Georges Seurat par Pierre Marois Au XVIIe siècle, pendant que les écoles
Publié le 05/04/2015
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Georges Seurat par Pierre Marois Au XVIIe siècle, pendant que les écoles étrangères déliraient quelque peu à la suite des Vénitiens, les peintres français refusèrent de s'abandonner aux prestiges de la couleur et ne purent accepter sans réserve ce que, faute de mieux, l'on a appelé " le baroque ", cet art de choc et d'imagination dans lequel l'artiste perd en partie le contrôle de son oeuvre. Le baroque exige une sorte de laisser-aller qui est loin de la négligence, mais auquel les Français, toujours méfiants du lyrisme, peuvent difficilement se résoudre. Il faudra arriver à Delacroix pour trouver en France un représentant authentique du baroque, représentant un peu timide et empêtré dans son sujet, romantique de surface dont l'esprit restait profondément classique pendant que M. Ingres, " le chinois ", laissait s'échapper parfois une arabesque baroque par surprise ou par refoulement. Ce n'est pas sans raison que les impressionnistes se sont réclamés de Delacroix. Ils avaient seulement découvert le monde extérieur, mais une vérité première, si elle n'a jamais été entrevue, suffit à v...
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