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Les organes sexuels mâles et femelles

Publié le 08/04/2012

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Ce sont les organes sexuels qui procurent aux hommes et aux femmes le plus grand plaisir sensuel. Leur fonction primaire reste la reproduction, qui assure la survie de l'espèce.

Les parties visibles des organes reproducteurs de l'homme sont les testicules, qui sont enfermés dans des bourses, et le pénis. Les testicules produisent plusieurs millions de spermatozoïdes par jour. Le pénis sert à l'évacuation de l'urine et à la copulation. Lorsqu'un homme est excité sexuellement, le tissu spongieux de son pénis se remplit de sang et se durcit....

« 1.

Gland 2.

Prépuce 3 .

Pénis 4.

Urètre 5.

Testicule 6.

Bourse 7.

Epididyme 8 .

Canal déf érent 9 .

Vessie 1 O.

Vésicule séminale 11 .

Prostate 12.

Glande de Cowper 13.

R ectum Les organes génitaux masculins un traitement hormonal facilite la transformation.

Mais, pour un homme normalement constitué, il est tout à fait impossible qu'il se transforme en femme.

Les organes sexuels de la femme servent à concevoir et à mettre au monde des enfants.

Il n'est donc pas surpre­ nant qu'ils soient bien plus compliqués que ceux d'un homme.

Les parties externes des organes sexuels de la femme sont regroupées sous le terme vulve et sont cou­ vertes de poils dès la puberté.

A l'avant de la vulve, se trouve une éminence appelée mont de Vénus.

A l'arrière se trouvent deux replis charnus, les grandes lèvres.

Entre les grandes lèvres, il y a des replis plus petits: les petites lèvres.

A l'entrée de la vulve, légèrement caché par la par­ tie antérieure des lèvres, se trouve le clitoris.

Cet organe érectile est responsable de l'excitation sexuelle que res­ sent une femme pendant la copulation.

Le vagin lui-mê­ me est un conduit musculaire long d'environ dix centimè­ tres; il permet la pénétration du pénis pendant le rapport sexuel.

C'est également par ce conduit qu'un enfant vient au monde.

Chez la plupart des filles et des femmes qui n'ont jamai s eu de rapports sexuels, une fine membrane irrégulière ap­ pelée hymen protège l'entrée du vagin.

Elle se déchire soit par la pénétration du pénis lors de la première copulation soit à l'occasion de certains exercices physiques .

Après la naissance d'un enfant, il reste seulement quelques lam­ beaux de l'hymen dans le vagin.

La partie du système re­ producteur féminin où se développe le foetus est appelée utérus.

C'est un organe creux en forme de poire, qui pro­ longe le vagin et forme un angle de 90° avec lui.

L'utérus est tapissé d'un revêtement qui subit un changement cy­ clique lors du cycle menstruel.

De la partie supérieure de l'utérus partent latéralement deux conduits, les trompes de Fallope.

Ces conduits mènent aux ovaires où est formé l'ovocyte et, ultérieurement, l'ovule.

Outre le fait de pro- duire des ovules, les ovaires produisent également des hormones sexuelles femelles ou oestrogènes: les plus abondantes sont la progestérone et l'oestradiol.

Ces substances complexes oestrogènes contrôlent toutes les modifications physiologiques qui se produisent pendant le cycle menstruel.

Les oestrogènes sont également responsables de l'apparition à la puberté des caractères sexuels secondaires, tels que le développement des seins et l'apparition des poils pubiens.

Une fois par mois, environ au milieu du cycle menstruel, l'un des deux ovaires produit un ovule.

Le sperme éjaculé par l'homme lors de la copulation contient des millions de spermatozoïdes et, parmi les centaines qui monteront dans la trompe de Fallope, seul un spermatozoïde s'unira avec un ovocyte et le fécondera.

Les hommes de science parviendront-ils un jour à rem­ placer l'utérus et à produire des enfants dans des éprou­ vettes? Peut-on imaginer un système qui serait meilleur que celui qui s'est constitué en plusieurs millions d'an­ nées et dont l'efficacité est incontestable? Jusqu'à pré­ sent ces spéculations relevaient encore de la science-fic­ tion , mais, récemment, un gynécologue britannique du nom de Patrick Steptoe et un physiologiste, Robert Ed­ wards, firent la "une des journaux" du monde entier.

Leurs expériences venaient enfin de porter leurs fruits: un enfant sain venait de naître d'une femme dont l'utérus avait reçu par implantation un ovocyte fécondé.

Cette femme produisait des ovules, mais ses trompes de Fallope fonctionnaient mal.

On a donc prélevé un ovocy­ te et on l'a fécondé en laboratoire avec le sperme de son mari .

Trois jours plus tard, on implanta l'embryon dans l'utérus de la mère où il continua à se développer norma­ lement.

Un enfant ainsi conçu n'est-il pas un miracle de la médecine moderne? Un autre bébé-éprouvette a égale­ ment vu le jour en 1979.

117. »

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