Culture Antique, Mesure et excès (niveau prépa Hypokhâgne)

« Mesure et excès Pourquoi la culture antique ? Les Regrets, Joachim du Bellay, 1558 Se tourner vers l’Antiquité est amorcé un voyage nostalgique dans l’espace et dans le temps, comme Ulysse ou Jason.

A l’aube de notre modernité, du Bellay dit « Rome fut tout le monde, et tout le monde, est Rome ».

Renouveau pour les études latines, province, tous ce qui n’est pas Rome. 1erraison, l’une est classique, nous héritons des romains, laisser plus que l’on imagine dans notre imaginaire, 3ème raison, pragmatique, vision des textes anciens sans avoir une vision moderne. Les Romains sont-ils nos ancêtres en civilisations. Rome ne serait-il pas un imaginaire, fantasme. Leur contact est-il encore nécessaire. I/ Nos ancêtres les romains ? Sans conteste, notre civilisation a hérité de la culture antique, le calendrier romain grâce à Jules César qui la modifié en -46, le calendrier commencer avant en mars, et après avec Julius, cela a commencé en Janvier, refondu la constitution physique du temps. On doit aussi au romain, l’articulation entre l’Etat et le Droit, ce sont ces principes qui ont inspiré Napoléon.

Ces monuments majeurs doivent son inspiration à Rome (Arc de Triomphe).

Architecture Hippodamien, vient de Hippodamius Vème siècle av.

J-C.

Plan de New York inspiré par cette architecte. Pompéi a été sur ce modèle-ci dès le départ.

Système d’Aqueduc, l’histoire de la langue française doit tous au latin, la langue latine et grec organise notre pensé. Pétrarque a impulsé la renaissance européenne. II/ Rome un imaginaire culturel La chute de Rome, dans notre imaginaire Rome est une ville de ruine, des gens qui implore, le pont qui symbolise le passé et le présent.

« Ruines romaines avec le Colisée »,1765.

Stendhal, la promenade à Rome.

Peinture témoigne des ruines, on transforme en fabrique d’image mental. III/ La Rome exotique Exotique : envisagées par référence au pays ou à la culture propres, qui est relatif, qui appartient à un pays étranger, généralement lointain ou peu connu ; qui a un caractère naturellement original dû à sa provenance. La représentation de ce monde antique, relève d’une création idéologique, sous l’influence de l’humanisme et du classisme, c’est-à-dire, lointaine et surprenante dans ces cultures, pratiques culturels.

Exposition des enfants, de vendre son fils, enfant qu’on jugeait handicapé, peu nous paraître exotique, sens de lointain.

A l’heure de la mondialisation, nous offre quelque chose de comparable avec les cultures de l’étranger, « aucune culture est seul », Lévi-Strausse.

La culture antique stimule le contact avec l’antiquité. 1) Analyse numérique 1.1 Nombres de mot : 18 grecs et 14 latins 1.2 Masculin et féminin : 2 masculins et 12 feminins 1.3 Nombre de préfixe + privatif 2) Analyse sémique Intempérie : tempérament 3) Analyse d’équivalence sémantique Atasthaliè = superbia (orgueilleux) Kosmos = ordo + mundus / monde + mundus / parure Notions communes mais reposant sur des valeurs / réalités / une fréquente variables. Modus : étymon incertain Mundus : peut-être racine piehr Auguste : MESURE Alexandre le Grand : EXCES, Bucéphale Cléopatre et Marc-Antoine : EXCES Socrate : MESURE Dionysos/Bacchus : EXCES Apollon : MESURE MEDEE : EXCES POLYPHEME : EXCES Saturne/Cronos : EXCES ET MESURE Introduction : Hésiode est un poète grecque du VIIème siècle av.J-C, il est célébre pour des œuvres épiques que sont la théogonie (naissance des dieux et du monde) et les travaux et les jours (traité d’agriculture) adressé à son frère Persès.

Il va s’interreser au déclin moral de l’humanité.

A l’aide de cinq âges qui ont été repris par Ovide (1er siècle) 1) L’avènement de Zeus Poème sur les origines du monde, il illustre une des dimensions de l’épopée, c’est la fonction éthologique (récit des causes), c’est un récit qui explique les origines, les causes, d’un lieu, d’un animal, d’une personne.

Le processus de connaissance en Grèce est de connaître ces choses. Texte 1 : Le père de Chronos est Uranos, qui a été dégagé par son fils, et Chronos a libéré ses frères, la terre divisée en 3 domaines : Terre, Mer et Ciel.

Rhéa fille de Gaia et Uranos, et malgré sa divinité est animalisé, en revanche les enfants sont qualifiées selon la mesure et la démesure de leur attribut. Pluton/Hadès au cœur inflexible, double sens, cœur ne fonctionne plus, memento mori, Neptune/Poséidon est sur la mer, ½ se terminer sur un naufrage, le prudent Jupiter/Zeus, il connaît l’avenir, le père des Dieux, catapino, celui qui mange ses enfants, ce qui cause une douleur démesuré à Rhéa, il dévorait sa propre race, douleur pas de borne, ce père de dieu et des hommes, à l’esprit rotor, le fils sera forcément à l’opposé du père, le monde est née dans le KO, la caverne représente le lieu du passage de la mesure à la démesure, de la caverne, crète origine du monde, on passe de l’ignorance au savoir, connaissance de notre monde, à la fin du texte, dompté traduit par et vaincu.

On dit que ce texte est très pessimiste, cette lutte entre les deux notions et une invitation à battre l’excès sur la terre, preuve qu’on peut contrôler ses excès.

Pierre qui a été jeté, et a crée le Mont Parnasse, voyelle ouverte, éloge direct à sa propre poésie, poésie est celle qui éclaire la vie des hommes, adouci la violence, leur donne la mesure de leur acte.

Du VIIème au VIIIème, avec la démesure on peut faire naître la mesure.

Il reçoit le foudre, le tonnerre et l’éclair.

Foudre = la poésie qui frappe l’âme, tonnerre = qui frappe l’oreille, éclair = mots lumineux.

Hexamètre dactylique (épopée), la mesure du vers.

L’ordonnancement du monde que propose la poésie est merveilleusement illustré par la mise en vers de la poésie.

Ce récit, est condamnable puisqu’il est contraire de la pitié envers les dieux, représente les dieux pervers, ne peut être avec des êtres aussi filiales, mais en honneur la perversité des dieux, Hésiode s’est exprimé.... »