'est pas un cas isolé et la Corée du Sud est également victime de ces firmes.En effet pour les malades atteints de la leucémie dans cette région, il est difficile de garder espoir car le coût des médicaments contre la leucémie sont extrêmementélevés.

Mais il y avait une lueur d'espoir quand Novartis a sorti le « GLIVEC » une véritable avancée dans la médecine car le traitement donne des résultatsincroyables sur les patients.

Malgré tout le prix de ce médicament reste exorbitant et pas loin de 18 euros le comprimé ce qui est évidement au dessus des moyens desmalades.Afin de remédier à cela les malades manifestent et demandent aux industries de réduire le coût de leur traitement mais rien n'y fait car Novartis justifie le coût dumédicament par un pôle Recherche et Développement très sophistiqué mais le prix reste quand même insensé.Par ailleurs cette firme ne se contente pas de vendre le produit à prix élevé mais empêche également les industries qui produisent des médicaments générique de lesdistribuer dans le pays.Encore aujourd'hui les négociations ne mènent nulle part. Conclusion La question du sida révèle et accentue les inégalités mondiales de manière radicale.

La carte épidémiologique de la pandémie résume à elle seule une séried'inégalités économiques, politiques et sociales.

Plus de 90% des personnes vivant avec le VIH résident dans les pays dits " en développement " et plus de 70% descas d'infection sont recensés sur le continent le plus pauvre de la planète : l'Afrique subsaharienne.

Pour autant, si le drame du sida pénalise l'ensemble de cette régionle virus VIH dépeint aussi un tableau avec des couleurs d'espoirs qui sont dues aux dons, aux bénévoles et à l'implication sans failles de certaines associations.Le Sida n'est alors plus tabou et la connaissance toujours plus grande des modes de contamination et de dépistage freinent ce fléau ce qui donne aux populations unenote plus vive d'espoir.. »