Devoir de Philosophie

COMMENT AMELIORER LA PLACE DES FEMMES DANS LA SOCIÉTÉ ?

Publié le 23/09/2012

Extrait du document

  Dans le genre, la célèbre Cendrillon (Cinderella) n'est pas des moindres. En 1950, Disney met en scène le sauvetage d'une pauvre orpheline par la bonté et l'amour soudain d'un Prince. Même en briquant le carrelage toute la journée, le personnage de Cendrillon garde l'espoir de trouver son âme soeur. (c’est pas la peine que je me bouge il va arriver) En 1959 le schéma Disney ne semble pas avoir grandement évolué. La Belle au Bois Dormant (Sleeping Beauty) sort au cinéma et les deux tourtereaux tombent amoureux à la première chansonnette. Encore une fois, Aurore est sauvée par Philippe. Pendant qu'il brave tous les dangers, elle dort paisiblement. La mode des Princesses crédules et dépendantes semble prendre fin après La Petite Sirène (The Little Mermaid). En 1989, Ariel est prête à tout quitter pour l'amour d'un homme à qui elle n'a jamais parlé : « Mon seul désir vivre à tes côtés (…) je ne sais pas pourquoi je t'aime, mais je suis prête à t'aimer quand même «. Et Eric tombe amoureux d'un vague souvenir : « la voix la plus belle du monde «. N'oublions pas la naïveté touchante de Ariel qui se précipite entre les tentacules de Ursula, ce sera encore une fois aux hommes de la sauver. Une reprise en main de leur destin Les années 90 laissent place aux femmes avec davantage de caractère et de volonté, Disney a su tirer son épingle du jeu.  En 1991, La Belle et la Bête (The Beauty and the Beast) raconte l'histoire d'un Prince totalement dépendant de l'amour d'une femme,
c'est à elle que revient le pouvoir de sauver le château de la malédiction. Le personnage de Belle possède également beaucoup plus de caractère et de courage que ses ancêtres. Elle est instruite et lit toute la journée. La plus grande évolution réside dans les rapports/ relations qu'entretiennent les deux héros. L'amour n'arrive pas de nulle part sans crier gare, il se créé progressivement. Chacun fait des efforts de son côté (réf : la scène où la Bête prend une cuillère pour manger sa soupe). Leur relation se construit avec la découverte de l'autre et tout ne semble pas évident : « Jamais encore elle n'avait eu ce regard là «.

Liens utiles