L'Armée nationale populaire, ANP
Publié le 05/01/2012
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L'Armée nationale populaire, ANP, a remplacé l'Armée de libération nationale, ALN, en même temps qu'elle amalgamait les rares survivants des maquis et les soldats des frontières. Au lendemain de l'indépendance, ses effectifs pléthoriques furent réduits et près de 40 000 hommes démobilisés. Forte aujourd'hui de 60 000 "djounoun" (soldats, au singulier "djoundi"), elle doit son organisation au colonel Boumedienne, nommé chef d'état-major général de l'ALN, le 12 mars 1960.
2. En moins de deux ans, Houari Boumedienne a su faire d'unités disparates une armée moderne, disciplinée, qui n'a rien du rassemblement d'anciens combattants. En 1963, au moment du conflit frontalier avec le Maroc, la conversion était encore loin d'être opérée: tous les observateurs sont d'accord aujourd'hui pour voir dans l'ANP un Instrument technique perfectionné.
Liens utiles
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