critique cinématographique sur Josep
Publié le 01/04/2022
Extrait du document
«
RIGHINI-RIEHL
Nina
TG4
JOSEP
par Aurel en 2020
Le film Josep est un film d'animation qui relate l'histoire d'un soldat français qui surveillait
des camps de concentrations pour espagnols avant la Seconde Guerre Mondiale.
Elle est racontée
par ce soldat devenu grand-père qui en parle à son petit-fils.
J'ai trouvé l'histoire touchante.
Le fait qu'elle soit animée de manière moins fluide (que les films
d'animation que l'on peut voir aujourd'hui) ajoute un charme et une certaine réalité à l'histoire :
comme si les souvenirs étaient flous et que le personnage (Serge) se rappelle au fur et à mesure
des détails.
Le film arrive à bien dépeindre les conditions et les émotions que les personnes ont pu ressentir
durant cet guerre.
Comme j'ai regardé ce film chez moi, j'ai pu prendre des notes et j'ai gardé une citation que j'ai
trouvé intéressante ''Jusqu'à quel point doit on obéir à un ordre?'' réflexion que ce fait Serge après
le début de la guerre quand il doit désormais aider dans les camps de concentration pour les Juifs.
Cette remarque fait sens dans ce film où un ancien résistant parle de son passé.
Il a détourné de
ses fonctions pour aider les autres.
Aussi j'ai trouvé ce film réaliste bien que ce soit un film d'animation.
En effet, comme je l'ai dit il
montre bien les conditions des personnes.
Mais aussi l'environement dans lequel ils ont vécu ainsi
que les couleurs du films sont aussi très bien choisis et caractérisent bien l'athmosphère de
l'époque.
J'ai particulièrement aimé le moment où Serge finit de raconter son passé à Valentin, son petitfils, et qu'on voit combien il a réussi à lui retransmettre ses émotions et ses pensées.
Bien qu'ils
soit de générations différentes et qu'il ne vivra peut-être jamais de tels scènes, cela à permis à
Valentin d'en savoir plus et de s'intéresser à l'Histoire de son grand-père et de millions de
personnes.
Et j'ai aussi retenu la citation ''On s'y habitue si on en meurt pas'' de l'officier sénégalais à Serge
au début du film bien qu'il parle de nourriture on peut y voir une réflexion plus général.
Car bien
qu'elle ne soit pas si significative au film où des gens se battent pour leurs vies, je trouve qu'elle
laisse à refléchir.
Sommes-nous obligés de toujours nous habituer aux choses qui nous font souffrir
pour en oublier les blessures?.
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